Vérités Nécessaires Leibniz

Nicole Sansonnens novembre 2002 LE RECOURS A UNE IDEOGRAPHIE EN SCIENCE EST-IL NECESSAIRE ? Auteur : Gottlob Frege, dans « Ecrits logiques et philosophiques » Frege, dans son texte « Que la science justifie le recours à une idéographie », pose la question de l’utilité d'une nouvelle forme de langage, l'idéographie. A son époque, les sciences dites « abstraites », comme les mathématiques, disposent

La construction de l'œuvre 2 Philosophie 2.1 L'Éthique 2.2 Théorie de la connaissance 2.2.1 Les degrés dans la connaissance 2.2.1.1 Dans le Traité de la réforme de l'entendement 2.2.1.2 Dans le Court Traité 2.2.1.3 Dans l'Éthique 2.2.2 La vérité 2.3 Métaphysique 2.3.1 La substance, les attributs et les modes 2.3.2 Le parallélisme 2.3.3 Le conatus 2.4 Philosophie de la religion : « Dieu, c'est-à-dire la Nature » 2.5 Le théologico-politique : religion et politique 3 L'héritage de Spinoza

car ce qui est bon délicieux pour moi ne l’est pas pour l’autre puis que « l’homme est la mesure de toute chose ».c’est dans cette perspective que Leibniz réduit l’homme à une « monade » fermée sans fenêtre communicable. En effet, même si les autres monades existent «qu’elles relèvent de Dieu mais ne peuvent jamais communiquer entre elles car Leibniz disait en substance que les monades n’ont points de fenêtre par lesquelles quelque chose y puisse entrer ou sortir. Mais le moi peut-il sortir de lui-même

comme une faculté d'objectivité et d'impartialité mettant hors de jeu tous les élans passionnels (avoir raison à tout prix). II) Toutefois, est-il possible de convaincre sans persuader son interlocuteur ? III) Le dialogue et la vérité à tout prix (vouloir trouver {la vérité, être rationnel} c.-à-d. faire preuve de bon sens) Introduction Avoir raison est à première vue faire usage de la raison. Mais avoir raison à tout prix comporte une exclusive : si j'ai raison, les autres ont tort. Avoir raison à

méritent t’elle point que l’on admette leur rôle dans l’acquisition de nos connaissances ? Il est donc primordial de s’interroger sur les multiples natures de ces connaissances, puis de se demander si les sens seuls sont capables malgré leur caractère nécessaire de nous fournir toutes les connaissances que nous propose la vie. Si par connaissance nous entendons tout ce dont nous avons eu connaissance, ce que l’on nous a raconté, enseigné, conseillé, tout ce que nous n’ignorons point, bref, le

en conséquence nous rend plus sage, c'est-à-dire plus savant et plus vertueux. Le philosophe est donc, non pas le possesseur de la science et de la vertu, mais un homme en quête de vérité qui cherche à mieux comprendre ce que sont les choses pour devenir meilleur, plus vertueux, au sens où la connaissance de la vérité nous permettrait de mieux nous réaliser en tant qu'être doué de conscience et de raison. 2 C'est d'ailleurs ce que rechercher Socrate, celui que l'on considère comme le père fondateur

il est capable de plaider le contre aussi bien que le pour, n’hésitant pas utiliser raisonnements (justement appelés sophismes ».. Les sophistes se servent du langage comme d’un instrument au service du pouvoir de persuader sans se soucier de la vérité. Dans ses dialogues, Platon oppose à Socrate, le vrai philosophe, son porte parole, les sophistes, les faux philosophes qui ne cherchent qu’à avoir de l’influence sur les jeunes gens et acquérir le maximum d’argent. Platon est un ennemi résolu

mode perception ne permet pas une connaissance certaine. b) La connaissance du deuxième genre Elle désigne le raisonnement, l’enchainement logique. L’entendement part d’idées simples qui ne sauraient être que vraies, pour aboutir à d’autres vérités : par exemple, quand je connais la nature de la vision, qui fait qu’un même objet vu à grande distance paraît plus petit que si nous le regardions de près, j’en conclus que le soleil est plus grand qu’il ne m’apparait. Ce mode de connaissance est

extrait, il est question de détruire les opinions afin de permettre à la Science d’achever sa quête de vérité. A travers ce texte, l’auteur défend la thèse selon laquelle, l’opinion a pour critère l’utile mais évite la vérité. De ce fait, elle s’oppose radicalement à la Science qui elle, est curieuse et totalisante. En effet selon Bachelard, la Science a pour but la recherche et le respect de la vérité contrairement aux opinions qui visent l’utile. En effet, une opinion est subjective et n’a pas besoin

apporter du sens à nos réflexions. Trop d’objectivité peut amener à des conclusions hâtives.Mais si une pensée reste subjective, elle ne deviendra jamais objective.Notre pensée doit s’éloigner de nos croyance, de nos idéaux si on veut transcender cette vérité illusoire. En effet, une pensée subjective ne s’appuie sur aucun fait, l’aboutissement de cette pensée n’est pas assez fiable.Il nous semble que nous faisons donc face à une difficulté: d’un coté, on ne saurait, apparemment, pas penser sans aimer