Yeux Vairons

dédié cet ouvrage à Hector Berlioz, il est également connu sous le nom de « Ferragus, chef des Dévorants ». Ce roman constitue le premier volet d’une trilogie, suivie de « touchez pas la hache » rebaptisé « La Duchesse de Langeais » et « La Fille aux yeux d'or ». Le fil conducteur de cette saga étant l'histoire des treize : « nom d'une des tribus de Compagnons ressortissant jadis de la grande association mystique formée entre les ouvriers de la chrétienté pour rebâtir le temple de Jérusalem », espèce

tout chargé de rancune et de violence, que le modèle, il faut en croire Marcel Bouteron, qui a fait un historique exact de cette liaison manquée, ne justifiait pas tout à fait. Ces trois romans (Ferragus, la Duchesse de Langeais, la fille aux yeux d’or) parfaitement fantastiques, irréels sont pourtant des créations irréfutables d’un romancier génial de la réalité. Il n’y a pas de contradiction chez Balzac parce qu’il y a chez lui la présence constante du génie, qui assimile et dépasse toute

Je vous présente ici ma dernière lecture, Les yeux jaunes des crocodiles de Katherine Pancol, un vrai coup de coeur. D'ailleurs ont-ils vraiment les yeux jaunes ces crocodiles, je dois dire qu'il m'effraient, encore plus depuis que j'ai lu le bouquin. Il s'agit là d'une sorte de saga familiale. On peut dire que c'est du Zola transposé à notre époque. Monde cruel s'il en est. Personnalités exacerbées. Différentes générations sont présentées, différentes situations aussi, 600 pages dévorées en un

Scènes de la vie parisienne... Troisième volume. - Paris, Madame Charles-Béchet, 1834. Histoire des Treize : 2. Ne touchez pas la hache [La Duchesse de Langeais] ; 3. La Fille aux yeux d'or. XII. Scènes de la vie parisienne... Quatrième volume. - Paris, Madame Charles-Béchet, 1835. La Fille aux yeux d'or [fin]. Note. Profil de marquise [Étude de femme]. Sarrasine. Madame Firmiani. La Comtesse à deux maris [Le Colonel Chabert]. LE LIVRE MYSTIQUE, par M. de Balzac. - Paris, Werdet 1er

Chef-d'œuvre inconnu, 1831 * Le Colonel Chabert, 1832 * Le Médecin de campagne, 1833 * Eugénie Grandet, 1833 * Histoire des Treize, comprenant : * Ferragus, 1833 * La Duchesse de Langeais, 1833, 1839 * La Fille aux yeux d'or, 1835 * La Recherche de l'absolu, 1834, 1839, 1845 * Le Père Goriot, 1835 * Le Lys dans la vallée, 10 juin 1836 * La Vieille Fille, 1836 * César Birotteau, 1837 * La Maison Nucingen, 1838 * Les Secrets de la princesse

«  Là, tout fume, tout brule, tout brille, tout bouillonne, tout flame, s’avpore, s’éteint, se rallume, étincelle, petille et se consume ! «  l.21. Nous somme etrainés dans la folie qu’est Paris. 2): Conclusion : Cet incipit de «  La Fille aux yeux d’or «  de Balzac, presente Paris et sa population sous un très mauvais angle. Paris est décrite comme étant un Enfer, sa population comme étant horrible. Cet incipit est certainement là où va se derouler principalement le roman, ce qui laisse supposer

FERRAGUS : nom de guerre (en fait Ferragus XXIII) de Gratien Bourignard, ancien entrepreneur de bâtiment, forçat évadé, père de Clémence. Apparaît aussi sous le nom de Camuset et du comte de Funcal. En 1815 il accompagne de Marsay chez la fille aux yeux d'or. – Comte de FUNCAL : semble un précurseur de Vautrin. – Ida GRUGET : couturière, prostituée, maîtresse de Ferragus. Elle se jette dans la Seine et son suicide est évoqué par sa mère dans La Rabouilleuse. – Auguste de MAULINCOUR : officier de

sublime Constitution » (Camille Desmoulins) « Un des spectacles où se rencontre le plus d’épouvantement est certes l’aspect général de la population parisienne, peuple horrible à voir, hâve, jaune, tanné. » (Honoré de Balzac incipit de La Fille aux yeux d'or) « C'est un géant » (pour dire que c'est un homme de grande taille) « La surface du pain est merveilleuse d'abord à cause de cette impression quasi panoramique qu'elle donne : comme si l'on avait à sa disposition sous la main les Alpes,

de voir. Chacun possède un avis tCHARVOLIN Pierre GARRIDO Laurine CHAVAGNEUX Julie MPS:Vision du monde TP1 Introduction : En Italie à la Renaissance, les jeunes femmes de la noblesses qui désiraient trouver un mari se mettaient dans les yeux des feuilles de Belladone pour leurs dilater les pupilles et disaient-on augmenter leur charme. Hypothèses : 1)Pour les femmes : On pense que les femmes aiment les pupilles de taille moyennes. La relation entre le succès et la taille des pupilles

magnifique, chacun se remet en question et fait le point sur sa vie : 1) La petite Pauline qui, du haut de ses huit ans, observe ses parents jouer la comédie du couplesolide qui dure. Nièce de la mariée et demoiselle d’honneur, qui a des étoiles plein les yeux et qui rêve, un jour, à son tour d’épouser le prince charmant et de devenir une princesse comme satante.Dans la luxueuse 806 en cuir de ses parents, entre son frère et sa sœur, elle contient sa hâte d’arriver à l’église. Là, derrière l’émerveillement