Walt Disney Studios

forts dans les années 1950 et 1980. Pendant la décennie de 1950 à 1960, le 3D a connu sa première période faste. Propulsé par le succès commercial de «Bwana Devil» lancé par la United Artists en 1952, le cinéma 3D intéresse désormais les grands studios. Ces derniers tournent plus d’une cinquantaine de films, dont «Le crime était presque parfait» d’Alfred Hitchcock et «Hondo» mettant en vedette John Wayne. Bien que ces films aient été tournés dans les règles de l’art, le cinéma 3D n’a pas survécu

informatique. Cinq autres millions de dollars seront investis pour la création du capital et de la structure de l’entreprise. Steve Jobs va se focaliser sur l’animation. La société change de nom, Pixar Image Computer, pour devenir l’actuel Pixar Animation Studios. 1997 Il s’agit de l’année du retour quasi-triomphal de Steve Jobs chez Apple. Cette même année, Apple rachète NeXT pour 400 millions de dollars, et la transformation de la société commence. Steve Jobs est dans un premier temps conseiller auprès

américaine Nike et celui de Nivéa, filiale du groupe allemand Beiersdorf. I. Les facteurs et impacts de l’implantation du parc Disneyland en région parisienne. Suite au succès du parc américain Disneyland de Californie, ouvert en 1955, la Walt Disney Company a envisagé d’ouvrir de nouveaux parcs d’attraction et a donc cherché de nouveaux sites pour ouvrir ses royaumes de la magie. Cela a amené à l'ouverture du Disneyworld, le plus grand mondial et le lieu touristique le plus visité au monde

d'un conflit avec John Sculley qu'il avait pourtant recruté au poste de directeur général. Il crée alors NeXT et rachète Pixar à George Lucas, ce qui lui vaudra de devenir, lors du rachat des studios d'animation en 2006, membre du conseil d'administration et premier actionnaire individuel de la Walt Disney Company. Il revient prendre la direction de la marque à la pomme en 1997 et se trouve dès lors à l'origine de la réussite planétaire des différents produits lancés depuis cette époque, toujours

1 - Générique Titre original : A.I. Artificial Intelligence Réalisation : Steven Spielberg Production : Kathleen Kennedy, Steven Spielberg, Bonnie Curtis Adaptation : Ian Watson Scénario : Steven Spielberg Producteurs exécutifs : Jan Harlan, Walter F. Parkes Conception artistique : Chris Baker Photographie : Janusz Kaminski Décors : Rick Carter Costumes : Bob Ringwood Supervision des effets visuels : Dennis Muren Effets spéciaux : Michael Lantieri Création des robots : Stan Winston Musique

vidéo 3- Etat du marché des consoles a- Sony et la PlayStation 2 b- Nintendo et la Game Cube c- Microsoft et la Xbox 4- Evolution du marché B- Analyse du marché 1- Analyse du contexte externe a- Les opportunités et menaces sur la filière 1.1- Les studios de développement 1.1.1- L'équipe de conception 1.1.2- L'équipe artistique 1.1.3- Les musiciens 1.1.4- L'équipe de programmation 1.1.5- L'équipe de test 1.2- Les éditeurs de jeux vidéo 1.3- Les fabricants de consoles 1.4- Les autres acteurs de l'industrie

la synchronie visuelle et sonore, avec des formes abstraites et de la musique classique. Ces travaux sont restés au stade expérimental jusqu'à ce que les studios Disney l'exploitent dans leurs comédies musicales. C'est pourquoi elle est restée de nos jours sous l'appellation de "mickey-mousing", en référence au célèbre personnage de Walt Disney. Ici, il y a tout au long du Plan Mercure une mise en correspondance entre le bruitage et l’image. Pour ne citer que l’une de ces situations, prenons la séquence

main-d’œuvre et leur culture populaire. » écrit Schlosser. Il dénonce les stratégies marketing de MacDonald, qui prennent pour cible première les enfants (et donc par conséquent les autres membres de la famille) : il prend pour exemple le partenariat avec Disney, qui a conduit a l’apparition de jouets dans les menus enfants. Le but est de déclencher un processus de fidélisation dès l'enfance : la consommation perdure à l’âge adulte grâce au sentiment nostalgique associé au restaurant. * Les effets de la

industries culturelles (AOL Time Warner, Bertelsmann, Disney, News Corp, Sony, Viacom et Vivendi Universal) et quatre groupes européens de taille moyenne, représentatifs des diverses filières : EMI (musique), Pearson, Reed Elsevier, Lagardère (édition/presse) et Lagardère (audiovisuel). Ces onze groupes illustrent bien par ailleurs la dispersion géographique du leadership dans les industries culturelles : trois groupes sont américains (AOL Time Warner, Disney, Viacom), deux sont issus de la zone Asie-Pacifique

sonore. Apparaît d'abord le film avec des bruits et de la musique et puis arrive le premier film parlant "Le chanteur de jazz" en 1927. 1931 à 2001 1934 : C'est le début du cinéma couleur avec la mise au point du technicolor trichrome. 1937 : Walt Disney réalise le premier long métrage d'animation sonore et en couleurs. Il s'intitule "Blanche Neige et les sept nains". 1946 : Premier festival international du film à Cannes (Europe/France). 1950 : Vers 1950, le cinéma en trois dimensions (3D)