Warren Buffett

H. McInnerney [note 1] Forme juridique : Société anonyme Action NYSE : KFT Slogan « Make today delicious » Siège social :Northfield, Illinois (États-Unis) Direction : Irene Rosenfeld, CEO Actionnaires : Nelson Pletz : 3 %[3] Warren Buffett : 8,6 %[4] Activité : Agroalimentaire Produits chocolat, café, boisson, fromagerie, snacks Filiales LU - Cadbury Effectif 103 000 (2007) Site web www.kraftfoodscompany.com Chiffre d’affaires 34,356 milliards USD (2006) Un mécénat

comme limite à la transparence. La dimension financière et sociétale est liée à certains nombre de paramètres liés au modèle économique. Le modèle économique doit être l’obsession de ceux qui préparent l’information et de ceux qui l’analysent. Warren BUFFET : Quand on ne comprend pas comment une société gagne de l’argent, donc si on ne comprend pas le modèle économique d’une société en tant qu’actionnaire ou client, il ne faut pas acheter. Donc, lorsqu’on est dans une stratégie de communication,

patrimoine se situe entre 1 et 10 millions de dollars, soutiennent en majorité le candidat républicain John McCain. Mais les deux tiers des « super-riches », dont le patrimoine atteint ou dépasse les 30 millions de dollars, soutiennent aussi Obama. Warren Buffet, la plus grosse fortune des Etats-Unis et du monde selon le magazine Forbes (62 milliards de dollars), a fait savoir qu’il votait pour le candidat démocrate, tout comme le financier George Soros (9 milliards de dollars). Les super-riches ne se

financière" - 9/04/2010 35 3ème partie Rebondissements et perspectives SFDS-BFA - séminaire "Régulation financière" - 9/04/2010 36 Rebondissements et perspectives La crise avait été anticipé par plusieurs personnalités 2003, Warren Buffet « les produits dérivés et structurés sont des armes financières de destruction massive » 2006,David Reiss « rôle néfaste de la titrisation dans l’accroissement du soutien abusif de crédit » 2007, Nouriel Roubini université de New York « la titrisation

pas tout attrait. Ces acheteurs sont des spéculateurs ! Opposer capitalisme de spéculateurs et d’entrepreneurs n’est pas une solution. Pie rreLes spéculateurs ont plusieurs visages : * des figures historiques et connues : Georges Soros, Warren Buffet * les fonds spéculatifs ou hedge funds * les banques elles-mêmes : Kerviel en a révélé les limites * plus rarement des fraudeurs : Madoff pour le plus célèbre La spéculation financière est une opération, ou une série d'opérations

transparence :   Celle-ci s’impose comme une nécessité partout reconnue. La transparence des banquiers, des organismes de crédit, des autorités monétaires et des instances de régulations sur la composition des produits financiers est réclamée. Warren Buffet préconise d’ailleurs d’obliger les investisseurs à « dire ce que nous voudrions savoir si nous étions à leur place ». Les scandales financiers, comme l’affaire Kerviel témoignent des effets d’un manque d’information. Il faut expliciter de quoi

Bruyère 46 Le savoir-faire L eut-être que les raisins d'un petit domaine de 2 hectares en France sont les meilleurs du monde, mais j'ai toujours soupçonné qu'environ 1 % de cela tient à la manière de le boire et 99 % à la manière de le dire. Warren Buffet P La recette d’un bon discours, c’est une très bonne introduction, une très bonne conclusion, et les deux les plus rapprochées possible. Pierre Dac e meilleur moyen de persuader consiste à ne pas persuader . Lautréamont ieux vaut rester

activités existantes. Par opposition à la diversification, il s’agit d’accoler des chaînes de valeur totalement indépendantes, qui ne se partagent aucun maillon. Ex. : les activités de General Electric vont des moteurs d'avion à la télévision; Warren Buffet développe un conglomérat autour de l'assurance, des jets d'affaires, de la restauration rapide et de l'ameublement; Richard Branson, préside des activités allant du transport ferroviaire aux cosmétiques, sans oublier le groupe Virgin; les activités

souffrances qu’on ne ressent rien. — Je n’écoute pas les rumeurs. Je travaille, je travaille beaucoup, et je me concentre sur mon objectif. Il jeta un coup d’œil sur sa gauche à Warren, son coach, assis un peu plus loin. Warren ferma les yeux puis les rouvrit, en signe d’assentiment. Austin regagna le vestiaire, suivi par Warren et deux ou trois photographes. Chaque fois qu’il recevait ce genre de piques, chaque fois qu’on évoquait le désamour du public, renaissait en lui un sentiment diffus mais très

les agents à choisir des stratégies plus risquées, et que l’utilisation de ces produits non seulement à titre spéculatif mais même à titre de couverture   conduit à une augmentation de la volatilité. Les produits dérivés ont étés qualifiées par Warren buffet « d’armes de destructions massives ». En outre avec le phénomène de la globalisation, on va vers un marché de capitaux unique, et les places financière sont interconnectées ce qui explique qu’-il existe un risque systémique : la fameuse “théorie