épicure These

1 la vie d'Epicure (341-270 av JC) Epicure serait né a Samos, une île au bord de l'Asie mineure, car il est surnommé fils de "clérouque", c'est à dire un fils d'un colon athénien possédant un lopin de terre dans une colonie mais conservant sa citoyenneté athénienne. Sinon, d'auitres le voyent né a Athenes. Il est le fils de Néoclès, un noble désargenté originaire de la circonscription de Gargettios près de l'Acropole à Athènes. Néoclès serait probablement parti à Samospour échapper à la pauvreté

Le personnage de Candide |Candide : |- il ne revient pas à son point de départ au château ce qui montre son évolution. | | |- début : naïf, ne connaît rien à la vie | | |fin : a fait le tour du monde, enrichi par ses expériences. | | |-

mettre fin à l'état de besoin. Dans ce cas, le désir est subordonné au besoin, n'existe et ne se manifeste que par rapport à lui et dans le but de le faire cesser. [...] [...] Nous ne désirerions donc que ce dont nous avons besoin. Seulement, cette thèse admet certaines réserves : puisque l'état de besoin peut être relatif à n'importe quelle fin, alors que le désir est lui exclusivement en rapport avec nous-mêmes comme fin, il faut préciser que si nous ne désirons que ce dont nous avons besoin, nous

injustement vienne la négation de l’existence par celui qui souffre. Seule la liberté peut rompre cette chaîne qui lie malheur et abattement, avec pour moyen la révolte. Quant à s’interroger sur l’association entre Dieu et le mal, citons pour conclure Epicure : « Ou bien Dieu veut supprimer les maux mais il ne le peut pas, ou bien il le peut mais il ne le veut pas. Ou bien il ne le peut ni ne le veut. S’il le veut et ne le peut pas, il est impuissant, ce qui est contraire à sa nature. S’il ne le veut ni

ses désirs, en d'autres termes "sagesse". Le bonheur aide à penser ce décalage permanent entre le désir et le réel, qui est un trait essentiel de la condition humaine; mais aussi cette possible rencontre entre nos désirs et le réel. Sommaire * Epicure d’après Diogène Laërce: « Ceux-là jouissent le plus de l’opulence qui ont le moins besoin d’elle. » * Spinoza: « La béatitude n’est pas le prix de la vertu, mais la vertu elle-même. Et cet épanouissement n’est pas obtenu par la réduction de nos

Certains désirs sont peut-être alors évitables. L'homme peut peut-être choisir d'assouvir des désirs qui lui causeront le moins de souffrance. Epicure propose dans Lettre à Menecée, une classification des désirs. Pour lui, nous pouvons les ranger suivant certains critères : d'abord s'ils sont naturels ou vains. Dans les désirs naturels, Epicure sépare les désirs nécessaires et ceux simplement naturels. Les désirs nécessaires regroupent le désir du bonheur avec la recherche de l'ataraxie, puis

La recherche du bonheur est-elle une recherche du plaisir? La recherche renvoie à une dimension d'unicité, on parle donc du bonheure au singulier. Au contraire une recherche renvoie à une pluralité possible. En ce sens on oppose la pluralité et l'unicité. Si la recherche du bonheur est présentée comme une finalité universelle, cette recherche peut en passer par la poursuite de différents types de biens comme le plaisir, la richesse ou les honneurs. De ce point de vue le plaisir apparait comme

ce qui concerne l'amitié et le plaisir (Livre IX). Il est possible de distinguer une forme superficielle de l'activité (manger boire etc) ou plaisir sensitif et une forme profonde de l'activité plaisir de vivre, de vouloir, de penser. Pour Epicure le plaisir c'est l'absence de souffrance. Il distingue le plaisir en mouvement qu'il faut poursuivre à l'infini et qui est source de souffrance et le plaisir qui est un état de satisfaction durablePour Spinoza, l'homme est un être de désir, l'essence

Personne, voyant le mal, ne le choisit, mais attiré par l'appât d'un bien par un mal plus grand que celui-ci, l'on est pris au piège. Epicure Vous le savez à présent. Notre philosophie défend l'idée selon laquelle « l'humanité est vouée à atteindre sa perfection ». Perfection technique, psychique, sociale, spirituelle. Autrement dit l'homme s'avance peu à peu vers la paix universelle, l'amour universel, le bonheur et l'extase. Il serait relativement facile de démontrer ce mécanisme s'il n'y

comme vains. Dans un premier instant, on définira ce que c’est un désir vain ou non naturel. Ce sont tous ces désirs qui ne sont pas nécessaires à la création du plaisir qu’ils peuvent être contournés, ou ceux qui sont irréalisables, impossibles. Epicure insiste sur le fait que cette classification permettra l’homme de maximiser ses plaisirs, le bien, et minimiser la douleur ou la souffrance, le mal. Les désirs qui peuvent être évités sont ceux qui ne représentent aucune nécessité primaire, c’est