élection Députés

affirme que la femme est électrice et éligible . Source:http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/femmes/citoyennete_politique_chronologie.asp Dès les années 1870, sous la IIIe République, des députés ontproposé l'instauration d'un vrai suffrage universel incluant les femmes. La chambre des députés a voté à plusieurs reprises en faveur du droit de vote des femmes. Mais à chaque tentative, c'est le Sénat qui a bloqué la réforme. Les femmes ont le droit de vote en France depuis le décret du

en d'autre terme, il bénéficie d'une délégation de pouvoir. De par son autorité personnelle, sa compétence, son prestige dans le pays ou encore son éloquence, il a une influence considérable sur l'Assemblée. Cette influence va déplaire à certains députés, entre autre, et va alors apparaître la loi du 31 août 1871, qui a comme but de diminuer l'influence d'Adolphe Thiers sur l'Assemblée. Cette loi prévoit les dispositions suivantes : le chef du pouvoir exécutif prend le titre de Président de la République

certain niveau d’instruction), le mandat des élus est représentatif, les député représentent la nation et non les électeurs qui les ont élus et dont ils sont indépendants. Souveraineté populaire ; Appartint à chacun des citoyens. Les conséquences : 1 : L’électorat n’est pas un e simple fonction mais un véritable droit, le suffrage est donc vraiment universel. 2 : le mandat est impératif, ce qui signifie que les députés représente les citoyens. Il résulte de la formule de synthèse que si

Parti Socialiste le 22 novembre 2008. Aux Etats-Unis, le même terme désigne les élections qui servent à dégager le candidat à la présidence chez les Démocrates et chez les Républicains. Les autres types d’élections viseront à élargir cette sphère d’influences à l’échelle régionale, nationale, voire européenne. La durée des mandats accordés à ces élus leur donne des possibilités de réaliser des actions concrètes. Les élections municipales qui ont lieu tous les six ans, sont le moyen pour les habitants

de la prise de risque qu'elle suppose. Mais, dans la pratique, il y eut inflation de questions de confiance. Le Président du Conseil en usa très souvent pour contraindre sa majorité à voter des projets de lois qu'il jugeait indispensables. Or les députés s'arrangèrent pour rejeter la question de confiance à la majorité relative. En conséquence, le Gouvernement n'obtenait pas ce qu'il voulait, soit l'adoption de son projet de loi et était mis en minorité; ce qui l'obligeait à démissionner. Comme de

Plan détaillé ACCROCHE : La constitution du 04 octobre 1958 qui institue la Vème république ne prévoyait pas l’élection du président de la république au suffrage universel direct. Elle s’inscrivait dans la tradition républicaine française d’une élection du chef de l’état par le parlement, DEFINITION : Le régime parlementaire est un régime politique avec une souple séparation des pouvoirs. Il se caractérise par la responsabilité du gouvernement devant le parlement. Il s’oppose au régime présidentiel

Convocation des Etats-Généraux La convocation Courant janvier 1789 un règlement royal est adressé par le pouvoir aux agents du roi afin d'organiser les élections des députés aux Etats-Généraux. Dans ce règlement, Louis XVI parle de droits restitués à la Nation de consentir l'impôt, de la périodicité future des Etats, de l'établissement d'un budget, de la fin de l'arbitraire ministériel en matière de dépense, de liberté individuelle, de constitution et surtout de l'égalité de tous devant l'impôt

politiste spécialiste des systèmes de vote, qui le définit comme étant « l’élément le plus fondamental de la démocratie représentative ». Par conséquent, le mode de scrutin permet le passage du décompte des voix à la désignation des élus. Le mot « élection » quant à lui vient du verbe latin « elegere » qui signifie choisir. En effet, l'élection désigne à la fois le processus, l'action et le résultat du fait de choisir et désigner une personne, un groupe, un parti ou une option par l'intermédiaire d'un

mineurs de Carmaux ? Le départ de la grève des ouvriers de Carmaux a été déclenché par le renvoi en août 1892 de Jean-baptiste Calvignac (document n°1) secrétaire Général du syndicat de la mine, ouvrier et élu maire de la ville de Carmaux aux élections municipales du 15 mai 1892. document n°1 Jean-Baptiste Calvignac Né à Carmaux en 1854 et fils de mineur, il entre à la Société des Mines de Carmaux à 19 ans comme ajusteur . Lancé très tôt en politique, il devient conseiller municipal à

législatif à les pleins pouvoir ou presque ; on parle alors de « parlementarisme absolu » selon Carré de Malberg. La soumission de l’exécutif sous les IIIème et IVème République La décadence du Président de la République A la suite des élections législatives de 1876, une majorité républicaine s'installe. Mac Mahon ne nomme pas un président du Conseil conforme à cette majorité. Il choisit Dufaure mais ce dernier ne parvient pas à s’entendre avec la majorité qui le contraint à la démission