éloge De La Beauté Féminine

amène à voir que nous avons affaire à un éloge de la beauté féminine et du plaisir procuré par l’inconstance. Pour Don Juan, le désir insatiable est le moteur de la vie. Si l’on se soumet à la morale, on perd sa liberté, puisque le destin de la nature humaine est de charmer et d’être charmé. Aussi relevons-nous un important champ lexical du charme féminin dont l’homme doit profiter afin d’éprouver sa liberté naturelle : « beautés » (l.7), « belles » (l.9), « beauté » (l.12), « belle » (l.15), « aimable »

amène à voir que nous avons affaire à un éloge de la beauté féminine et du plaisir procuré par l’inconstance. Pour Don Juan, le désir insatiable est le moteur de la vie. Si l’on se soumet à la morale, on perd sa liberté, puisque le destin de la nature humaine est de charmer et d’être charmé. Aussi relevons-nous un important champ lexical du charme féminin dont l’homme doit profiter afin d’éprouver sa liberté naturelle : « beautés » (l.7), « belles » (l.9), « beauté » (l.12), « belle » (l.15), « aimable »

éclatant de Louis XIV est alors à sa glorieuse apogée en France et en Europe entière, et de nombreux artistes, dont des auteurs célèbres ont su se rendre digne du rayonnement de cette cour. Ainsi La Fontaine, Molière et Corneille, ainsi qu’une figure féminine : Marie-Madeleine de Lafayette, qui publia d’abord sous l’anonymat le chef d’œuvre des romans classiques : La Princesse de Clèves Il ne s’agissait pas là du premier roman, mais d’un roman nouveau qui répondait à l’éclosion de l’esprit moderne, dans

Microsoft Word - Document2Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse… Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse, Pour ce bel oeil, qui me prit à son hain, Pour ce doux ris, pour ce baiser tout plein D'ambre et de musc, baiser d'une Déesse. Je veux mourir pour cette blonde tresse, Pour l'embonpoint de ce trop chaste sein, Pour la rigueur de cette douce main, Qui tout d'un coup me guérit et me blesse. Je veux mourir pour le brun de ce teint, Pour cette voix, dont le beau chant

tous les hommes. l29-fin: “je”: cas personnel, orgueil démesuré: avant je = victime, maintenant je= conquerant, il se contredit. Passage du je- on puis on-je: persuasion, c’est un manipulateur. c- vocabulaire de la galanterie “la beauté me ravit” l9: language galant ravissement: emporté par quelqu’un. “les inclinaisons naissantes”l16: périphrase pour parler du début de l’amour. “les transports” l 20: émotion amoureuse. “larme et soupirs” l20: voc galant de l’époque. Voc courtoie

étudier le portrait d’une femme. Un éloge est fait, non pas de sa beauté, mais de sa laideur, elle est le contraire des caractéristiques de beauté du siècle de du Bellay, et c’est une satire des courtisanes de cette époque. Il apporte une touche de modernité à la poésie. Ce texte est un sonnet composé de deux quatrains et de deux tercets, eux-mêmes écrits en alexandrins. Au premier abord, le poème peut sembler être un éloge de la beauté d’une femme, cette éloge étant accentuée par l’anaphore de

Dom Juan Acte 1 scène 2 Molière Intro : -Biographie de Molière Plan détaillé : I) Eloge de l’inconstance 1) Blâme de la fidélité *DJ se montre en désaccord totale avec la fidélité : question rhétorique « quoi » ; rythme ternaire ; ponctuation affective *désaccord par l’ironie *vocabulaire dévalorisé : « demeuré » ; « renonce »  *pour lui le mariage c’est nié la vie. Perte de désir. Allusion à la mort : « nous nous endormons ». Il condamne cette immobilité, c’est un héros

Lecture analytique n°2 Acte I, scène 2 Que nous révèle cette tirade sur le personnage de Don Juan ? I-Une éloge paradoxale de l’inconstance : un maître du langage. 1) Une réponse au portait de SG -Un texte polémique : DJ répond aux accusations de DJ. Registre polémique. Interrogations rhétoriques + interjection, ironie (antiphrase), ponctuation expressive, « non » Texte = réfutation. -Dialogue se transformant en soliloque : réponse aux accusations de DJ (2ème pers du sing), DJ parle

incriminé lors du fameux procès qui vit condamner son auteur, alors que la même année, Flaubert, romancier de Madame Bovary, lui aussi attaqué pour obscénité, fut relaxé. En quoi ce texte au titre déjà choquant unit-il les faveurs de la laideur et de la beauté jusqu’à devenir un art poétique ? Nous étudierons en premier lieu une description répugnante, ensuite la promenade de l’amour et de la mort, pour nous interroger enfin sur la place que Baudelaire, romantique contrarié, assigne à l’art. 1. Une

Chartres comme une incarnation de la perfection par sa beauté physique, sa noblesse de haut rang et sa vertu. 1. Le portrait physique Il s'agit de la première apparition de Mlle de Chartres, le lecteur s'attend à ce que l'auteur brosse son portrait  qui débute traditionnellement avec le portrait physique. Mais le narrateur se contente de reprendre  au début de la description le terme « beauté » pour la désigner : « Il parut alors une beauté », « une beauté parfaite » avec l'emploi de l'adjectifhyperbolique « parfaite »