Y A T Il Des Vérités Indubitables

Chapitre 4 : Le bonheur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 21 31 39 deuxième partie Le savoir Chapitre 5 : Le langage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Chapitre 6 : Vérité et connaissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Chapitre 7 : La science . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Chapitre 8 : La philosophie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

l'heureux homme, que c'était lui, bien lui, lui seul qui avait passions et sagesse. Mais un rêveur, un vrai rêveur qui traverse les folies de la nuit, est-il sûr d'être lui-même ? Quant à nous, nous en doutons. Nous avons toujours reculé devant l'analyse des rêves de la nuit. Et c'est ainsi que nous sommes arrivés à cette distinction un peu sommaire qui cependant devait éclairer nos enquêtes. Le rêveur de la nuit ne peut énoncer un cogito. Le rêve de la nuit est un rêve sans rêveur. Au contraire

Est-ce que mes actions sont réellement les miennes ? Les autres peuvent-ils les influencer ? Suis-je conscient de la dominance (l’influence) des autres sur mes actions ? Mais alors suis-je libre de mes actes ? Ainsi, il conviendrait de s’intéresser à la conscience de soi et de ses actes, puis de se pencher sur le présupposé selon lequel être volontaire voudrait aussi dire être libre, et enfin de considérer la possibilité que l’on n’aurait pas conscience que la liberté ne serait qu’une illusion.

L'Homme a en sa possession deux éthiques lui permetant d'effectuer ses actions. Toutes deux, d'après Max Weber dans Le Savant et le Politique, sont dirigées par des maximes opposées. Ainsi, le philosophe observe l'éthique de conviction, qui consiste à croire en une doctrine, une religion ou autre, et d'appliquer cette façon de croire, de penser, de faire à tout instant et laisser le hasard, Dieu, ou une tiers personne en porter les conséquences. Tantdis que l'éthique de responsabilité, quant à elle

pièces de théâtre de genres et d’époques différents. Il s’agit dans tous les extraits de scènes de conflit entre deux personnages, mais les situations et les moyens utilisés pour marquer l’opposition entre eux varient d’un texte à l’autre. On remarque d’emblée que les textes A et C présentent un thème commun : la dispute amoureuse ou conjugale. Les personnages mis en oppositions sont un homme et une femme, couple d’amants chez Molière, époux chez Strindberg. Mais l’enjeu du conflit est très différent

nos idées, nous donnons notre avis, nous montrons que l’on s’intéresse à toutes sortes de choses et nous faisons des choix. En quelque sorte, l'opinion nous permet tout simplement de nous exprimer et de nous affirmer. De sorte, que s'exprimer, se prononcer sur de nombreux sujets, c'est accepter une multitude, une abondance et une divergence d'opinions. On se demande donc si toutes les opinions sont acceptables ? Nous répondrons à cette question dans un premier temps en étudiants l’opinion, dans un

Mea-culpa, L a scène du bus n’est pas aussi dramatique ni humiliante ou quoi que ce soit d’autre, que cela. Moi, maladroit, pensant naïvement faire preuve de délicatesse (hé oui !), je me suis effacé… en attendant de connaître ta position, ton opinion, au sujet de ma présence à tes côtés alors que Mr X (comment l’appeler ?) qui serai juste assis devant nous. Pour éviter la médisance. Je ne m’attendais pas du tout à ce que nous soyons présents, tous les trois en même temps au même endroit.

introduction du problème Être un sujet, c'est « dire Je ». « Dire on », c'est se soustraire à la responsabilité de « dire Je ». C'est se mettre à l’abri car cela permet de se cacher derrière une foule indéterminée, anonyme, de sorte qu'en disant on, le sujet n'est pas lui-même et même n'est plus personne. Personne ne peut être interpellé dans le « on » contrairement au « nous ». « Dire Je », c'est se mettre à distance de l'indistinction, c'est affirmer son identité, se poser soi-même comme sujet et

dissertation Conscience Sujet : « Faut-il se méfier de sa conscience ? » On sait de nos jours que 30% des accidents de la route sont liés à l’alcool en France, on sait également que des campagnes de sensibilisation sur le sujet sont faites, mais il y’a toujours autant d’accident. En consommant de l’alcool nous sommes conscient du risque que peut entrainer l’alcoolémie. Le fait de prendre la route met en danger les autres et nous même, alors pourquoi n’avoir pas écouter sa conscience

conséquence d’une volonté maladroite de tout dire! Sachez mesurer votre progression: ce qui intéresse le correcteur est d’assister à une réflexion à l’œuvre. On ne peut donc être sévère, même si on regrette une propension à l’encyclopédisme. D’autres correcteurs pourraient être plus sévères! ------------------------------------------------- Dissertation de l’élève - INTRODUCTION A tout homme qui voudrait pouvoir se targuer d’être un homme de vertu, on dirait dans l’opinion commune qu’il "agit bien",