éloge Du Chien

ou tout semble aller pour le mieu depuis toujours. c)-vocabulaire mélioratif "droit, bon, honnete..." en abondance et reparti dans l'ensemble du texte. -les roles des superlatifs "le plus simple, un des plus puissant,meilleur, le plus beau...", un eloge outrancier. -equilibre de la famille du conte= harmonie. -enfin, elle apppartienne a la noblesse. Ce texte empreint donc au conte traditionnel par certains aspects, mais il en est aussi une parodie. II] Les effets de mise a distance (par apport au

------------------------------------------------- COMMENTAIRE ------------------------------------------------- Acte I scène 1- Dom Juan * 1. Introduction 2 2. DEVELOPPEMENT 2 2.1. Une scène d’exposition 2 2.1.1. Un éloge du tabac ambigu 2 2.1.2. Une scène pour exposer la situation 3 2.1.3. Le portrait de Don Juan 4 2.2. L’inscription de la pièce dans une philosophie 5 2.2.1. Libertinage et matérialisme 5 2.2.2. L’imitation du valet 5 2.2.3. La critique implicite

Il aime s’écouter parler (cf éloge) + mélange du niveau de langage : familier (« Si tu conaissait le pèlerin » l57), cocasse (« il aurait encore épousé toi, son chien, son chat » l72 / « épouseur à toute main » se dit normalement d’un cheval bon pour un attelage) mais il a acquis une certaine culture au contact de DJ ( parle d’aristote) Un couple de valet un peu ridicule fondé sur une alliance de contraires L’éloge du tabac C’est un début de farce : éloge paradoxal Valet qui se met

un lièvre. Toujours avec la même construction grammaticale : « C'est un bon lévrier ». Cela se répète encore, avec l'évocation, cette fois ci, de la chasse qui oppose un homme et un sanglier : « Voilà un brave homme », et une ultime fois avec deux chiens, mais l'adjectif change alors : « Voilà de sots animaux ». Nous remarquons qu'il y a trois « Voilà ». Cette anaphore est placée en tête de phrase, elle met en relief ce qui la précède. Nous remarquons aussi que les qualificatifs utilisés dans les

nouveau monde, dans ce texte, les indiens faces aux portugais. Montaigne déplace le problème de l’ethnocentrisme : le regard part des Barbares vers les européens I – L’éloge des indiens En première partie, nous allons montrer que Montaigne fait un éloge des indiens, du nouveau monde. 1) Justification de leur anthropophagie - Description des canibales / enchaînement des faits. Exemple : "guerre"; "mort"; "sang"; "trophée"; "rotîr" renvoient au festin. - Montaigne décrit les faits d’un point

profusion Gervaise « la fille prodigue » : allégorie biblique  du fils prodigue Démesure : l'oie symbole de prospérité Vocabulaire de la convivialité : la fraternité des agapes, du banquet : éloge de l'amitié, des sentiments populaires... La vengeance du peuple : le rire, la revanche des faibles sur les puissants Eloge de la sensibilité, de la sensualité : une vision épicurienne de la vie (« s'en fourrer jusqu'aux oreilles », « les bedons se gonfler », « empiffrer », etc...) Une vision carnavalesque

Lecture analytique d’une charogne . - référence à l’ode de Cassandre . ce poème est une déclaration d’amour et un éloge de l’art . En quoi ce poème est une déclaration d’amour ? Structure du poème : • Les deux premières strophes forment une seule phrase , adressée à la femme aimée . • Strophe 3,4,5,6,7,8,9 : discours descriptif • Strophe 10,11,12 : retour au discours adressé à la femme aimée . I. Un tableau choquant . 1) Le choix du sujet/thème et le titre . « Une

Zadig de voltaire Chapitre 3 Le chien et le cheval. Analyse Zadig paru en 1747 Registre Ce texte traite le système judiciaire à travers deux histoires: -Zadig dit ce qu'il n'as pas vu -Zadig ne dit pas ce qu'il as vu Peu importe l'histoire il reçoit toujours une amende La première phrase est une métaphore : „Zadig éprouva que le premier mois du mariage, comme il est écrit dans le livre du Zend, est la lune du miel, et que le second est la lune de l’absinthe. Cette métaphore fait

la nature par ses valeurs et qualifié par son rapport à l’homme ANIMAL OBJETC Animal est merveille car il EST animal ANIMAL SUJETSon rapport à l’homme en fait sa préciosité car il n’en est pas unL’Appel de la forêt de Jack London met en scène un chien domestique, qui revient à son état naturel et sauvage, un thème repris dans Croc Blanc. Ayant effectué un véritable travail d’anthropologue, l’écrivain américain se récrie contre les critiques qui voient ses protagonistes canins comme des allégories

humain confronté à la bête (comme dans les passages sur la chasse ou l'arbitrage du combat de chiens), La Bruyère replace l'Homme au même rang qu'un animal. C’est alors que l’on retrouve la perversion de l’Homme, son comportement similaire à ces animaux. Tout au long du texte, La Bruyère compare sans cesse ces hommes à des animaux. Il commence tout d'abord par les comparer à deux chiens qui se battent : "chiens qui s'aboient, qui s'affrontent, qui se mordent et se déchirent" ce qui est accentué par cette