Vulgarité

Hot Riding Hood » Il y a plusieurs critères de censure pour les dessins animés ils sont classés en douze sections dans le code Hays : les crimes contre la loi, la sexualité, la vulgarité, l’obscénité, les jurons, les costumes, les danses, les religions, les décors, le sentiment national. Les religions, la vulgarité sont les interdits les plus fréquents. Les juifs sont très souvent caricaturés, on les représente avec un nez de grande taille, une barbe volumineuse… Ces caricatures sont très fréquentes


 Beugles / aveugles : opposition entre ceux qui se livrent aux plaisirs vulgaires, et ceux qui sont tournés vers le ciel. Dénonciation de la vulgarité de notre existence. Le poète lit le plaisir à l’atrocité. On observe une gradation : chantes, ris, beugle, les termes sont de plus en plus péjoratifs, et marquent précisément le glissement du plaisir vers la vulgarité. Deux vers suffisent à régler leur compte aux prétendus plaisirs de la cité, et l’on peut mettre ces vers en relation avec Le Crépuscule

huile qu’en vin. » (Prologue l.95) le lecteur doit effectivement connaitre l’histoire de Démosthène pour comprendre toute la nuance comique dans cette phrase.Cependant, parmi toutes les références cachées dans ce récit, on constate aussi une réelle vulgarité de là par de l’auteur, de fait nous pouvons lire l’expression « barytonnant du cul » (chapitre 7 l.41) ou Rabelais parle de Gargantua, mais encore la phrase : « mais la dorure d’un tas de paillette de merde qui y m’écorchèrent tout le derrière »

de temps (24h), de lieu (1 lieu) -souci de vraisemblance : vérité plus exemplaire qui peut manquer à un événement réel mais exceptionnel -respect des bienséances : cohérence des personnages et de l’action. Interdiction de choquer le public : vulgarité, grossièretés, brutalités. Les héros tuent et meurent en coulisse. Questionnaire 1.monde renversé 2.l’Illusion comique 3.Richelieu 4. Racine : Andromaque, Britannicus, Phèdre Corneille : Cinna, Le Cid, Polyeucte 6.Farce : Le Médecin malgré

c'est dire du mal et leur agressivité est le côté négatif de ses personnages → animalité dans leurs prénoms avec Lerat, Putois.. La peau rissolée pour Virginie qui représente la sensualité. Le croupion pour Clémence qui représente l'érotisme et la vulgarité. Le père Bru n'est pas un gourmet, peut importe le morceau qu'il mange → allitération en b qui souligne l'idée de bêtise. C) Un portrait de groupe : Tous les individus se confondent dans un groupe de brouhaha → utilisation du « on » qui montre

comme d'un " conducteur de cotillon" Chapitre 11: Balzac et Sainte-Beuve. -> Sainte-Beuve a critiqué Balzac pour sa vulgarité. Pour ce critique, Balzac dans sa vie n'a que de basses ambitions et l'art de parvenir: mariage avec Mme Hanska abordé comme une bonne affaire. En effet, Balzac ne peut concevoir de ne pas avoir la réussite sociale comme but. Pour Proust, la vulgarité des tableaux balzacien fait la force de son style. ->Donc, il y a tout de même pas de démarcation entre la vie de Balzac

il nous donne à réfléchir sur le peuple. La relation à la nourriture devient sociologique, réaliste, symbolique. Une réflexion sociologique Zola, à travers cette scène se livre à une réflexion, analyse des comportements (pourquoi tant de vulgarité et goinfrerie ? Quel regard est-il porté sur les ouvriers, quelles explications peut-on trouver). Pour se faire, construisant la scène en faisant une galerie de portrait qui donne à la scène un aspect carnavalesque. 1 Une galerie de portrait

« châtier la langue » sont employées - Elles mettent la subtilité de la pensée au service d'un discours sur l’amour grâce à des personnages idéalisés. - Elles cherchaient a se distinguer par des manières et un langage raffiné refusant toute forme de vulgarité, par exemple les réalités trop triviales comme « le balai » ou « le cadavre » sont bannies. - Elles simplifient l’orthographe de certains mots et enrichissent le langage avec des néologismes, par exemple autheur devient auteur - Elles inventent

finalement toute responsabilité individuelle, le poète recours à l’emploi prosaïque de l’expression « brûle-gueule ». Ce vocabulaire a-poétique, tout comme la cacophonie « comme il est gauche et veule » (v9) [-k], [-g], [-v], insistent sur le vulgarité de cette société de marins. Enfin, ce jeu d’oppositions entre les deux statuts de l’oiseau, est lisible dans le mouvement même des phrases qui prend une valeur descriptive : Strophe 1 : une ample phrase bien balancée pour présenter l’oiseau en

est un instrument à penser[2]. Les esprits que nous appelons paresseux[3], somnolents[4], inertes[5], sont vraisemblablement[6] surtout incultes[7], et en ce sens[8] qu'ils n'ont qu’un petit nombre de mots et d'expressions[9]; et c'est un trait de vulgarité[10] bien frappant que l'emploi d'un mot à tout faire. Cette pauvreté est encore bien riche[11], comme les bavardages[12] et les querelles[13] le font voir; toutefois la précipitation du débit et le retour des mêmes mots montrent bien que ce mécanisme[14]