épicure These

abstrait ? 3 Le bonheur est-il durable ou éphémère ? 4 I. Bonheur et désir 4 A. L’hédonisme 4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 5 B. Le stoïcisme 6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle) 6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 6 b. Modifier nos désirs 7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être

certains y voient un état de sérénité et de paix qu’il dépend de nous d’atteindre ? C’est le cas, en particulier, d’Epicure pour qui le Souverain Bien est le plaisir. Mais cet hédonisme n’a rien à voir avec la soif de jouissance de Calliclès. Epicure invite en effet celui qui cherche à être heureux à distinguer les plaisirs éphémères, rapidement suivis de souffrance, et l’état de plénitude qu’on peut connaître lorsqu’on réussit à savourer la qualité de l’instant qu’on vit. La recherche du bonheur

et désirer tout ce qui donne de la joie. * Nietzsche : critère de sélection = * Epicure : différence entre les désirs nécessaires, non nécessaires, mais surtout entre désirs naturels et ceux qui ne le sont pas. Chez les grecs, le mot de nature veut dire ce qui est fini, que l’on peut atteindre. Et le désir non naturel, c’est celui que l’on poursuit sans jamais pouvoir l’atteindre. Aussi, Epicure est philosophie du plaisir et sa définition du bonheur est l’absence de souffrance mais aussi

est philanthrope => être paradoxal car il est cruel et bon B. critique de la société Dom Juan a tout de l’attitude du libertin du 17ème siècle, c’est à dire de tous les gens qui s’affranchissent des idées traditionnelles qu’ils contestent=> cf. Epicure 341-370 avant J.C philosophe grec. Ce texte est provocateur car il s’oppose aux bases de la société du 17ème. C’est là que les metteurs en scène entre en jeu. III. comparaison de différentes interprétations de la scène Les metteurs en scène

la vie la meilleure, la plus adéquate à notre nature d’homme. Mais déjà à l’époque Epicure revendiquait que la vérité ne valait pas pour elle-même mais « pour ses suites ». On peut rechercher la vérité pour elle-même mais le fait-on ? L’intérêt se réduit-il à l’utilitaire ? Et ce qui nous intéresse à l’utile ? Cela pose-t-il vraiment problème que l’on cherche la vérité par intérêt ? Auteurs en référence : Epicure, Popper, Russell, Comte, Kant, Alain Le plan proposé : I. Il est possible qu’elle

un maximum de plaisir et un minimum de peines seront ressentis. 2) Qu’y a-t-il de commun entre les morales d’Aristippe, d’Epicure et de Bentham ? En quoi, néanmoins, la morale de Bentham diffère fondamentalement des 2 autres ? Aristippe, Epicure et Bentham sont tout trois des théoriciens de l’hédoniste. Pour Aristippe, la vie heureuse est une vie ascétique, se contentant de peu et sachant réfréner ses désirs : être heureux c’est trouver son plaisir dans les choses ordinaires et faciles à

Les trois grands sages de l’antiquité que sont Platon, Aristote et Epicure se sont penchés sur la question. Le plaisir de vivre est bel et bien réel cependant l’accès à celui-ci n’en est que plus compliqué. « N’est-il vrai que, nous autres hommes, désirons tous être heureux » écrivait Platon, et si l’on accorde le fait d’être heureux au plaisir, alors être heureux n’est autre que le plaisir de vivre. De ces 3 philosophes c’est Epicure qui a le plus étudié le plaisir de vivre, cependant s’il existe un

pour l'ensemble des hommes. Il rejette le devoir comme notion première et mesure la qualité morale d'une action aux conséquences que l'on peut en attendre. L'utilitarisme que l'on retrouve à l'état embryonnaire chez Platon (428-347 avant JC), Epicure (341-270 avant JC), Sénèque (4-65), David Hume (1711-1776), Claude Adrien Helvétius (1715-1771), s'est surtout développé en Angleterre avec Jeremy Bentham (1748-1832) qui en est le père, John Stuart Mill (1806-1873) et Herbert Spencer (1820-1903)

 André Godin, Psychologie des expériences religieuses : le désir et la réalité André Godin, professeur de psychologie religieuse, présente dans son livre « Psychologie des expériences religieuses : le désir et la réalité », une observation et réflexion sur l’expérience religieuse. Pour ce faire, il met en avant dans les trois parties de son livre (« De la religion instituée à la religion fonctionnelle », « Des expériences de Dieu ? », « Expérience de soi ou expérience transformante dans la foi ») les

on peut vivre heureux, si on suit sa pensée le bonheur recherché peut être atteint. Sa thèse est la suivante : L’homme qui à accès au bonheur, ménage ses plaisirs, il l’établie avec une conclusion qui fait aussi office d‘affirmation à sa thèse « D’après ce principe l’on voit que …» dans le second paragraphe, il ajoute que les moralistes ne sont pas tous du même avis par rapport au bonheur, c’est pourquoi sa thèse ne serait pas plus fausse qu’une autre. 2. « L’homme qui cherche le