éloge De La Beauté Féminine

classique. En effet, l’éloge de la femme et l’expression des sentiments devient prétexte à l’écriture poétique et en devient un exercice de style plus qu’un cri d’amour passionné. Développement : I/ Un éloge de la femme a) Un portrait classique sous forme de blason Pour montrer la beauté de Caliste, M évoque les parties de son corps dignes d’éloge. Cela rappelle une autre forme poétique à l’honneur au XVe et au début du XVIe siècle : le blason. Il s’agissait en principe de chanter, en le décrivant

Plan I Eloge de l’inconstance amoureuse et blâme de la constance amoureuse a) Eloge b) Blâme II Le lecteur retrouve le Don Juan traditionnel… a) Don Juan, un homme libertin qui déborde de plaisir b) Don Juan, un homme insoucieux des sentiments féminins qui accumule les conquêtes III ...Mais découvre un Don Juan brillant (orateur éloquent) a) Une tirade inattendue b) Un discours remarquable c) Un Don Juan, une victime * Première approche : - Cette deuxième scène de l’œuvre

visage de Marie qui compose un éloge de la femme aimée· Tandis qu’ensuite les deux tercets du v9 au v15 composent un blason de tout le buste de la femme aimée marqué d’une rupture au dernier vers qui marque une pointe finale : c’est le seul vers dans lequel on retrouve un attribut moral et non physique de la jeune femme qui semble résister au poète.On a donc deux grandes parties :La 1ère : un blason du visage de la femme aimée qui en fait l’éloge Et la seconde : la beauté de Marie qui masque sa résistance

découvert en Afrique les réalités de l'enfer colonial, part pour les Etats-Unis. Ouvrier chez Ford, il se rend régulièrement dans une maison de prostitution. Il y noue peu à peu des relations particulières avec Molly. Dans cet extrait, on observe un éloge de la femme et l'on découvre le portrait de Molly au travers de ses discours et de ses propos. Comment cet extrait met-il en évidence le portrait d'un autre personnage que le par le narrateur e s'accompagne de son portrait implicite?

Séance 6 : lecture analytique 3, Molière, Dom Juan, 1665, Eloge de l’inconstance, Acte I, scène 2 Problématique : « En quoi cette scène constitue-t-elle un éloge paradoxal ? » En 1664, sa pièce Tartuffe est censurée. Pour nourrir sa troupe, il écrit en l’espace de deux mois Dom Juan (1665) qui, malgré le succès qu’il rencontra, ne fut joué que 15 fois à cause notamment de son  « impiété ». Reprise sur scène au XIXème siècle, elle est aujourd’hui reconnue comme un chef d’œuvre du théâtre français

Elvire.1ère scène avec DJ qui va se justifier aprsè répliques de S I- Un éloge paradoxal de l'inconstance A-Composition de la tirade * Début à '' pr des ridicules'' : critique de la fidélité amoureuse (DJ refute thèse adverse après dévt la sienne comme schéma argumentatif classique) * '' ttes les belles ont dt '' à ''je le donnerais ts'' : éloge de l'inconstance présentée comme hommage rendu à la femme pr sa beauté. *'' les inclinations naissantes '' à '' conquête à faire '' : descript°

1658 et enfin Sonnets pour Hélène de Pierre de Ronsard écrit en 1578. Ces textes présentent un thème commun, celui de la “beauté” de la femme liée à la vieillesse que nous étudierons en s' interrogeant sur Comment les poètes célèbrent-ils la femme ici? Nous le verrons dans un premier temps grâce à l'éloge de la femme, de sa beauté. Il propose également avec malice une contre éloge, une parodie. C’est cette démarche que nous analyserons dans notre seconde partie. Partie I: Tout d'abord, dans l'alexandrin

S et R qui sont des consonnes durs = insistent sur la douleur. c. + oxymore ‹‹sans mourir et sans vivre›› qui insiste sur la douleur intense. Tous ses sens se rebellent. d. Alternance des rimes féminines et masculines montrent aussi la lutte entre les sens (l’amour pour la femme: rimes féminines) et la raison (rimes masculines). e. ses sens se rebellent ce qui le déchire de douleur f. Pourtant la douleur du poète est paradoxale car, - nous le verrons dans la deuxième partie - elle stimule

(qui excluent toute participation féminine) reprennent à leur compte la tradition italienne de la poésie amoureuse renouvelée par Pétrarque. Le pétrarquisme se caractérise alors par une poésie riche en images et en métaphores, qui chante les beautés de la femme aimée en se focalisant sur des parties de son corps. Les sonnets suivent fréquemment le mouvement d’un regard qui s’attache aux qualités de la peau (d’ivoire), de la bouche etc. Le traitement du corps féminin est ainsi ambivalent, puisque la

reine Catherine de Médicis pour sa protégée, Hélène de Surgères, afin de consoler cette dernière de la perte de son amant à la guerre. Ronsard, qui était bien plus âgé que la jeune femme, a entrepris de lui écrire un recueil de sonnets où il loue sa beauté et la compare. Hélène refuser son amour. II. Plan analytique « Quand vous serez bien vieille le soir à la chandelle »,, que nous allons étudier est un sonnet de ce recueil.Il s’agit d’un sonnet (deux quatrains et de deux tercets). Ce sonnet marotique