éloge Du Chien

habillé d'un costume de la révolution de 1793 (soit un demi-siècle plus tôt). Cet inattendu face à face montre bien l’Église opposée aux Républicains, et le Républicain semble lui aussi réciter quelque chose. Face à face incongru au cours duquel un éloge républicain et une prière pour les morts sembleraient être récités simultanément. Mais ici, on assiste à une entente spirituelle, et non à un conflit. Quant aux sacristains se trouvant derrière le curé, vêtus de blanc, ils regardent vers la droite

bonne foi, admirablement ». Ce vocabulaire est présent dans l'ensemble du texte. On remarque également le rôle des superlatifs : « le plus simple, un des plus puissants, meilleur, le plus beau, la meilleur ». L'usage des superlatifs renvoie à un éloge outrancier qui instille déjà une dimension ironique à l'intérieur du texte. Ce monde idéal est également incarné par le profil harmonieux de la famille du baron. De plus, c'est une famille qui appartient à la noblesse, dont on peut supposer qu'elle

Acte I, scène 4), « Je ne sache pas que vous m’ayez jamais sauvé la vie » (Marivaux, L’Éducation d’un prince), « J’ai pris le parti de la suivre, dût-elle aller au bout du monde», « Non que je fisse des efforts extraordinaires pour mériter cet éloge, mais j’ai l’humeur naturellement douce et tranquille » , « Quelque innocente que je fusse, je trouvais, en y pensant, que les apparences ne m’étaient pas favorables » , « Fussiez-vous, vous-même, un de ces ennemis implacables, cessez de l’être envers

de son lecteur. En effet, puisqu'il invente une fable, un conte bâti de toutes pièces, il peut graduellement amener le lecteur à rentrer dans ses idées. La Fontaine écrit Le loup et le chien  où le chien conseille au loup de se mettre au service d'un humain et donc d’être asservis. Le loup réalise alors que le chien porte un collier, et décide de ne pas suivre le conseil. Cette fable animalière incarne deux figures symbolique qui polémiquent sur la liberté. Ce recours à des figures allégoriques facilite

(1621-1695) est un auteur de l'époque classique surtout connu pour ses Fables publiées en 1668, inspirées de celles des auteurs de l'Antiquité, notamment Esope et Phèdre, mais qu'il enrichira jusqu'en 1694, un an avant sa mort. « Le loup et le chien » est une fable en vers du premier livre qui a pour objet de faire l'apologie de la liberté, et qui reprend un récit D'Esope. Nous montrerons que ce poème vise d'abord à séduire le lecteur, par un récit varié et plaisant, puis que l'auteur propose

était de corps », « le visage d’un fol », « le regard d’un taureau », « rustique son vêtement » (portrait physique) « Simple de mœurs », « malheureux en amour », « infortuné au regard de l’argent » (moral) Portrait péjoratif => paradoxe= éloge « mais », « tjrs riant », « tjrs près à trinquer » (vin) Socrate = un bon vivant comme lui. Sagesse = ps de dépendance matérielle, ne ps dépendre des accidents du destin => forme de détachement. * Dépasser la condit° humaine « veiller

L’éloquence du chien est une argumentation qui vise à convertir le loup en chien. Pour le chien c’est une résolution de la crise car le loup n’aura plus faim. Il y a une conciliation des contraires car le loup presque éclipsé est visiblement subjugué par le chien (attesté par le récit allant de la ligne 30 à 31). Péripéties 3 (ligne 32 à 40) Dans cette partie le discours domine aussi. Il y a un revirement de la situation avec un retour à l’antagonisme initial (chien ≠ loup). Le récit

(écrivains, philosophes, théoriciens...) ont tenté de donner leur propre définition du genre fantastique, comme par exemple Tzvetan Todorov, un grand théoricien de la littérature, auteur notamment de Introduction à la littérature Fantastique ou encore Eloge du Quotidien. Selon lui, "Le fantastique, c'est l'hésitation éprouvée par un être qui ne connaît que les lois naturelles, face à un événement en apparence surnaturel". Sa thèse (souvent acceptée par le monde littéraire) a longtemps été discutée par

avant de pouvoir s'expliquer Ligne 33. - " La justice se soumet au Roi " Ligne 25 : Les juges condamnent Zadig sans preuve, simplement aux dires des serviteurs du Roi. - Zadig est condamné trop sévèrement : exil à vie + knout pour avoir volé un chien et un cheval (lignes 27 et 28). - Voltaire condamne la rapidité excessive du procès et du jugement : juxtaposition " ; " suivi immédiatement de la relative " à peine " (lignes 26 et 28). - Ironie : " Etoiles de justice, abîmes de science, miroir

de la chevelure, ce « subtil appareil à caresses » (l.13). Cette métaphore met clairement en valeur la chevelure et démontre que les coiffeurs ne s’y intéressent pas comme ils le devraient. c) Un éloge de la chevelure blonde, un véritable mode de vie Tout au long des pages 51 et 52 du roman, un éloge de la chevelure est au centre du récit, et il représente finalement le moteur de l’extrait. La chevelure blonde fait l’objet d’un catalogue de comparaisons surréalistes aux lignes 34 à 36. L’auteur