Ziméo Morale

stoïcisme comprend que tout est déterminé tant que tout est fixé par le Destin. Nous ne pouvons pas en tant qu’homme se séparer de celui-ci, car c’est un corps. Trois principes essentiels définissent le stoïcisme : 1. Il n’y a de bien que le bien moral. 2. Toute l’activité humaine se fonde sur le jugement .3. La Nature est cohérente avec elle-même. Les choses sont ou bonnes ou mauvaises, c’est-à-dire bonnes ou mauvaises moralement (la vertu, le vice). Ou les choses sont ou ni bonnes ni mauvaises

recherche du bonheur (comme s'opposant à la morale) ou comme Nietzsche la critiquent comme une fuite devant le tragique de la réalité, lui préférant l'expérience de la joie. La morale cartésienne met la science au service du bonheur, au sens d'une béatitude dépendant de la méthode. Nos entendements finis étant seulement capables d'une connaissance imparfaite, et le sage visant la perfection du bonheur, n'y a-t-il pas contradiction dans les termes du problème moral? L'A. vide à la résoudre en remontant

délibéré, d’une déclaration à la préfecture. Elles n’ont pas la personnalité morale et ne peuvent ni posséder, ni contracter en leur nom, ni intenter une action en justice. Comme elle n’a pas la capacité juridique, les biens sont la propriété indivise des sociétaires. Elle ne peut pas contracter en son nom mais peut contracter par l’intermédiaire d’un représentant mandaté par les sociétaires. Même si elle n’a pas la personnalité morale, elle a quand même une existence légale qui est garantie par la loi de

LA N°1 Fables de Jean de la Fontaine Problematiques possibles : En quoi cette fable est elle caracteristique de l’ecriture de la Fontaine ? En quoi peut on dire que cette fable est satirique ? A quoi la Fontaine s’attaque t’il dans cette fable ? Montrer que cette fable est un apologue. ( récit qui a une visée didactique ( qui veut nous enseigner quelque chose) 1er Axe : Un recit distrayant Un recit concis et efficace. _Un octosyllabe pour evoquer la S.I , un alexandrin pour clore le

Si une mesure ne concerne qu’une personne déterminée, ce n’est plus une règle, c’est un décret ou une sentence. Les règles morales et religieuses sont aussi générales et impersonnelles. Une règle à finalité sociale Le but de la règle de droit est d'organiser la vie sociale : c'est pour la règle de droit que cette caractéristique est la plus prononcée. Pour la règle morale, la finalité serait plutôt celle de l'épanouissement de la conscience de l’individu, de son perfectionnement ; la règle religieuse

livre". Ce conte est donc également philosophique, car il cherche au final à éveiller la réflexion critique du lecteur sur des questions d’actualité plutôt subversives à l’époque : critique de la religion, du pouvoir absolu, de la politique, de la morale traditionnelle, promotion de la science et de la raison… Le sous-titre du conte éclaire le lecteur sur le thème traité : Zadig ou la destinée, Candide ou l’optimisme… Le conte philosophique se situe donc dans l’implicite, l’argumentation indirecte

terme en question désigne alors une qualification morale de la vo¬lonté et de l'action humaine. La mal s'oppose au bien, il est ce qu'on ne doit pas faire et qui mérite sanction le cas échéant. Le problème est alors de défi¬nir ce qui est bien et ce qui est mal, de fonder l'obligation de faire le bien. Peut-on réunir sous le même terme ce qui relève de l'analyse du fait et de la compréhension du monde d'une part, et ce qui relève de l'analyse morale et de la responsabilité d'autre part ? Les fondre

naturel) ; d’où la distinction : * Juste = légal : conforme à la loi de l’Etat * Juste = légitime : conforma au droit naturel, ou à la morale : dans les deux cas c’est l’idée d’une justice supérieure aux lois de l’Etat * Sens 2 : la justice, c’est l’égalité I/ LA LIBERTE HUMAINE : REALITE OU ILLUSION ? Il s’agit de la liberté au sens philosophique et moral : on cherche à savoir si l’homme peut choisir son identité, son mode de vie, ou bien si au contraire cette identité est toujours causée

d’interprète. Fabuliste laisse au conteur une marge d’interprétation. Le je du conteur permet de ménager les distances esthétiques par rapport à l’intention morale de la fable. A travers les libertés prises par le conteur c’est l’auteur qui élargit son projet et l’élargit. Préiminensce qui semble parfois s’éclipser pour une autonomie morale. Autonomie croissante de ce je du conteur puisque le je des fables se présente initialement et ouvertement comme le simple interprète d’une tradition d’apologue

L’éducation négative veut laisser le temps à l’organisme de se développé jusque l’âge de douze ans. Il faut laisser grandir le corps de l’enfant « jusqu’à ce qu’il eût toutes ses facultés », pour ensuite être guide par la raison. Vices : graves défauts moraux d. Une éducation du corps : Rousseau est contre une éducation par la raison dès le plus jeune âge. Il propose « Faites mieux : soyez raisonnable, et ne raisonnez point avec votre élève ». Il ne faut en aucun cas éduquer l’enfant