épicure These

est-il concret ou abstrait ? 3 Le bonheur est-il durable ou éphémère ? 4 I. Bonheur et désir 4 A. L’hédonisme 4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 5 B. Le stoïcisme 6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle) 6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 6 b. Modifier nos désirs 7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent

est-il concret ou abstrait ? 3 Le bonheur est-il durable ou éphémère ? 4 I. Bonheur et désir 4 A. L’hédonisme 4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 5 B. Le stoïcisme 6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle) 6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 6 b. Modifier nos désirs 7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent

chemin qui nous mène vers le bonheur ? On essaiera de répondre à ses questions en divisant le texte en 3 parties. En premier lieu, on analysera la thèse de Rousseau sur le bonheur, puis on étudiera le bonheur et le désir ensemble. Enfin on pourra étudier l’âme ordonnée menant au chemin du vrai bonheur. Dès le début du texte, Rousseau annonce sa thèse sur le bonheur mais sans rien démontrer. L’emploi du « nous » fait appel à un sens de partage et le pronom « on » généralise tout individus impliquant

est-il concret ou abstrait ?3 Le bonheur est-il durable ou éphémère ?4 I. Bonheur et désir4 A. L’hédonisme4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès)4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure)5 B. Le stoïcisme6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle)6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas6 b. Modifier nos désirs7 c. La vertu, c’est le bonheur7 d. Être conscient des maux qui nous guettent7

concret ou abstrait ? 3 Le bonheur est-il durable ou éphémère ? 4 I. Bonheur et désir 4 A. L’hédonisme 4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 5 B. Le stoïcisme 6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle) 6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 6 b. Modifier nos désirs 7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent

et l’angoisse, à tel point que je ne sais plus ce qui peut rendre l’homme heureux. Alors je substitue aux désirs naturels des désirs d’opinion, fondés sur une idée fausse du bonheur qui est l’effet de mon inquiétude. Cela ne signifie pas que pour Epicure, on est heureux en étant pauvre, méprisé, faible. Celui qui serait trop faible ou méprisé ne peut pas satisfaire ses désirs nécessaires. Donc il y a un minimum : il faut travailler pour toucher un salaire convenable qui me procure des conditions de

rendrait toute forme de bonheur impossible donc. Cependant un tel bonheur n’est pas facile à atteindre, l’homme est plein de désirs infinis. L’échec ne le vouera t’il pas à la frustration et donc au malheur ? C’est pour cette raison que le philosophe Epicure classe les désirs en plusieurs catégories. Le bonheur résulterait de la satisfaction de certains désirs seulement. Cela demande donc aux hommes d’avoir la capacité et la lucidité pour différencier les désirs naturels des désirs inutiles. C’est la

foi est sa propre devise qu'elle oppose à tous les dieux du Ciel et de la Terre qui ne reconnaissent pas pour divinité suprême la conscience que l'homme a de soi." (Karl Marx / 1818–1883 / Différence de la philosophie de la nature chez Démocrite et Epicure) "L'athéisme est une négation de Dieu et par cette négation, il pose l'existence de l'homme." (Karl Marx / 1818–1883 / Manuscrits de 1844) "La religion est le soupir de la créature opprimée, l'âme d'un monde sans cœur, comme elle est l'esprit des

recherche du plaisir, les excès du désir conduisent malgré tout à la souffrance. A ce propos, les EPICURIENS soutiennent qu'il convient d'adopter un mode se vie sobre et frugal afin d'éviter la naissance de s désirs excessifs. L'originalité de leur thèse réside dans la confiance accordée au corps (Les STOÏCIENS condamnaient les envies du corps et exigeaient qu'il soit dirigé par la raison). Les EPICURIENS au contraire affirment que le problème des excès du désir vient de ce que l'âme peut menacer

transmettre la tromperie du bonheur, le seul sentiment moral acceptable étant la pitié qui reconnaît l'universalité de la souffrance. La seule délivrance est la négation du vouloir-vivre, non pas dans le suicide, mais dans l'acte de non-volonté (cette thèse n'est pas éloignée du bouddhisme). Il faut renoncer au désir qui est le mal radical. Comment renoncer au désir ? Une première solution se situe dans la contemplation esthétique. Comme Kant, Schopenhauer considère qu'elle est désintéressée et donc