Zénon d'Élée

retrouve diverses indications sur l’écoulement du temps. De nombreux éléments permettent de prendre conscience du passage du temps, mais leur accumulation divise l’unité temporelle en une attente infinie, figée. Est alors énoncé par Clov page 91, Zénon d’Elée « Ce vieux grec » qui définit un paradoxe auparavant. Ce paradoxe affirme donc qu’une flèche fini donc par atteindre sa cible, que l’on pourrait ici interpréter comme la fin de la vie de l’homme : la mort. La métaphore page 14 : « Les grains s’ajoutent

n’est que « potentiel » (« dunamei »). Par exemple, pour Aristote, le caractère infini de la droite est lié à la possibilité théorique de la prolonger sans limite. On se débarrasse ainsi des difficultés conceptuelles présentées par les paradoxes de Zénon d’Élée (« la flèche n’atteindra jamais la cible car elle devrait pour cela traverser une infinité de positions différentes » — Aristote répond, essentiellement, que la division infinie du temps n’est que potentielle). La version moderne de cette philosophie

Petites histoires, anecdotes 7.1 Les histoires de VON NEUMANN . . . 7.2 ... Et les autres. . . . . . . . . . . . . . . . 7.3 L’histoire de 2 + 2 = 5 . . . . . . . . . . . 7.4 La preuve ultime du Dernier Théorème de 8 Paradoxes 8.1 Les paradoxes de Zénon . . . . . . . 8.2 Le paradoxe des anniversaires . . . . 8.3 L’interrogation surprise . . . . . . . 8.4 La vie sur Ganymède . . . . . . . . . 8.5 2 = 1, ou 1/0 . . . . . . . . . . . . . 8.6 Le développement décimal de l’unité 8.7 Le paradoxe de Russell

duquel un sujet ressentirait du plaisir. Aristote répond à ces deux formes de la connaissance de soi par un paradoxe : “Apprendre à se connaitre est très difficile (...) et un très grand plaisir en même temps.”  Aristote, fasciné par les paradoxes de Zénon et qui les retranscrivit dans la Physique, rapporte la contradiction entre les termes “difficulté” et “plaisir”. Cette contradiction qui traduit d’une quête, est par définition, un désir. Apprendre à se connaitre serait donc aussi un désir, car plus

Le stoïcisme est une école philosophique de la Grèce antique, fondée par Zénon de Kition (Citium en latin) en 301 av. J.-C. C'est l'une des principales philosophies de la période hellénistique, avec l'épicurisme et le scepticisme. C'est une philosophie rationaliste qui se rattache notamment à Héraclite (idée d'un logos universel), au cynisme, et qui reprend certains aspects de la pensée d'Aristote. On peut résumer cette doctrine à l'idée qu'il faut vivre en accord avec la nature et la raison pour

Fiche : Stoïcisme Le stoïcisme est un très grand courant philosophique fondé par Zénon de Kition (335-264), puis repris par Chrysippe (281-205), Sénèque (-4/+64), Epictète et Marc Aurèle (121-180). De nos jours, « rester stoïque » signifie supporter le malheur ou le danger sans sourciller. Ce sens exprime assez bien l’idée générale du stoïcisme : il s’agit de se retirer dans une citadelle intérieure afin de ne plus craindre les malheurs dont peut nous frapper la fortune (le hasard). Epictète

Le stoïcisme est une école philosophique de la Grèce antique, fondée par Zénon de Citium en 301 av. J.-C. C'est par la suite un courant philosophique hellénistique qui a traversé les siècles, subi des transformations (notamment avec Chrysippe en Grèce et à Rome avec Cicéron, Sénèque, Épictète, Marc Aurèle), puis exercé diverses influences, allant de la période classique en Europe (en particulier au XVIIe siècle, chez René Descartes) jusqu'à nos jours. Cette philosophie exhorte à la pratique d'exercices

veux ; mais tâche de vouloir les événements tels qu'ils arrivent, et tu seras heureux. » (Épictète) (Intro) À l’époque de la Grèce antique, il existait plusieurs écoles de pensée dans le domaine de la philosophie. Le stoïcisme fondée par le philosophe Zénon de Citium était l’une de ses écoles. Selon l’école stoïcienne, l’être humain doit vivre selon les lois de la nature que celui-ci doit respecter et comprendre. On doit accepter les événements de la vie tels qu’ils se présentent et de réfléchir de façon

L'école cynique a été vivace durant toute l'Antiquité, de la Grèce jusqu'à Rome. Elle influença considérablement la morale stoïcienne qui développa à sa suite les notions de vie selon la nature, de l'indépendance du sage et de cosmopolitisme. Zénon de Citium, fondateur du stoïcisme, a en effet été disciple du cynique Cratès. Les principaux thèmes sont : L'autosuffisance : Au centre de la philosophie cynique se trouve l'idée d'autosuffisance. Le sage est celui qui est capable de se contenter

de s’en aller depuis sa naissance 26, Nell essaie de pleurer 33;         -d’autres répétitions  sont  des approximations ressemblantes : ainsi le paradoxe du sorite sur le grain de blé trouve une correspondance plutôt étrange avec le paradoxe de Zénon (91-plouff, plouff.  -toute la pièce repose sur une seule question avec de fréquentes déclinaisons : Clov va-t-il quitter Hamm et choisir entre les deux types de mort qui lui sont offerts ? De même toute la pièce est une variation sur le mot fin