éloge Blâme

4 /   des intrusions du narrateur à travers des "modalisateurs" (cf. le cours sur l'énonciation : mots et procédés grammaticaux qui traduisent le jugement l’opinion ou les sentiments de l’auteur par rapport à son énoncé-certitude, doute blâme , éloge etc…) : plus ou moins discrètes, ces traces de la présence du narrateur sont cependant visibles à travers des jugements, des opinions, des sentiments qui ne peuvent pas être attribués à un des personnages de l'histoire. Cela peut être des réflexions

1) Hallucination  « Je crois voir » (l.2) Bascule dans la folie  « Je m’égare » (l.3) ; « ma folle ardeur » (l.4)  ré-appuie la thèse de l’aveu non prémédité C. Une déclaration déguisée 1. Opposition : Jeux de pronom  « il » « vous » (l.1) Blâme + éloge  Thésée  Hippolyte 2. Superposition : « mais …, mais … et même … » (l.12) début de l’éloge d’Hippolyte. « fidèle » (l.12) « Charmant, jeune » (l.13)  superposition absolue L.14 : comparaison + hyperbole : « tel qu’on dépeint nos dieux »  montre

Expression linéaireLaclos, les liaisons dangereusesAmorceCette extrait nous viens du roman épistolaire met en scène deux libertins complices, passes maitres dans l’art de la conquête amoureuse. L’auteur se nomme Laclos c’est un auteur du siècle des lumières mais nous verrons dans cette analyse que ce roman s’inscrit dans le courant libertins.LectureSituer le passage · Le texte se situe dans la lettre numéro 81, dans cet extrait la marquise de Merteuil, une manipulatrice

Le renard ne s’exprime pas sur le fond, mais cherche à persuader l’auditoire de l’innocence du roi, et le roi de sa fidélité : « Sire »(v.34), « Seigneur »(v.37) marques de déférence, « Eh bien ! »ponctuation expressive suscitant l’émotion, éloge du roi « trop bon roi »(v.34) Pose aussi question rhétorique pour avancer ses propres arguments : « Est-ce un péché ? Non, non.. »(v.37). L’âne par contre n’argumente pas. Il apporte juste un témoignage dans une courte réplique. De plus, il s’accuse

ÉPIDICTIQUELe registre épidictique est un registre qui glorifie ou condamne quelqu'un ou quelque chose. Il s'agit d'un éloge ou d'un blâme. Souvent le texte est donc un portrait au cours duquel l'auteur peut avoir recours aux métaphores, hyperboles, comparaisons, etc.Exemple : Femme nue, femme noire de Senghor est un poème dans lequel la beauté de la femme noire est célébrée. Ce texte est un éloge ; il présente donc un registre épidictique.LE REGISTRE POLÉMIQUELe registre polémique est un registre qui cherche

ce que l’on pense, par raillerie : procédé de critique par un humour un peu grinçant. 7. satirique procédé de critique reposant sur la moquerie et l’amplification, dans un objectif de dénonciation de certains comportements. 8. épidictique éloge et blâme 9. polémique expression affirmée d’un point de vue, contre un autre point de vue, sous-entendu ou exprimé lui aussi, avec la volonté de convaincre le destinataire. 10. fantastique dans un cadre réel, survenance d’éléments surnaturels, dont on

autant d’élément contre les maîtres. La mise en valeur de la satire des mœurs La pièce est loin d’être neutre, c’est un moyen pour Marivaux de proposer dans la lignée de Molière une satire des maîtres. le requisitoire de Cleanthis entre eloge et blame Nous assistons ici à la satire des mœurs des maîtres. Il parle des insolences qu’il a fait subir en tant que maître. La satire d'Arlequin. En revanche la satire que propose Cléanthis est bien différente. Euphrosyne de cette machin nécessaire

Cléanthis, elle, accepte difficilement que ce jeu d’inversement des rôles cesse. Cléanthis fait preuve d’hypocrisie envers sa maîtresse en employant du superlatif : « le plus plaisant », « une des plus belles femmes du monde ». Cela paraît comme un éloge ironique dans cette scène, mais Cléanthis à ce moment-là parut comme une servante faussement admirative. 2. La duplicité d’Euphrosine Cléanthis, elle, va livrer une description peu flatteuse de sa maîtresse. Pour ce fait, Cléanthis va utiliser

sur une bonne connaissance des objets d’étude et de l’histoire littéraire. Elle est organisée, précise et rigoureuse, avec un style soigné. Entre 4 à 6 pages en 2h30/3h. Exemples de sujets d’invention : - Les écrits à visée argumentative : éloge ou blâme, plaidoyer (défendre), réquisitoire (accuser), dialogue argumentatif… - Les réécritures : par imitation d’une forme de discours, d’un genre, d’un registre, par transposition du genre, du registre, du point de vue, par amplification (étoffer un

lignes 45 à 47 ( « Lorsque nous […] nous vêtir. » ) et marquent bien l'antinomie entre ces deux peuples complètement différents. Dans son discours, le vieillard donne son opinion sur les mœurs de son pays mais aussi sur celles des Européens. Il fait un éloge parfait de la vie naturelle : il présente les Tahitiens comme un peuple tout à fait innocent mais heureux, « nous sommes innocents, nous sommes heureux » ( lignes 19 et 20 ) que les Européens qualifieraient comme de l'« ignorance » ( ligne 43 )