Y A T Il Une Culture Supérieure à D Autres

Observation d'une bibliothèque à Nantes : La culture du pauvre, la culture du riche, et les chercheurs d'ors. Une bibliothèque est un espace qu'une grande majorité des classes sociales si ce n'est pas toutes partagent. Ainsi elles se rencontrent dans ce lieu, mais ont-elles vraiment les mêmes buts, intérêts à profiter de cet endroit ? Je me suis rendu à la Médiathèque de l'espace Jacques Demy, proche du Centre ville Nantais, le mercredi 11 Avril, de 10 h 20 à 11 h 40, afin d'observer

I -La culture, un mot aux sens multiples A - La culture, une négation de la nature 1 - Etymologie du terme « culture » En latin, le verbe colere (« cultiver » ou « habiter ») a donné le mot cultura, qui désigne l'action de cultiver la terre. Mais le terme de culture a ensuite pris un sens plus large : pour l'anthropologie ou la philosophie, il désigne l'ensemble des activités humaines qui s'écartent des simples déterminismes naturels et qui sont issues généralement de la réflexion

qu’elle est supérieure à une autre ? On peut constater que la culture prend toujours des formes multiples, il n’y a pas une culture mais des cultures. Dans ce cas la culture désigne les modes de vie et de pensée d’un peuple. Le problème est de savoir quel comportement adopter face à la culture des autres. Faut-il les respecter dans leurs différences et admettre que toutes les cultures se valent ? Ou au contraire, peut-on penser que certaines cultures sont plus civilisées ? La culture se situe sur

ethnologue et philosophe français qui a exercé une influence décisive sur les sciences humaines à la fin du XXe siècle, il est une des figures fondatrice du structuralisme. Depuis ses premiers travaux sur les peuples indigènes du Brésil, qu'il avait étudiés sur le terrain entre 1935 et 1939, et la publication de sa thèse Les Structures élémentaires de la parenté en 1949, il a produit une œuvre scientifique dont les apports ont été reconnus au plan international. Il a également publié Tristes Tropiques

Bernard Lahire Bernard Lahire est un sociologue français né en novembre 1963 à Lyon, il est professeur de sociologie à l'École normale supérieure de Lyon en 2000 puis directeur du groupe Recherche sur la socialisation au CNRS depuis 2003. Ses travaux ont porté essentiellement sur l’éducation, la scolarité et la culture. Il a publié à ce jour 15 ouvrages. Durant ses recherches et dans son travail Lahire va nuancer la théorie d’habitus de Pierre Bourdieu et la développer en se fondant sur

d’hommes partageant une même langue et une même culture. La nation quant à elle est un groupement de peuples, d’ethnies, vivant dans un même espace, et partageant une histoire commune. Dans certains continents tels l’Afrique, l’ethnie est considérée comme l’élément primordial du choix politique et du rapport que l’homme entretient avec les autres. Or, une telle conception, bien qu’enrichissante, comporte souvent des dangers imprévisibles ; ceux liés à la destruction de l’harmonie sociale. Le problème

Sujet : La culture est-elle une perversion de la nature ? La culture est avant tout un terme qui a des sens multiples, tous dérivés du sens premier de « culture de la terre ». On peut voir que la culture est le propre de l'homme : elle fait partie de son évolution et de sa définition. Il faut également s'interroger sur les cultures au pluriel, car il en existe une grande diversité. Dans l'Antiquité, les Grecs nommaient tous les peuples extérieurs à leur culture des « barbares » : pour

Abdellah sur une période de plus de deux décennies. Elle s’appuie sur une étude faite sur les mêmes exploitations en 1998 et consiste à les revisiter pour saisir les changements qui se sont opérés. Les exploitations céréalières ont soit disparu, soit subi des transformations radicales dans leurs systèmes de culture. C’est finalement le système phoenicicole qui a le plus résisté aux changements de l’environnement économique des exploitations de mise en valeur agricole. Les changements qui se produisent

En philosophie, la culture désigne ce qui est différent de la nature, c’est-à-dire ce qui est acquis et non ce qui est inné. En sociologie, elle peut se définir par la richesse d’un pays ; elle retrace toute l’histoire d’un peuple. Elle constitue un ensemble qui représente notre croyance, nos mœurs, notre langage, notre civilisation, notre société, le domaine artistique…, qui évolue avec le temps. La notion de valeur fait référence à une idée d’évaluation. Cela revient à la question de comparer

Cet article est disponible en ligne à l’adresse : http://www.cairn.info/article.php?ID_REVUE=RFS&ID_NUMPUBLIE=RFS_441&ID_ARTICLE=RFS_441_0003 La stratification sociale des goûts musicaux. Le modèle de la légitimité culturelle en question par Philippe COULANGEON | Ophrys | Revue française de sociologie 2003/1 - Volume 44 ISSN 0035-2969 | ISBN 2-7080-1044-1 | pages 3 à 33 Pour citer cet article : — Coulangeon P., La stratification sociale des goûts musicaux. Le modèle de la légitimité culturelle