Vue Champ Lexical

Manon : « il sortit qq femmes »/ « il en resta une » Parallélisme renforcé par la conj. « mais » opposition RENFORCEE par l’effacement du cadre et de la présence de son ami * Rencontre vue « elle me parut » (l.11) : attraction physique. Conversation (vb de parole) : attraction morale. * Champ lexical de la passion présent : « Charmante », « enflammée […] jusqu’au transport », «  maîtresse de mon cœur », « tendresse infinie » et « désir »/ « plaisir » passion sensuel. c) La métamorphose

répandue sur l’attique et sur les littoraux sud. D’un autre côté, On peut nettement remarquer que Aelius Aristide préfère la citoyenneté romaine. Ce dernier met clairement en évidence son point de vue dès la première phrase: ‘’ mérite le plus d’être vu et admiré ‘’. De plus, l’auteur utilise un champ lexical en faveur de la citoyenneté romaine : (l.13) ‘’ un homme généreux ’’. (l.16) ‘’ vous avez fait en sorte que le nom de Romain ne fût pas celui d’une cité, mais le nom d’un peuple unique (…) ‘’ ;

présent rend les souvenirs, les sensations présents, actuels et vivants. Le narrateur revit son passé grâce aux sensations présentes. 4. Le narrateur mobilise l'odorat : « odeur », terme repris six fois dans l'extrait, « parfum » , « ça sent »  ; la vue : « les pommes sont là » , « fruits ratatinés » , « ride » , « grenier sombre » , « bruns », « rouges », « vert »  ; l'ouïe : « la pluie bat les carreaux »  ; le goût : « âcre et sucrée » , « délicieux » , « saveur confite » , « goût »  ; le toucher :

intéresserons au personnage principal de cet extrait. Puis dans un second temps, nous nous demanderons quelle est la vision du monde incarnée par ce personnage. Le personnage de roman, Charles, nous parait désespéré. En effet, on observe le champ lexical de la tristesse « suffoquait » ou encore « chagrin ». On remarque aussi l’utilisation de l’imparfait qui a une fonction descriptive ainsi que la présence du registre pathétique « il avait la tête renversé contre le mur, les yeux clos […] cheveux

 COMPOSITION DE FRANÇAIS ( 3ème trimestre) TEXTE Qui ne connaît pas Tikjda, cette perle en plein Djurdjura ? Qui n’a pas vu cette région en hiver, entièrement couverte de neige d’une blancheur éclatante ? Qui ne l’a pas vue en été, quand les rayons du soleil accentuent sa splendeur ?!! Juchée là haut sur des montagnes de 2000 mètres d’altitude, Tikjda est un endroit paradisiaque où il fait bon d’humer l’air pur et parfumé par l’odeur des pins. C’est une région toute indiquée

heureux » : personnification des « rivages ». v.3 : « se dérouler » : verbe « dérouler » = dénote du mouvement. C’est un verbe qui est mis en relation avec le calme, harmonieux, doux.  v. 4 : « Soleil monotone » : personnification du « Soleil ». Champ lexical de la chaleur : « chaud » (v.1) ; « chaleureux » (v.2) ; « feux » (v.4) ; « Soleil » (v.4). v.5 : « Île paresseuse » : personnification. L’île représente la femme. Cette île (allusion au corps de la femme) est utopique. On retrouve le topique

2°) Un portrait élogieux de Mademoiselle de Chartres a) – Portrait physique → champ lexical de la beauté Physique d'une princesse ( Blancheur des mains ect... ) Éloge de sa beauté → Hyperboles ( beauté parfaite ) b) – Portrait morale → bonne éducation de sa mère L.5-6 reçoit une éducation classique et moderne but : atteindre

- Une séries d'antithèses tout au long du texte par exemple "classement" s'oppose à "confusion" - La présence du champ lexical du mélange des œuvres qui selon l'auteur nuit à la propre identité de chaque œuvre : "rapprochement de merveilles indépendantes mais adverses", "productions qui se dévorent l'une l'autre", etc. Question 2 : L'auteur va exprimer son point de vue de manière à montrer son mécontentement et son ressenti de manière très explicite notamment par une série de termes traduisant

conditions, il est évident que Saint-Denys Garneau et Grandbois n’abordent pas la fatalité de la même façon. Autant l’un que l’autre, Garneau et Grandbois utilisent des procédés lexicaux dans le but de camoufler leurs idées, puisqu’à leur époque qu’est le milieu du XXe siècle, l’opinion personnel n’est pas très bien vue, même qu’elle peut être punit, voir banni par le mouvement religieux. Pour ce qui est du premier poète, le contexte d’écriture a sans aucun doute joué un rôle dans l’inspiration de

libre de l’imaginer. Le début de la description de ce milieu hostile est fait d'un point de vue objectif. C’est un paysage ingrat, le narrateur insiste sur l'obscurité, aucun détail n'est valorisant. Dans le premier paragraphe du roman on a une description de la platitude du paysage « plaine rase » (l.1), « grande route de Marchiennes et Montsou, dix kilomètre de pavé coupant tous droit, à travers un champs de betteraves. »(l.2 à 3), « le pavé se déroulait avec la rectitude d’une jetée »ligne 7