éloge Du Chien

Llosa, L’homme qui parle (1989) 1) L’auteur : sa vie, ses engagements, citations, photos … Sa vie : À l'âge de 14 ans, il étudie à l'Académie militaire de Lima, qui lui laisse un sinistre souvenir et la matière de son livre La Ville et les chiens. Il étudie ensuite à l'Université San Marcos de Lima et occupe parallèlement différentes professions : correcteur, puis collaborateur aux rubriques cinéma de revues littéraires, notamment Literatura (1957-1958) ou du journal El Comercio. Pendant

représente l’exotisme auprès duquel il trouve la sérénité) et Mme Sabatier (Au départ relations purement littéraires s’échangeaient des commentaires). Ce sont donc les femmes du titre, la dualité était donc présente même dans la vie de B. « Le chien et le flacon » éloge de la modernité et montre que le public n’aime pas qu’on casse ses habitudes (s’adresse donc aux lecteurs) V] Conclusion : -Recueil centré autour de la ville -Poésies car figures de styles +musicalité -De Paris (titre) car B. déteste

déroulement de la bataille en glorifiant toujours l’armée française qui gagne (ligne 31 à 44). Puis il nous fait un bilan de la bataille et nous indique que les grands seigneurs ennemis ont été pour plus part capturés (ligne 44 à 51). Enfin il finit sur un éloge du roi de France, vainqueur en partie grâce à la présence divine (ligne 51 à la fin). On peut alors se demander comment l’auteur traite-t-il de la bataille ? Ainsi d’une part nous étudierons le rejet de l’Eglise envers Otton IV et la coalition et

confiance, plaisir sans méchanceté). C'est une circulation justement répartie et cyclique : on offre et on reçoit. Il aide à l'intellectuel (« il purge les cerveaux », l.4-5) et possède des qualités morales (« instruit les armes à la vertu », l.5). Éloge paradoxal autant aujourd'hui qu'au XVIIe s, notamment parce qu'à l'époque le tabac était condamné par l'Église et par le pouvoir politique (Louis XIII). De plus, c'est un produit cher, apanage des riches. À l'époque, tenir une tabatière était un geste

cette phrase : « Celui qui regarde au-dehors à travers une fenêtre ouverte ne voit jamais autant de choses que celui qui regarde une fenêtre fermée. » On est donc à la frontière entre deux mondes, la ville et la campagne, le vice et la vertu...Un éloge paradoxal du soleil Le soleil est l’élément qui permet aux deux mondes de se rejoindre, mais sa nature est paradoxale . Il apparaît d’abord comme « cruel » , cet adjectif étant accentué à la

pour developper son pouvoir. - Concession ( V30-31 ) 3: Défauts de la cour A) Renard : Fourberie symbolise le clerger qui pardonne pêchers du roi. - Flatterie : repetitions de “trop”, éloge du roi. - Mal se transforme en bonne actions B) Les autres courtisans Tigres, ours, chien berger = animaux redoubtable Symbolise l’aristocratie noblesse. Porte pas grande importance a leurs pecher. Conclusion axe 2 : A travers critique roi et cours, LF montre que la justice ne s’applique

feuilles d’automne) ou des romans (Les Misérables). Dans ce passage, Hugo critique l’exploitation des enfants à travers le cas de Cosette. I – Opposition entre les fillettes Thénardier et Cosette : bonheur contre malheur 1°) Descriptions physiques Eloge des deux fillettes Thénardier : • Vocabulaire mélioratif : « jolie », « charmante », « coquetterie », « lustrée »... Cela traduit l’admiration du narrateur. • Adverbes « chaudement », « vraiment », « très », « bien ». Ils intensifient l’aspect

Aucune transition humaine : Cf. : Les personnages utilisés ne font l’objet d’aucune personnification ni description. On n’a donc pas affaire à une fable. La Bruyère est obligé d’exprimer le 2e degré puisqu’ il n’y a pas de personnification. II. ELOGE ET BLAME L’éloge et le blâme se confondent . En faisant l’éloge d’un idéal, il critique le roi. Cf. : "Quelle... "= ironie Cf. : "Servitude" : il inverse les rapports. Le chef de l’Etat semble au service de son peuple. C’est comme ceci qu’il blâme

choix au pauvre, le présent accentue la réalité. la tentation se fait plus fort. le louis représente la fin de la richesse pour le pauvre est scandalisé et horrifié. mais il est tenté réplique 19 : c'est une sorte de jeu comme un dresseur et son chien. il y'a une dimension ludique accentue par cette réplique qui représente un décasyllabe . réplique 20 la réplique de Sganarelle est dictée par la gène et la pitié , il propose une sorte de compromis qui n'a pas de sens. réplique 21 : agacement

strophe : la charogne vient à vie ; « vivait » (v.24)  La mort vient à vie à travers la charogne : différentes images amènent la mort à vie : la charogne, la musique, le tableau, la viande qui pourrit  Le sens du détail: le monde répugnant, le faux éloge romantique et la comparaison cynique du poète  Gradation des étapes après la mort, une véritable progression : « charogne »- « carcasse »-« ossement »-« vermine »-« décomposée » La mort vient donc à vie à travers cette vision morbide de la mort