Véronèse

intermédiaire; l'étude réelle et prodigieuse à entreprendre c'est la diversité du tableau de la nature ». -Il connait le Louvre mieux que personne, il a même selon lui, trop regardé les vieux tableaux -Il a une admiration absolue pour les Vénitiens; Véronèse, Titien Il aime moins les primitifs -Il faut redevenir classique par la nature, c'est-à-dire par la sensation. LE 17ème siècle, c'était la perfection! Lorsqu'il débute, à travers l'influence de Delacroix, de Daumier, de Courbet c'est déjà

Europe, notamment en France, où il se nourrit en particulier de la pensée de l’école de Chartres. En Italie, des érudits comme Coluccio Salutati (1331-1406) et le Pogge diffusèrent des œuvres d’auteurs romains, tandis que d’autres, comme Guarino Veronese (1374-1460) et Francesco Filelfo (1396-1481) révélèrent à leurs contemporains des auteurs grecs de l’Antiquité. Des poètes néo-latins remirent au goût du jour les formes de la poésie latine et des philologues comme Lorenzo Valla inaugurèrent la critique

commune, sa lumière faite à partir de couleurs tranchées presque sans nuances est d’une intensité exceptionnelle. Tout le superflu est éliminé. Le peintre est fasciné par cette lumière que provoque le mistral. La lumière de ce tableau contient un vert Véronèse qui enveloppe tout. Le peintre a voulu faire « du premier jet » la perfection  en peinture. La rencontre ou bonjour M. Courbet 1854 Gustave Courbet L’un des plus célèbres tableaux du peintre Gustave Courbet (1819-1877) s’intitule

maniériste va aussi toucher la ville de Venise. On parlera de Renaissance tardive. Ces peintres vénitiens s'opposent au courant maniériste en 1540, et on va garder une certaine spécificité vénitienne à travers 3 artistes ; Titien, Le Tintoret, et Véronèse. On est aux alentours de 1540, on a un changement stylistique à Venise et un renouvellement des sujets. On a parler de Venise avec Bellini, ou l'oeuvre est un sujet religieux, ici c'est un parti différent. Ces trois artistes sont sensibles de l'art

de l’enseignement scolaire. Bureau des programmes d’enseignement. Annales « épreuve écrite anticipée de français ». Page 15 Gustave Flaubert, Madame Bovary (1857) 3. Pendant la nuit de la Saint-Barthélemy, en 1572. 4. Tableau du peintre italien Véronèse (1562), dont le sujet est inspiré d’un épisode de la vie du Christ qui change miraculeusement l’eau en vin. 5. Célèbre tableau du peintre italien Léonard de Vinci (1507). 6. Le Sommeil d’Antiope du Corrège (1489-1534). 7. Peintre espagnol (1618 –

connaissances (dissection, …)Les artistes signent leurs œuvresIls répondent à des commandes (ex : portraits) et peuvent être financés par des mécènesB) L’Italie, foyer de la Renaissance- Florence : mécénat des Médicis- Venise : école de peinture avec Veronèse, Le TitienRome : le pape Jules II commande la basilique (symbole de puissance)⇒ 1508 : Michel Ange → Chapelle SixtineC) La diffusion de la Renaissance :La Renaissance n’est pas née qu’en Italie :Aux Pays- Bas est inventée la peinture à l’huile (Ian

central avec un fronton, et des colonnes engagées. Dans le bâtiment, un espace en croix couvert d’une voute d’arrêtes, comme la réactualisation de l’atrium antique. Les espaces intérieurs sont beaucoup plus décorés, notamment avec des fresques de Véronèse, de paysages à grande échelle, avec le paysage comme majeur dans la décoration avec notamment des trompe oeil. Décors illusionniste très prisé à l’époque. La villa Badoer, 1556, surélevé d’un étage, dominant le paysage, les barcessé vont s’incurver

françaises grands formats XIXe s. 23 24 Denon Bronzes et objets précieux Terres cuites 32 25 E F C 33 77 11 10 76 75 26 37 45 38 39 40 FERMÉ 30 41 29 42 28 43 27 44 La Joconde, L. de Vinci Les Noces de Cana, Véronèse D C 34 74 35 47 36 46 S W 25 24 23 22 21 2019 26 31 30 29 28 27 18 14 17 15 16 7 E 6 K L 4 1 66 Salles Mollien 9 2 F 8 5 Peintures anglaises Salle d’actualité 33 32 13 3 Grèce préclassique

C’est aussi la naissance de l’imprimerie, inventée par Gutenberg vers 1450. Les arts et les sciences se développent considérablement, et les souverains appellent à leur cour des artistes de tous les pays. Les peintres (Michel-Ange, Raphaël, Véronèse), les philosophes (Pétrarque, Érasme) et les architectes rejettent l’art médiéval fondé sur la religion et redécouvrent l’Antiquité gréco-romaine en s’en inspirant (d’où le terme de "renaissance"). Léonard de Vinci symbolise cette période d’ébullition

sujets religieux sont encore majoritaires La plupart des peintres des XV e et XVI e siècles s'inspirent de la tradition religieuse chrétienne. Leurs sujets d'étude portent sur les récits de l'Ancien et du Nouveau Testament. C'est le cas du peintre Véronèse qui réalise une toile mettant en scène le récit des Noces de Cana pour le réfectoire d'une abbaye ou encore de Michel-Ange qui n'hésite pas à proposer une représentation du divin sur le plafond de la chapelle Sixtine. Toutefois, l'évocation des