éloge De La Beauté Féminine

dans les premières pages du livre et nous assistons à l’arrivée du personnage éponyme. Nous allons voir comment la description du personnage féminin dans ce texte liminaire montre la condition de la femme à travers les intrigues de la cour du XVII ème siècle. (Source : Lagarde et Michard, proposé par Etienne.) Comment la description du personnage féminin dans ce texte liminaire montre-t-elle la condition de la femme à travers les intrigues de la cour du XVIIème siècle ? Nous étudierons le portrait

« offense à la morale publique ». Dans ses poèmes, Baudelaire évoque à de nombreuses reprises des figures féminines, notamment Jeanne Duval, une jeune métisse qu'il surnomme sa Vénus noire. Le Serpent qui danse évoque l'amour charnel et passionnel entre Jeanne et le poète. C'est un poème hétérométrique composé de 9 quatrains dont le lyrisme est teinté d'un certain érotisme. Analyse : I. Éloge d'une femme aimée qui invite à la rêverie A. Une déclaration d'amour 1. L'énonciation (qui parle à qui) Dans

En effet,au vers 6,on observe la présence d’une personnification puisque les yeux sont amenés à danser,ainsi qu’une comparaison puisque ses yeux “dansent comme desanges”,on rentre alors dans un réel univers lyrique ,le poète a lair fasciné par la beauté de cette femme, on a meme l’impression d’entrer dans l’univers fantastique d’Apollinaire et on peut imaginer cette dame avec des yeux scintillants et plein de joie. Cette vision admirative de la femme se renforce au vers 7 avec la repetition “elle

comme une incarnation de la perfection par sa beauté physique, sa noblesse de haut rang et sa vertu. 1. Le portrait physique Il s'agit de la première apparition de Mlle de Chartres, le lecteur s'attend à ce que l'auteur brosse son portrait  qui débute traditionnellement avec le portrait physique. Mais le narrateur se contente de reprendre  au début de la description le terme « beauté » pour la désigner : « Il parut alors une beauté », « une beauté parfaite » avec l'emploi de l'adjectif hyperbolique

littérature latine. Dans le 17e poème du livre 1, Ronsard s’adresse à une jeune fille qui serait Cassandre Salviati, fille d’un riche banquier italien, rencontrée en 1545 à l’occasion d’une fête à la Cour de Blois. Il lui déclare son amour dans un éloge appuyé par une comparaison avec la rose espérant ainsi qu’elle se laissera séduire. Il utilise pour cela un genre de l’antiquité  : l’ode, poème musical constitué de trois sizains avec comme vers l’octosyllabe. En quoi le poème est-il à la fois lyrique

r = inconfort rue = inquiétante voc péjoratif + hyperbole . Le poète est détaché de la rue ...La rue se referme sur lui. V2 Énumération adj épithète « longue,mince»=beauté moderne + en se rapprochant « en grand deuil »= habillé de noir +allitération en «d» = renforcement + oxymore «douleur majestueuse» il trouve de la beauté dans la douleur . Cela fait d'elle une fleur du mal. V3 Passé simple = action brève =temps ralentis le poète est dans une contemplation + Fascination du mouv de la main

de la femme qui apparaissent dans le poème «A une dame créole » Dans un premier temps, nous verrons que la femme est considérée comme un idéal féminin. Puis nous verrons, qu'elle est évoquée comme une inspiratrice. I) la femme : un idéal féminin 1) Une femme parfaite le femme apparaît comme « parfaite » > grande beauté (le poète fait son éloge). B. réalise un portrait élogieux - champ lexical du corps : « teint » (v5), « le cou » (v6), « yeux » (v8), « brune » (v5) + - utilisation d'un vocabulaire

la présence de ces thèmes qui répugnent Bourdin est ce qui fait l'originalité, la singularité mais aussi la beauté des fleurs du mal. En effet, la transfiguration poétique faite par BAUDELAIR grâce au travail de la langue permet de transfigurer les thèmes péjoratifs en y mêlant de la beauté. Effectivement, dans le poème « la mort des amants », le poète mêle le thème de la mort a de la beauté « et plus tard un ange, entrouvrant les portes, viendra ranimer, fidèle joyeux » ce qui embellit le caractère

Pléiade (qui excluent toute participation féminine) reprennent à leur compte la tradition italienne de la poésie amoureuse renouvelée par Pétrarque. Le pétrarquisme se caractérise par une poésie riche en images et en métaphores, qui chante les beautés de la femme aimée en se focalisant sur des parties de son corps. Les sonnets suivent fréquemment le mouvement d’un regard qui s’attache aux qualités de la peau (d’ivoire), de la bouche ... Le traitement du corps féminin est ainsi ambivalent, puisque la femme

vue. Développement : - Lyrisme et élégie : (3 m’) : première marque de lyrisme, lyrisme progressif (3 oste) : ôte, le sens : la raison, privation, débouche sur de la folie, fureur amoureuse (3 cele) : cacher désaccord entre l’apparence (grand’ beauté) et (4 cruauté), expression de la douleur par le reproche. lyrisme de la passion, de la fureur amoureuse (4 tant) 2ème quatrain : accusation, expression élégiaque (5 cruelle) : s’adresse directement a Olive, expression de la violence de la passion