Vue Champ Lexical

L’auteur de cette nouvelle est Guy De Maupassant. Il vécut au XIX° siècle. 2. Ce texte est une nouvelle réaliste car c’est récit court qui se déroule dans un lieu et une époque précise, et contient peu de personnages. 3. Le narrateur utilise le point de vue externe : Il décrit la vie des personnages, ce qu’il voit. Celui-ci emploie la troisième personne du singulier : «  Les deux chaumières étaient côte à côte » On a l’impression de regarder dans une caméra II. L’intrigue : 1. L’action se déroule près

Chef de la tribu indigène rencontrée par Bougainville à Tahiti. *un pied = 30 cm environ. Questions de lecture 1. Soulignez les termes qui appartiennent au champ lexical du regard. Par quel thème ce champ lexical est-il prolongé ? 2. Relevez les modalisateurs. Quelle attitude révèlent-ils de la part de Bougainville ? 3. Quelles informations Bougainville apporte-t-il sur Tahiti ? 4. Comment se passe la rencontre entre Bougainville

Ainsi, la fosse du Voreux est assimilée à une « bête goulue » (p31) avec une respiration « grosse et longue » (p31). Introduction       C'est un extrait de Germinal (Rougon Macquart) écrit par Zola en 1885. Il s'agit d'une description d’une mine vue par Zola puis par Lantier, la tonalité est donc double, à la fois réaliste et épique. Comment Zola va-t-il présenter la mine sous une double perception. Lecture de l'extrait Il ne comprenait bien qu'une chose : le puits avalait des hommes par bouchées

Tartuffe. L’adverbe d’insistance « tout » montre que Tartuffe cherche à attirer l’attention d’Orgon. Gesticulation grotesque de Tartuffe : « de grands élancements », pour le lecteur, le comportement de Tartuffe rime avec zèle et fausseté. Champ lexical de la vue : « mes yeux », « yeux doux », qui implique une mise en abîme de la comédie dans la comédie avec un crescendo comique qui montre le caractère malsain de Tartuffe. Orgon admire de plus en plus aveuglement des détails mesquins jusqu’à l’écrasement

▪ « étroit » « obscure » « épais » o négations ▪ « n’entendre que l’onde, à ne voir que les cieux » « sans bruit, sans nom, et sans retour » b) omniprésence de l’eau o lieu rempli d’eau o champ lexical de l’eau ▪ « ruisseaux » « onde »x3 « eaux » o antithèse « limpide » - « troublée » o texte écrit à la manière d’un fleuve qui coule o progression du récit ▪ « lassé de tout » => « l’oubli

Une nature animée omniprésente[modifier]La nature est une entité extrêmement présente dans ce poème, principalement dans les deux quatrains, c'est ce que traduit la récurrence du champ lexical correspondant (« verdure », « rivière », « montagne », « rayon »...). Mais cette nature apparaît bien particulière, très vive et active, comme le traduisent les nombreux verbes d'action utilisés (« chante » renforcé par l'allitération de consonnes dentales au vers 1 [t]/[d], « accrochant », « mousse »...) qui

souffrance de l’homme : qu’on pénètre dans ces pensées. L’histoire est racontée à travers le point de vue de l’homme B. Un univers pathétique voire tragique. Répétition de « terrible » = mot dure. Prévert veut faire partager la souffrance de l’homme à ses lecteurs. Répétition « 3 nuits », « 3 jours »à souffrance qui persiste. La nourriture donne envie, devient une obsession : champ lexical de la nourriture « tête de veau », « sauce de vinaigre », « sardines »… Jeux de mots renforce le coté

parfums»(v8), «mer odorante»(9) le goût: «vin de bohême»(v33) la vue: «que j'aime voir»(v1), «miroiter»(v4: les reflets de l'eau sous le soleil) l'ouïe: «glacier grondant»(v30) le toucher: «étoffe vacillante»(v3) qui se rapporte à l'Afrique donc à l'exotisme. Voyage: Dans les strophes 3, 7 et 8, la figure de style qui est présente est une métaphore filée ( métaphore où on relève d'autres métaphores sur un même thème). Le champ lexical de l'eau et de la mer: «mer»(v7), «flots bleus et bruns»(v8)

eau, terre/plume, encrier... - le haut et le bas: terre/nue - le vertical et l'horizontal : descend / termine mon horizon - l'intérieur et l'extérieur : va et vient entre la fenêtre - vue sur l'extérieur - et la pièce dans laquelle se trouve le poète. *Le champ lexical de l'eau: eau, pluie, aquatique, mare, fleuve, mer... *Densité de l'eau: Attaque soudaine, profonde==>VIOLENCE. *Il introduit la culture japonaise dans son poème:Haïku. Sujet: Grenouille. (vers10-11) *Approche

employé tout au long du sonnet et suggère la répétition, l'habitude de l’action telle que "devenais" "j'étais" (v.2-3), "avait" "j'égrenais" (v.5-6), "écoutais" "sentais" (v.9-10), "tirais" (v.13). Ce thème de l'errance se développe à travers le champ lexical du trajet, "course" (v.6) et "routes" (v.9) mais aussi grâce à la comparaison au petit poucet mis en valeur par la ponctuation "-Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma courses des rimes." (v.6-7) seulement au lieu de semer des cailloux le poète