éloge De La Beauté Féminine

modèle même de l'idéal classique fait de mesure et de raison. On verra comment Malherbe dans cet éloge proche du blason conserve une retenue qui ressemble plus à un exercice de style impersonnel et à une célébration du concept de beauté classique qu'à un cri d'amour spontané. I) L'éloge traditionnel de la beauté sous forme de blason A) Un idéal esthétique: la beauté - Le vocabulaire de la beauté est omniprésent : "beau ... belle" (v.1), "grâces ...appas" (v.12) - Il est associé au lexique

arguments suivent un parcours rationnel), argumentation par l’autorité du mythe (lorsque le mythe devient matière à la thèse soutenue) ou encore quand le discours reste un pur éloge. Il convient donc, au cours de chaque analyse d’un discours, d’expliquer à quel type d’arguments il se réfère : mythique, philosophique ou simple éloge. PROLOGUE Le prologue, c’est-à-dire l'introduction circonstancielle au Banquet (de 172a jusqu'au discours de Phèdre), comporte implicitement de nombreuses

sont généralement mauvais. De plus, le censeur tient un discours inverse de ce qu’il pense : il considère ce manuscrit comme « curieux, amusant, moral, philosophique, digne de plaire à ceux qui haïssent les romans » mais demande son interdiction. Cet éloge pourrait être soumis à caution car il est tenu par un censeur qui avoue lui-même sa bêtise : il s’est « fait passer pour savant, et même pour homme d’esprit ». Mais l’idée qui domine néanmoins est celle qu’un ouvrage de qualité se voit rarement attribué

comme une incarnation de la perfection par sa beauté physique, sa noblesse de haut rang et sa vertu. 1. Le portrait physique Il s'agit de la première apparition de Mlle de Chartres, le lecteur s'attend à ce que l'auteur brosse son portrait  qui débute traditionnellement avec le portrait physique. Mais le narrateur se contente de reprendre  au début de la description le terme « beauté » pour la désigner : « Il parut alors une beauté », « une beauté parfaite » avec l'emploi de l'adjectif hyperbolique

comme une incarnation de la perfection par sa beauté physique, sa noblesse de haut rang et sa vertu. 1. Le portrait physique Il s'agit de la première apparition de Mlle de Chartres, le lecteur s'attend à ce que l'auteur brosse son portrait qui débute traditionnellement avec le portrait physique. Mais le narrateur se contente de reprendre au début de la description le terme « beauté » pour la désigner : « Il parut alors une beauté », « une beauté parfaite » avec l'emploi de l'adjectif hyperbolique

comme une incarnation de la perfection par sa beauté physique, sa noblesse de haut rang et sa vertu. 1. Le portrait physique Il s'agit de la première apparition de Mlle de Chartres, le lecteur s'attend à ce que l'auteur brosse son portrait qui débute traditionnellement avec le portrait physique. Mais le narrateur se contente de reprendre au début de la description le terme « beauté » pour la désigner : « Il parut alors une beauté », « une beauté parfaite » avec l'emploi de l'adjectif hyperbolique

un éloge de Marie. Pierre de Ronsard nous décrit Marie comme une fleur, on note ainsi la comparaison l1 ou Marie est comparé à une jeune rose : "Comme on voit sur la branche au mois de mai la rose, / [...] en sa première fleur" on peut aussi voir ici le coté éphémère de la fleur, la beauté féminine serait donc éphémère. Ainsi Ronsard nous fait l'éloge de sa femme en la traitant comme une divinité : " Ce vase plein de lait4, ce panier plein de fleurs". Ensuite nous pouvons voir que la beauté de

l’apostrophe « Mademoiselle ».-Dans la première phrase, Thomas commence son éloge par une analogie. Il utilise une référence antique avec la comparaison « statut de Memnon » pour mettre en valeur son savoir. Angélique, elle, est associée au Soleil avec la comparaison « des rayons du Soleil » utilisé pour faire l’éloge de sa beauté.-la syntaxe de la phrase est très complexe. Il imite le langage précieux avec la métaphore « soleil de vos beautés » mais en parodie car il ne le maîtrise pas.-Les deux phrases sont

aussitôt séduite, sont abandonnées, même après un mariage. La scène soumise à notre étude est la deuxième de l’acte II. Ici, Dom Juan nous montre ses techniques de séducteur face à la pauvre et naïve paysanne Charlotte. Il entreprend un véritable éloge pour tenter de s’emparer de son cœur. Il serait intéressant de voir Comment sur la base d’arguments spécieux, Don Juan met-il en lumière son entreprise de séduction avec Charlotte . Dans un premier temps nous verrons les caractéristiques du discours

de Maurice Scève Introduction : Le blason du sourcil écrit en 1535 par Maurice Scève est représentatif d’un éloge lyrique, à la façon du Blason du beau Tétin écrit par Clément Marrot. Il s’adresse à une partie bien déterminé du corps de la femme mais peu représentatif de la beauté féminine: Le Sourcil. Le poète va exprimer ses sentiments en décrivant dans son éloge lyrique, l’originalité et la complexité du sourcil tractif. Il explique la relation tendu qu’il entretient en décrivant