éloge Blâme

10) (l. 18) (l. 12 et 23) Activités en relation avec la nature : - l'or est employé à la construction d'outils agricoles : agriculture placée au-dessus de toute richesse (l. 17 -18) 3) Des qualités exceptionnelles : un idéal de vie : un éloge Mépris du matérialisme : ''ne daignent pas seulement compter l'or et l'argent parmi leurs richesse'' Idéal de modération, de frugalité : Cette société privilégié ce qui est utile : - vocabulaire de l'utilité ''servir'' (l. 20) (l. 31)

servirez sous eux, aussi corrompus, aussi vils, aussi malheureux qu'eux. » Puis il s'adresse à Bougainville, « le chef des brigands », avec mépris. Il le blâme de son influence néfaste sur les Tahitiens et fait un portrait machiavélique des Européens qui ont eu pour seul but de détruire leur bonheur. Très rapidement le discours se transforme en un éloge de la vie sauvage et un réquisitoire contre les Européens. Il énumère les différents méfaits causés par l'expédition : les dénaturer, éveiller en eux

chapitre 3, 3,2. intitulé éloge et blâme explique que pour faire l'éloge ou le blâme d'une personne il faut passer en revue : - sa généalogie - ses qualités (ou ses défauts selon le but rechercher) - sa vie passée C'est ce qu'amorce ici Tertullien. Aristote consacre une partie du livre I de sa Rhétorique à cette pratique de l'éloge et du blâme. De fait, il expose plus exactement ce qui est nécessaire à l'éloge puis, à la fin, il explique que : « […] le blâme consiste dans les arguments

avec des odeurs plaisantes. Les procédés d’insistance (passage à l’octosyllabe, anaphore et parallélisme « il n’était ambre, il n’était fleur ») ont une valeur hyperbolique et confèrent de l’emphase au propos du Singe. · le blâme du narrateur se manifeste dans le choix d’une lexique péjoratif : le propos flatteur du Singe est « excessif » (hyperbole v. 21), sa flatterie est « sotte » (v. 24) · l’euphémisme v. 25 évoque, enfin, la mise à mort du Singe le

auteur notamment de l’Encyclopédie Il s’oppose vivement à la politique coloniale de l’Europe, et livre ses réflexions en réponse au récit de Bougainville dans un conte philosophique: Supplément au Voyage de Bougainville. Œuvre: Il y présente un éloge de la vie naturelle reposant sur le mythe du Bon Sauvage. Diderot utilise ce mythe pour développer sa critique et dénoncer l’attitude des colonisateurs européens. Par ailleurs, c’est également une réflexion sur l’altérité (reconnaissance de l’autre

dans le monde, et c’est moi qui y mets toutes celles qui veulent y être célèbre. Cela seul doit faire la différence de votre choix et du mien. Eloge de Richardson (1761) Diderot Samuel Richardson est notamment l’auteur de trois romans épistolaires : Pamela ou la Vertu récompensée, Clarisse Harlowe et L’Histoire de sir Charles Grandison. Cet éloge du romancier anglais permet à Diderot de développer sa propre conception du roman. Par un roman, on a entendu jusqu’à ce jour un tissu d’événements

capacités nos possibilités d'éprouver ces passions. Enfin les dispositions dans un état heureux ou fâcheux. Ainsi donc ni les vertus ni les vices ne sont des passions. On ne se fonde pas non plus sur les passions pour nous décerner l'éloge ou le blâme. Ajoutons que la colère et la crainte ne proviennent pas de notre volonté, tandis que les vertus comportent un certain choix réfléchi. Enfin l'on dit que les passions nous émeuvent, les vertus et les vices ne nous émouvant pas, mais nous disposant

éventuel retour qui leur serait fatal et dont il faudrait qu'ils se protègent. Le ton discours à l'adresse de Bougainville est véhément, agressif et menaçant, mais c'est moins sous l'effet de la colère que sous celui de l'indignation. C'est un véritable blâme qu'il adresse à Bougainville et à ses compagnons et certaines périphrases sont très proches de l'insulte, telle l'apostrophe : " Et toi, chef des brigands" ( 40) , le tutoiement et les impératifs qui suivent expriment tout son mépris. Son discours

mais elles sont présentes dans les deux poèmes « la servante » et « je n’ai pas oublié, voisine de la ville ». Ces deux poèmes sont deux textes allusifs à sa mère, mais ce n’est en aucun cas un hommage à celle-ci. Dans « la servante », Baudelaire blâme sa mère qui était « jalouse » (vers 1) de la servante qu’il aimait tant. Il insiste sur cette idée avec le terme « pourtant » au vers 2. La mère éprouve encore de la jalousie pour la pauvre femme car elle ne daigne même pas « lui porter quelques fleurs »

enthousiasmes, les bonheurs et les angoisses des hommes. La poésie devient le langage de toutes les émotions. ----------------------- [1] Connaître le poème « Voyelles » de Rimbaud. [2] Connaître le poème « Chanson » de Victor Hugo (éloge de Napoléon Ier et blâme de Napoléon III).