élasticité Prix Faible Compétitivité Prix

L’indicateur le plus souvent utilisé pour évaluer le développement est l’IDH. Les indicateurs généraux (comme l'IDH ou le PIB/habitant) ne sont pas suffisants pour rendre compte de la réalité économique et sociale car ils ne prennent en compte qu’un faible nombre de critères et parce qu’ils représentent une moyenne : les inégalités peuvent être très fortes au sein même des pays. (=> Chapitre 1) Le développement et la croissance ne sont pas des processus linéaires. La croissance est cyclique et le développement

L’élaboration de la stratégie marketing 13 Chapitre 6 : La segmentation 13 Chapitre 7 : L’attractivité 20 Chapitre 8 : La compétitivité 31 Chapitre 9 : Le ciblage et le positionnement 41 Chapitre 10 : Le choix d’une stratégie 48 Partie 4 : LA MISE EN ŒUVRE DU MARKETING OPERATIONNEL 63 Chapitre 12 : La marque 63 Chapitre 13 : La distribution 74 Chapitre 14 : Le prix 77 Chapitre 15 : La communication 80 Partie 1 : Le nouveau Rôle du marketing Chapitre 1 : Le marketing A) Qu’est-ce

la politique de prix, la politique de distribution, la maîtrise technologique, le niveau des coûts, le niveau de qualité Coût Gamme large, Produit standard, prix bas, Produit standard, prix moyens, Qualité basse, peu de services annexes, Economies d’échelle, Possibilité de Qualité élevée et différenciation pour certains modèles, partage des ressources et compétences, Economies Gamme moyenne, Maîtrise des coûts Produits différenciés, prix élevés, Gamme étroite

socialement organisée consistant à créer des biens et services en vue de satisfaire des besoins individuels ou collectifs. On distingue : Production marchande :production de biens ou services s’échangeant, ou susceptibles de s’échanger sur un marché à un prix couvrant au moins les coûts de production. Tous les biens sont considérés comme marchands. Production non marchande : production de services fournis à la collectivité à titre gratuit ou quasi-gratuit (la valeur de cette production est estimée par son

acheter des biens et services (transactions fortes au début du mois : L1) , je conserve des liquidités pour profiter des avantages liés au marché financier. C’est pour ça que j’ai un stock de billets de banque, quand j’achète des obligations (psq leur prix diminue) , j’ai moins d’argent et plus d’obligations. Et quand je revend des obligations ( le stock d’obligation baisse et le stock de monnaire augmente) il y a donc une relation inverse entre le taux d’intérêt et L2 : demande de monnaie pour motif

concurrentiel 2.2.2. Forces concurrentielles (trois stratégies génériques) de M. Porter 2.2.3. La position visée : Leader, Co-leader, Challenger, Spécialiste 2.2.4. Stratégies offensives, défensives 2.3. STRATEGIES COMMERCIALES 2.3.1. Produit 2.3.2. Prix 2.3.3. Distribution 2.3.4. Communication 2.4. STRATEGIES DE CROISSANCE 2.4.1. Intensive 2.4.2. Intégrative 2.4.3. Diversification 2.4.4. Réduction ou abandon Fabien Favier Page 1 sur 39 LE MARKETING STRATEGIQUE MARKETING STRATEGIQUE

production. C’est une révolution industrielle. En effet, il y a une hausse de Salaire, ce qui va résulter la possibilité d’un crédit bancaire (remboursement facile). Ces deux éléments vont permettre une consommation en masse. Exemple, Ford T (1908 - 1927) : Prix qui ont chuté, vend produit qui est un bien de consommation courante. Ainsi, le secteur bancaire permet le développement (notamment pour les prêts) et ça va être l’émergence de cette industrie bancaire. L’apparition de la classe moyenne va enclenchée

dans une société d'opulence où les ressources sont abondantes à tel point que tous les désirs des individus et même leurs fantaisies peuvent être satisfaits. Dans une telle société l'offre dépasse la demande de chaque bien et de chaque service. Les prix deviennent nuls et il n'y aurait pas de biens économiques. C'est donc la rareté des ressources qui donne un sens à l'étude des lois qui régissent les économies. En effet, c'est parce que les ressources sont rares qu'il y a un besoin de savoir comment

(Espagne), Marsarxlokk (Malte) et Gioia Tauro (Italie). Ils sont essentiellement destinés aux activités de transbordement. Toutes marchandises confondues, les flux intraméditerranéens, représentent à peine un quart du trafic. Le niveau des échanges est faible et les flux s’organisent selon un axe Nord-Sud avec un sens dominant du Sud vers le Nord, lié aux exportations de pétrole et de gaz. Cette dissymétrie entre Nord et Sud se retrouve au niveau du commerce extérieur : l’Union européenne (UE) représente

milliard d’euros pour les régions et 1,1 milliard d’euros pour les départements) au titre des transferts de compétence de l’État vers les collectivités locales. La progression modérée des taux votés par les collectivités locales en 2008 explique le faible impact des mesures nouvelles sur les prélèvements obligatoires des APUL. (*) Suppression de la taxe exceptionnelle sur les sommes inscrites au compte de réserve spéciale des entreprises au taux de 2,5 %. 11 RAPPORT PRÉLÈVEMENTS OBLIGATOIRES