épargne Et Investissement Chez Keynes

1.2.1. Crise de 1929, spéculation, crise boursière et financière  Crise peut apparaître comme la conséquence de la spéculation boursière et du krach de Wall Street Contexte de la spéculation: croissance des années 20 (Roaring 20s) forts investissements (industrie) ⇓ un mouvement de concentration des entreprises et l'émission des actions ⇓ forte rentabilité des actions par la croissance ⇓ présence importante de spéculateurs (actionnaires individuels) ⇓ fonds disponibles: monnaie scripturale,

les esclaves de quelque économiste passé. Les illuminés du pouvoir qui se prétendent inspirés par des voies célestes distillent en fait des utopies nées quelques années plus tôt dans le cerveau de quelque écrivailleur de Faculté [1]. » John Maynard Keynes, Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie, chapitre 24, 1936 L'archéologie a montré que la pensée économique est très ancienne, comme en témoignent les lois et les principes économiques exposés dans le code d'Hammurabi (roi de

nous attendons notre diner mais, bien du soin qu’ils apportent à leurs intérêts. Nous ne nous adressons pas à leur humanité mais à leur égoïsme et ce n’est jamais de nos besoins que nous leur parlons, c’est toujours de leur avantage. » Deux thèmes chez Smith sont encore au cœur des débats : * La conduite des individus est dictée par leurs intérêts personnels. On parle d’homo oeconomicus : dans le comportement de production et de circulation des biens on considère les agents rationnels. *

puissante. Cette période voit se développer aussi les premiers principes de la théorie monétaire. Jean Bodin explique l'accroissement des prix au 16eme siècle par l'afflux d'or et d'argent en provenance d'Amérique. A la fin du 18eme siècle il apparaît chez les Physiocrates (c'est un courant de la pensée qui est à l'origine de la conception moderne de l'économie). Adam Smith, Maltus, Ricardo, Jean Baptist Say... ont fondé ce qu'on appel l'économie politique classique. Défenseurs du libéralisme économique

de production : additionner la fonction de production de tous les consommateurs. Macroéconomie : Elle ne s’occupe pas des comportements individuels, elle part de faits globaux, elle étudie des agrégats économiques. (PIB, Consommation, Revenu, Investissement) Comment s’élabore le revenu disponible et comment le mesure t-on ? Si on établit se lien on peut construire une fonction de consommation. Dans l’activité économique je vais intégrer la fonction de consommation. De ces deux approches, l’une n’est

de production : additionner la fonction de production de tous les consommateurs. Macroéconomie : Elle ne s’occupe pas des comportements individuels, elle part de faits globaux, elle étudie des agrégats économiques. (PIB, Consommation, Revenu, Investissement) Comment s’élabore le revenu disponible et comment le mesure t-on ? Si on établit se lien on peut construire une fonction de consommation. Dans l’activité économique je vais intégrer la fonction de consommation. De ces deux approches, l’une n’est

et activité réelle. Dichotomie entre approche classique et néo-classique. Les approches classiques et néo-classiques sont toutes deux dotées de théorie de la valeur, chez les classique, c'est le travail qui confère la valeur, chez es néo-classique, c'est l'utilité. Chez Keynes, il n'y a pas de théorie de la valeur. Chez les classiques et néo-classiques, la valeur des biens et services est déterminée avant la monnaie, par exemple on dit qu'une table vaut deux chaises. La quantité de monnaie

création d'outils encore plus perfectionnés, la productivité du travail est sans cesse améliorée. Ainsi, le capital devient le maître des ressources grâce auxquelles les capitalistes deviennent les maîtres du travail. Dans un sens général, le capital est, chez les classiques, un fonds de salaires ; une machine est la matérialisation de la dépense passée du fonds de salaires, qui a ainsi franchi un stade de la production. c) La détermination du « surplus » Le surplus est la différence entre le volume total

élevé signifie en effet des revenus élevés pour les capitalistes, donc une épargne forte, autrement dit des ressources disponibles pour l'investissement ; il signifie également des perspectives de profits accrus pour l'avenir, donc l'incitation à transformer effectivement cette épargne en investissements. Inversement, un taux de profit faible, c'est moins d'épargne, donc moins de ressources pour investir. Et cet investissement, promettant d'être moins rentable, sera de toutes façons plus rare.Pour résumer

en cela des économistes classiques qui vont fonder le libéralisme. Si le rapport théorique n’est pas décisif, leur politique économique violemment condamnée depuis le courant libéral à fait recette et on reconnait certains termes mercantilistes chez Keynes. 1) Les Physiocrates : la richesse vient de la terre, liberté du commerce. Les auteurs Physiocrates sont : ⁃ François Quesnay (1694-1774) : Economiste français. Il fait publier un tableau économique où il y représente l’économie comme un