épicure These

maisons à construire avec un contrat. Il voit son maître comme un homme qui a l’instinct les plus bas, il est comparé à un « chien », « un pourceau d’Epicure » « un vrai Sardanapale », « une bête brute ». Nous distinguons une allusion au libertinage « Epicure et Sardanapale », sa morale comme ceux des philosophes grecs est fondée sur le plaisir, le débauche et la corruption, ce qui caractérisent la vie d’un libertin. Nous remarquons aussi une déhumanisation de Dom Juan, c’est un « chien » et un « loup-garou

Lettre à Ménécée - Commentaire, p.1 La science suprême est pour Epicure l’art de vivre. C’est ici, dans ce monde, qu’il nous faut au mieux organiser nos conditions d’existence en vue de connaître un contentement durable fondé sur un calme intérieur que ni les événements du monde, ni les désirs multiples et insatiables, ni l’imagination toujours prompte à nous efrayer, ne sauraient troubler. Toute la philosophie d’Epicure est donc orientée vers une éthique, c’est-à-dire une recherche des vertus

quand tous nos désirs et nos peurs ont une réponse soit par la réflexion qui en dévoilent la vanité ou soit par leur réalisation fictive ou réelle. Celui qui ressent le plaisir d’exister ne saurait le perdre quoiqu’il lui arrive ou quoiqu’il fasse. Epicure était, paraît-il, dans un état d’ataraxie malgré une maladie très douloureuse car il disposait de ce plaisir d’exister qu’il pouvait retrouver à tout instant malgré ses douleurs. Un homme qui maîtrise ses désirs et ne perd pas sa tranquillité intérieure

"Vous êtes en état de péché mortel. De quel droit avez-vous engagé une guerre atroce contre des gens qui vivaient pacifiquement dans leur pays? Pourquoi les laissez-vous dans un tel état d'épuisement sans les nourrir suffisamment ? Car le travail excessif que vous exigez d'eux les accable et les tue. Ne sont-ils pas des hommes? N'ont-ils pas une raison, une âme ? (...) Toutes la nations du monde sont composées d'hommes: tous ont leur intellect, leur volonté et leur libre arbitre, puisqu'ils sont

conscience aboutit à la saisie d’elle-même et que je me pose véritablement en tant qu’homme. Nous pouvons déduire que, pour que l’homme accède au bonheur et à la liberté, il lui faut absolument établir une hiérarchie des désirs, comme l’a démontré Epicure dans sa lettre à Ménécée. Tout désir, en effet, n’est pas souhaitable. Aussi distinguons nous les désirs naturels et nécessaires des désirs naturels et non nécessaires, et enfin des désirs ni naturels ni nécessaires. Le but est d’accéder à la liberté

Candide : extrait 1 : l'incipit Un chapitre d'exposition Présentation des personnages successivement selon leur ordre d'entrée en scène : Candide : élément important,caractérisation pas son aspect extérieur, son caractère, ses qualités intellectuelles ( jugement assez droit) et le choix de son nom : Candide = naïf. Enfant naturel = sans père. Le baron : présentation pas petites étapes = phrases brèves. Caractériser par sa situation : son pouvoir, puissance (L8) et par ses bien : richesse (L9-10)

Chez moi, je me détourne un peu plus souvent à ma librairie, d’où tout d’une main je commande à mon ménage. Je suis sur l’entrée et je vois sous moi mon jardin, ma basse cour, ma cour, et dans la plupart des membres de ma maison. Là, je feuillette à cette heure un livre, à cette heure un autre, sans ordre et sans dessein, à pièces décousues ; tantôt je rêve, tantôt j’enregistre et dicte, en me promenant, mes songes que voici. Elle est au troisième étage d’une tour. Le premier c’est ma chapelle,

ne se limitent pas aux besoins physiologiques tels que respirer, boire ou manger. Ce sont aussi des besoins sociaux (parler ou s'intégrer à un groupe), culturels (défendre des valeurs auxquelles ont croit), psychologiques, spirituels, etc... Epicure classe les désirs selon deux grandes catégories et à l’intérieur plusieurs sous-catégories. La première est les désirs naturels, avec d’un côté les nécessaires (classé sous trois sous-catégories : “le bonheur”, “la tranquillité du corps” et “la vie”)

toujours porteur d’une condit° tragique. Les 2 proposit° de Pascal ne marchent pas puisque le divertissement nous conduit vers des illusions. Ensuite, on essaie d’envisager de s’inscrire dans le tps et on utilise la fameuse lettre à Ménécée d’Epicure. Epicure dit que l’on n’a pas à craindre la mort. * 3ème partie : Nous sommes des êtres temporels. Chez Bergson, le tps est opposé à l’éternité sauf que le sens de cette opposit° est ≠ de celui qu’on peut trouver dans d’autres philosophies car dans

bonheur est illusion… Bonheur : Le bonheur est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, l'inquiétude et le trouble sont absents. D’après différents philosophe : Selon Epicure, Le bonheur est le plaisir de l'âme (sérénité) qui naît spontanément de la satisfaction des désirs naturels et nécessaires, dont les deux plus importants sont, outre la sécurité et la santé, la sagesse et l'amitié. "Il est impossible d'être heureux