Y A T Il Un Droit Du Plus Fort Rousseau

DROIT CONSTITUTIONNEL GENERAL. Introduction : le lexique des termes juridiques définit le droit publique comme « l’ensemble des règles organisant l’état et ses démembrements (régions, départements, communes ) et régissant ses rapports entre les puissances publique et les particuliers », quant au droit constitutionnel il serait toujours selon la même source « l’ensemble des règles juridiques relatives aux institutions grâce auxquelles l’autorité s’établie, se transmet et s’exerce dans l’état »

législatif dans les Constitutions de 1791 à 1793 Introduction : 11 septembre 1792 : réunion pour donner à la France une nouvelle constitution Constitution du 24 juin 1793 Tendance vers l’étatisme ; exemple : droit au travail Comment passer d’une monarchie constitutionnelle Le pouvoir législatif dans les Constitutions de 1791 et 1793 I. Le déséquilibre au profit du pouvoir législatif A. La légicentrisme Doctrine qui dit que la loi fonde l’Etat ; Rousseau, lutter contre le pouvoir absolu

« Du droit du plus fort », Du Contrat Social, J.J. Rousseau Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit, et l'obéissance en devoir. De là le droit du plus fort ; droit pris ironiquement en apparence, et réellement établi en principe. Mais ne nous expliquera-t-on jamais ce mot ? La force est une puissance physique ; je ne vois point quelle moralité peut résulter de ses effets. Céder à la force est un acte de nécessité, non de volonté ;

qui est le plus fort soit suivi. La justice sans la force est impuissante ; la force sans la justice est tyrannique. La justice sans force est contredite, parce qu'il y a toujours des méchants. La force sans la justice est accusée. Il faut donc mettre ensemble la justice et la force, et pour cela faire que ce qui est juste soit fort ou que ce qui est fort soit juste. La justice est sujette à dispute. La force est très reconnaissable et sans dispute. Aussi on n'a pu donner la force à la justice

 Introduction a la pensée politique Introduction: Apres la guerre froide, il n'y a plus d'idéologie mais il reste les idées. Ceci crée des conflits internes et externes. Il y a plusieurs thèses à ce niveau: -Thèse matérialiste (intérêt économique = base de tous conflits interne et externe). -Thèse idéaliste (met l'accent sur les idées). I. Définition des concepts: A. Définition du mot "politique": La "politique" vient du mot grec "Polis" qui signifie

Texte 3 : Jean-Jacques Rousseau, Les rêveries du promeneur solitaire (1782) Intro : Philosophe français, siècle des lumières (fin XVIII), essai : utilise des éléments autobiographique pour mener une réflexion, question du bonheur et de la possibilité de sa réalisation, 5eme promenade : séjour a l’ile St-Pierre. * Quelle définition du bonheur Rousseau propose-t-il en évoquant poétiquement le rythme de ses journées sur cette ile ? I. Récit nostalgique d’un moment de vie heureux 1)

intérêts communs et des relations d'interdépendance. 1. Le passage de l'état de nature à l'état de société. Rousseau : état de nature → l'homme est isolé, vit pour ses besoins. Pas de lien social, pas de langage. Mais alors que distingue cette homme de l'animal ? Même vertu que les animaux, pas de méchanceté, mais satisfait ses besoins, ses instincts. Etat de nature → pitié (empêche de faire le mal, pousse à la solidarité, souci d'autrui), amour de soi (conservation consciente = subsister dans

A partir de quel moment, les individus ont-ils décidés de vivre en société ? 1. L’État phénomène volontaire. - Théorie du contrat social ( XVII & XVIII siècle ), par Hobbes, Rousseau et Locke. On explique en général la naissance de l'état au XV siècle. Les hommes naissent libres et égaux en droit, ils décident donc de se rassembler. - Rousseau dit qu'il y à 2 phases dans la création de l'état. ● État de nature : Tous les hommes partent du fait qu'ils sont libres et égaux. ● Contrat

A t'on le droit de désobéir aux lois Intro : Pourquoi il y a l' auxiliaire" avoir" dans l'intitulé ? Avoir = posséder ? Dans ce cas, possède-t-on un droit ? Droit : Reste à se poser cette question fondamentale : le droit, le légal, est-il toujours légitime ? La réponse ne peut être que négative si l’on réfléchit à certaines règles codifiées passées qui nous paraissent aujourd’hui totalement étrangères à la justice : par exemple le droit du maître sur l’esclave. Cela implique-t-il

la force. En ce qui concerne le pouvoir politique de l'État, pour faire respecter les lois, le droit qui régit les rapports entre les citoyens on oppose ainsi aux citoyens récalcitrants une force supérieure à la leur. Cela est nécessaire dans bien des cas étant donné que chacun, en tant qu’individu égoïste peut vouloir faire exception et ne pas se soumettre spontanément aux lois en vigueur. Ce recours à la force est légal sinon légitime. Qu’est-ce qui peut le rendre légitime ? Le fait que les lois