éloge D Une Ville

tout ; je dirais plutôt qu’elle les sert. … Et comme le poète n’utilise pas le mot, il ne choisit pas entre des acceptions diverses et chacune d’elles … se fond sous ses yeux avec les autres acceptions…. Florence est ville et fleur et femme, elle est ville-fleur et ville-femme et fille-fleur tout à la fois. » Que pensez-vous de cette définition de la poésie ? 13. "Qu’est-ce qu'un poète si ce n'est une traducteur, un déchiffreur ?" Expliquez et commentez cette interrogation de Baudelaire 14

l’argumentation du XVI siècle à nos jours Introduction  Titre du livre : Le Mondain Titre de l’extrait : «Le mondain», extrait Année de publication : 1736 Auteur : Voltaire Biographie : François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 1694 à Paris, ville où il est mort le 30 mai 1778 (à 83 ans), est un écrivain et philosophe français qui a marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale. Figure emblématique de la philosophie des Lumières

adhérer à l’idée qu’il forme à travers son récit. Le lecteur se rend compte au fur et à mesure du récit que l’auteur n’exprime pas ses ressentiments que pour Napoléon 3 mais il l’exprime aussi pour la ville. Pour cela il la compare à la nature, la forêt dont il fait un éloge. L’auteur fait dans un premier temps une description subjectif du monde extérieur « tout mis paru », « semblai » ou le monde lui apparait envahi par une « ombre » ainsi que par la « guerre civil ». De plus les passants

garde un souvenir important de son "enfance pieuse". Il va donc evoquer a la fois l'envie d'"entrer dans une eglise" tout en ayant honte. Meme si apollinaire garde des traces du siecle precedent, le sujet reste pour le moins novateur III. Une eloge du quotidien A. Un poeme urbain A la lecture du poeme, le lecteur se retrouve dans le "tu" se baladant dans paris. Le poete decris une "rue industrielle" banale mais "neuve". c'est pour lui ce qui fait tout son atrait. La rue est egalement decrite

d’abord un éloge passionné de Montréal comme ville de la mémoire et d’une culture: «Nous avons inventé cette ville Cet air de ville du Nord avec sa drôle de voix Cette drôle de ville du Nord de l’Amérique avec sa voix française Nous avons inventé cette baroque de ville avec son courage Avec le sang des poètes et les cris dans les yeux des enfants Et la fatigue dans les corps des ouvriers Et les robes des filles et avec notre accent Et la ville est à nous et elle nous ressemble et la ville parle

d’autres personnages (Pierre et Morus (= More lui-même)) et qui décrit dans le livre II l’île dans laquelle il a séjourné pendant 5 ans. De quoi parle-t-il ? de la ville d’Amaurote et de son fonctionnement. Nature du texte : texte en prose. Type de texte : descriptif. Registre : didactique (l’auteur donne des renseignements sur la ville et permet au lecteur de réfléchir sur ce qu’est une société idéale). 1ière partie : une description organisée et précise de la cité : organisée = composition du

frappant et donne au lecteur une impression positive de la ville. Les matériaux utilisés sont nouveaux, le pont « n’est pas soutenu par des piliers ou des pilotis, mais par un ouvrage en pierre » (lignes 1-2). Toute la ville est organisée et réfléchie «  les gens d'Amaurote l'ont entourée de remparts et incorporée à la forteresse, afin qu'en cas d'invasion elle ne puisse être ni coupée ni empoisonnée. » (lignes 6-8). Le narrateur fait un éloge de l’organisation des éléments de la cité. Thomas More

mais connu pour ses drames et en particulier son chef d'œuvre Lorenzaccio).Cette pièce relate l'histoire d'un personnage éponyme en Italie, au XVIe siècle dans la ville de Florence. Le Duc Alexandre de Médicis règne en tyran corrompu et Lorenzo de Médicis est son cousin (qui va gagner la confiance du Duc pour l'assassiner et libérer la ville de Florence d'un dictateur).Dans cette scène Le duc et Lorenzaccio attend une jeune fille qui doit passer la nuit avec lui. Pb: Dans quelle mesure cette scène remplie-t-elle

Wayne… 2- Frontières et murs De façon plus radicale s’il se peut, les murs évoquent le rejet de l’autre, voire sa négation. Les murs qui ont eu le plus d’importance ont été ceux qui ont ceinturé les villes. Le rôle du mur, ou de la limite de la ville, a pu autant jouer en tant qu’élément de protection que de définition de son statut, ou à la définir en tant que telle (on pensera aux limites de Rome, qui ont eux aussi provoqué leur lot de conflits mythiques ou avérés). On peut aussi noter d’autres

de cette femme permet de susciter un rêve d’amour puis la voie vers un idéal et enfin de sombrer dans la mélancolie de le perte ? I. Une rencontre Le cadre de la rencontre : - décor posé dès le début du 1er vers : « La rue », synecdoque de la ville  multitude - décor bruyant, voire agressif, traduit par l’éptithète « assourdissante », le verbe « hurlait », qui personnifie cette rue, et renforcé par les allitérations sonore en [r] et sourde en [s]. - décor traumatisant pour le poète, représenté