épicure Et La Conscience

deuxième personne de la mort d’un proche, en première personne, de notre propre mort, en première personne: " la deuxième personne, disait-il, s’offre à nous comme un moyen de surmonter la disjonction" épicurienne entre la mort et nous. Car pour Epicure la mort n’est rien pour nous puisque quand nous sommes vivants la mort n’est pas d’actualité et lorsque nous sommes morts, la question ne se pose plus. 2-Le culte, rituel typiquement humain Qu’est ce qu’un culte? A la différence des animaux, l’homme

temps si puissant qu'on le suppose, se fasse un concept déterminé de ce qu'il veut ici véritablement. » Tentons cette gageure ! Laissons-nous guider par Epicure qui nous demande de « méditer sur les causes qui peuvent produire le bonheur, puisque, lorsqu’il est à nous, nous avons tout, et que quand il nous manque, nous faisons tout pour l’avoir2.» Epicure propose une méthode, mais invite à respecter une condition préalable : abolir le désir d’immortalité. Bien vivre et bien mourir ne font qu’un. Profiter

Montaigne se moque de leur attitude désinvolte Effet de théâtralisation L’homme ne supporte pas l’idée de la mort, il fait preuve de lacheté L’homme vit dans une illusion d’éternité Montre qu’il se distingue des autres hommes car il a conscience de sa finitude Montaigne, propose un equilibre puisqu’il ne faut ni ignorer ni craindre la mort. °Paradoxalement, il faut penser à la mort pour s’en libérer °Montaigne tente de dédramatiser la mort ° Montaigne tente de rassurer son

Elias de la caille à àk,, kkkddddddddddd xdddddxdxdxdxdxdxNotions Expérience humaine· Conscience, inconscient · Nature, temps· Travail, technique, art· Langage, religion, raison· Vérité, science· L’état, la justice· Liberté, bonheur, devoirs Epicure, La lettre à MénécéeIntroduction généralePhilosophie et raison 1) L’amour de la sagesse PLATONPhilosophie veut dire « Amour de la sagesse » surtout utilisé par PLATONSavoir différent

caractéristique que l’homme se distingue de tous les autres êtres vivants, notamment des animaux qui agissent, face à un besoin, par instinct ou par mécanisme de survie. Cette particularité humaine est ce qui constitue notre essence même, le fait d’avoir une conscience nous permet de refouler ou de tendre vers certains désirs. Ce constat peut être exemplifié par le mythe d’Eros, le demi-dieu qui personnifie l’amour et le désir. Fils de Poros, le dieu de l’abondance, et la mendiante Penia. Eros représente le point

donne la force de vivre chaque jour. Il devient par exemple notre raison de se lever chaque matin. Il permet d’échapper à notre monotone existence et de lui donner du mouvement, c’est un moteur de vie. Spinoza définit le désir comme « l’appétit avec conscience de lui-même » ou conatus. Pour lui, l’homme est animé du « désir de persévérer dans son être ». Le désir est ce qui nous fait exister. Il oblige l’homme à s’arracher à son immobilité et à s’interroger sur sa nature, sur son existence et lui donne

s'oppose purement et simplement à l'idée même de liberté. Par définition, où il y a un déterminisme, quelqu'il soit, la liberté est niée. Celle-ci est ainsi réduite, chez Spinoza par exemple dans la Lettre à Schuller, à n'être qu'une illusion de la conscience. Donc, le premier problème du déterminisme physique est qu'il est incompatible avec la possibilité de notre liberté, que nous puissions faire quelque chose de radicalement nouveau et imprévisible, d'inédit, en somme donc, de créer. C'est d'ailleurs

propre qu’aux hommes, mais a chaque être vivant. Pourtant, l'homme qui est le plus évolué des êtres vivants est le seul parmi les animaux à être doté de raison et de conscience. En effet l'homme pense, sait et agit, c'est ce qu'on appelé être conscient. Mais il sait qu'il pense, qu'il sait ou qu'il agit, que l'on appellera "prendre conscience et qui est le passage de l'un a l'autre. Mais alors, la mort qui touche chaque être vivant est’ elle une certitude pour chaque espèce? Et cette finitude laisse telle

bonheur est possible voire facile tel que Spinoza, Épicure et les pessimistes, pour qui il est difficile, voire impossible, Schopenhauer, Freud, Rousseau font partis de cette catégorie. Pour les optimistes le bonheur est accessible, facile a atteindre. Une partie d'entre pensent que l'inconscience mènent au bonheur, c'est-a-dire que les hommes simples d'esprit évitent le doute, les insomnies, l'angoisse, la réflexion... Pour eux la conscience est trop lourde à porter. L'homme qui choisit cette

l'homme doit lutter contre les turbulences de son corps ; les Cyrénaïques, au contraire, font de la satisfaction de tous les désirs le bien suprême. Toutes ces réflexions ont conduit à de nombreuses distinctions, comme on le voit par exemple chez Épicure. La classification des désirs [modifier] La morale épicurienne est une morale qui fait du plaisir le bien, et de la douleur le mal. Pour atteindre le bonheur (l'ataraxie), l'épicurien suit les règles du quadruple remède, appelé le "Tétrapharmakos" :