Zadig Critique Religion

en Droit mais fréquente la société des hommes érudits, des épicuriens, de la noblesse et des hommes de lettres notamment des poètes, de l’Hôtel VENDOME (Le temple), lui même, s’essayant à la poésie et s’associant avec les autres aux critiques émises contre la religion et la Monarchie. * Premières expériences : Son père cherche à l’éloigner de la société libertine du temple et l’envoie à LA HAYE aux Pays Bas, secrétaire de l’ambassadeur le Marquis de Châteauneuf, mais une relation amoureuse

les Anglais (1734), l'édition originale du Traité sur la tolérance (1763), ce sont aussi différents traités d'Histoire dont Le Siècle de Louis XIV (Dresde, 1753) et La Philosophie de l'Histoire (Amsterdam, 1765), les poèmes philosophiques tels La Religion naturelle (Genève, 1756), Poème sur le désastre de Lisbonne (1756), La Guerre civile de Genève (Besançon, 1768). A citer également La Henriade, parue d'abord en 9 chants sous le titre La Ligue ou Henri le Grand ainsi que la 1ère édition en 10 chants

ne sont faites que pour être jouées." A – Les individualités qui constituent le public, si elles partagent le temps et l'espace de la représentation, n'en demeurent pas moins libres dans leurs émotions et leur perception de l'œuvre. Exemple : les critiques des pièces sont rarement unanimes. Une sortie scolaire au théâtre fait aussi ressortir la liberté d'interprétation du spectateur. Autre exemple littéraire : Hernani de Victor Hugo et la fameuse "bataille" que cette pièce a engendrée. B – L'interprétation

séparation des pouvoirs : E-L à l 'époque. Contre l'esclavage. Les lettres persanes : 1721 Montesquieu critique clairement de façon implicite le système monarchique dans lequel il vit, sous la forme d'un roman épistolaire rassemblant la correspondance fictive échangée entre deux voyageurs persans. Voltaire (1694-1778) : Candide, Zadig, critique de l'absolutisme, mais aussi de l'intolérance et des religions ( affaire Calas ). Il propose une monarchie tempérée sur le modèle anglais, qu'il soutient auprès

fondement parmi eux que la seule jalousie de la vertu ». De même, des auteurs comme La Bruyère, au xviie siècle, ou les philosophes des Lumières auxviiie siècle, diffusent des idées critiques contre le pouvoir, les mœurs, les institutions. Ils fustigent l'absolutisme royal, les injustices sociales, le pouvoir excessif de la religion. Au xix e siècle, on peut citer, bien sûr, la figure de Victor Hugo, qui dénonce le régime et la personne de Napoléon iii (Les Châtiments, 1853), s'insurge contre la peine de

argumentative : ainsi Diderot, dans ce même article, utilise très adroitement les thèses de l’adversaire (ici les partisans de la monarchie absolue de droit divin) pour les retourner contre lui ; on peut en donner la reformulation suivante : selon la religion, le seul maître absolu est Dieu et il ne communique ses droits à personne. Comme il est nécessaire « pour le maintien de la société que les hommes établissent entre eux un ordre de subordination » il permet « qu’ils obéissent à l’un deux », le

politique, les philosophes dénoncent le pouvoir absolu et la monarchie quand elle est de droit divin. Ils pensent que l'on doit gouverner "par la raison et en vue du bien public". Voltaire est favorable à une royauté éclairée, séparée de la religion ; un pouvoir appuyé sur la bourgeoisie et garant du progrès matériel et de l'ordre social. Diderot veut un régime royal mais tempéré par un parlement. Il s'oppose violemment à toute forme d'absolutisme et de tyrannie. Rousseau a des idées

souhaite effacer toutes les différences matérielles, tout comme Bossuet les hommes sont fait de la même matière. Cependant, il fait également la critique de la religion de manière métaphorique a l’aide des habits qui fait référence à la magie «manteau de laine noire», «les cierges» il est contre donc le fanatisme religieux et l’aspect magique de la religion. Il privilégie également le travail manuel et l’industrie paisible et renvoi ici a l’homme se rapprochant de l’état de nature. Voltaire a également

(1694-1778) est né et mort à Paris. C'est un écrivain et philosophe qui a marqué le XVIIIè siècle. Il représente l'intellectuel engagé au service de la vérité, de la justice et de la liberté de penser. Il a écrit de nombreux conte philosophique comme Zadig, Micromégas ou Candide. Cette dernière oeuvre est basée sur l'ironie et ne laisse aucun doute sur le fait que son auteur était un philosophe. Le personnage principal de l'oeuvre, Candide, s'étonnera de ce qu'il observera au fil de son aventure, d'une

comme une parodie de cet édit, dont Voltaire voudrait nous faire croire qu’il aurait aussi interdit la lecture, l’instruction, et même la pensée…Mais le propos est bien entendu ironique, et la forme plaisante adoptée par l’auteur cache en fait une critique féroce. C’est ce que nous pourrons étudier en trois temps, en nous attachant tout d’abord à l’efficacité argumentative de la forme choisie par Voltaire, celle d’un édit de loi parodique placé dans un cadre oriental. Puis nous analyserons plus particulièrement