épicure These

INTRODUCTION p.1 1. Présentation de l’établissement p.2 2. Définition ANIMATEUR : (Non commun) Personne qui anime, chargée de préparer, de présenter, d’expliquer et de coordonner, par des interventions personnalisées, les divers éléments constitutifs d’un projet. ANIMER : (Verbe transitif) Dérivé du latin anima → âme, « donner la vie, du mouvement et exister ». ANIMATION : Étymologiquement, ce nom féminin est dérivé du latin animatio. Il est passée de l’acceptation ancienne

bonheur est une aspiration que tous recherchent, et qu’on ne peut maitriser. De plus, Epicure associe le bonheur au plaisir. Mais ces deux termes peuvent être contradictoires. En effet, le premier est un état durable de satisfaction, tandis que le deuxième, quant à lui, est éphémère. Ainsi, le bonheur serait la somme de tous les instants de plaisir. Mais certains problèmes peuvent nuire au bonheur, d’après Epicure qui a trouvé des solutions à ceux-ci pour la peur de la mort, il affirme que l’on ne

EPICURE  : La Lettre à Ménécée Préambule de la lettre Il s’agit d’une lettre écrite à un jeune disciple, qui traite d’une morale du bonheur en quatre points ("quadruple remède"). Son propos est de montrer l’importance de la philosophie à tout âge de la vie, en expliquant le rapport entre la philosophie et le bonheur : étant donné qu’à tout âge nous désirons être heureux, il faut faire de la philosophie à tout âge. Epicure commence par souligner l’urgence de la philosophie aux âges extrêmes

« mortales »). On note aussi l’importance accordée à la vue (toute connaissance vient des sens dans l’épicurisme) avec notamment « oculos ». Il s’agit de préparer la sacralisation du philosophe comme si le poète reculait devant l’énonciation du nom sacré (Epicure n’est désigné qu’une seule fois par son nom dans tout le De rerum Natura). Le héros ose ce que personne n’avait osé avant lui, l’adverbe « primum » ouvre le deuxième mouvement de ce texte et il y a un écho avec le « primus » du vers 6 repris au vers

l’atomisme de Democrite, Epicure a trouver les fondements de sa conception materialiste de letre. Ainsi il a pu constater que l’univers est composer d’atomes, qui est le principals materiels de l’etre qui existent en nombre infini, ce qui permet aux atomes de se deplacer. Il explique que le vide n’oppose aucune resistance au mouvement des atomes, il apparaisse comme ce qui leur procure la possibiliter d’entrer en contact l’un avec l’autre pour produire la vie. Selon Epicure, c’est a cause de leur pesanteur

quant à lui, est une addition de deux mots, bon et heur, signifiant bonne chance. On entend par ce terme un sentiment de satisfaction complète et de plénitude. Cependant, il est important de ne pas mélanger bonheur et plaisir, et bonheur et joie. Epicure disait, dans sa Lettre à Ménécée, que le but ultime de la vie de l'homme était la recherche du bonheur, de cet état d'être heureux, et de ne plus avoir de désirs en soi. On en vient donc à se questionner sur la façon pour l'homme de pouvoir accéder

préparer. * Le mourir : expérience personnelle mais mise en forme par l’ordre social. La mort comme anéantissement indirectement reconnue. Désir de nier la mort. * Connaissance empirique de la mort : conjoncture incomplète et indéterminable. Epicure, Lettre à Ménécée : Vivant, la mort n’est pas, mort je ne suis plus : pas de rencontre humaine entre conscience humaine et mort. l’expérience de la mort est la mort de l’expérience. Pensée de la mort dans sa possibilité : esprit condamné à l’incertitude

Les rumeurs passent et s’effacent, mais certaines sont trop cocasses pour les omettre. C’est le cas de celles d’un homme en particulier. Ce drôle de personnage aux pensées nombreuses, aussi sombres soient-elles, qui courait presque en déambulant dans les rues de Paris, et qui écrivait des pamphlets d’une animosité sans égale, au rythme de sa respiration saccadée. Son nœud mal noué, ses cheveux en bataille, ses yeux cernés et ses joues creuses montraient à quel point sa vie était rude, bien avant

des autres plats qui ornent les tables magnifiques, elle est dans la tempérance, lorsqu’on poursuit avec vigilance un raisonnement, cherchant les causes pour le choix et le refus, délaissant l’opinion, qui avant tout fait le désordre de l’âme. » Épicure, Lettre à Ménécée. Dans la partie précédente, nous avons vu que, quand bien même on tâchait de définir le bonheur indépendamment du plaisir, il était très délicat de dénier à celui-ci toute contribution à la recherche du bonheur

satisfaction exessive des besoins vitaux. - les désirs non naturels et non nécessaires : la luxue, le pouvoir politique.= quelque chose d'artificiel & superflu soit " passions sociales" - les désirs non naturels et non nécessaires : inéxistant. Epicure veut nous aider à parvenir au "plaisir pur" => qui ne dépend pas de quelque chose ( d'un désir ) donc un plaisir abosolu au présent. On distingue alors l'épicurisime antique [ = un ascétisme doublé d'un hédonisme : renonncé à tous les désirs sauf