épicure These

EPICURISME Epicure(341-270 av. JC) oeuvres principales: Lettres à Hérodote (sur la physique) Lettres à Pythoclès (sur les météores) Lettres à Ménécée (sur la morale) La philosophie d'Epicure comporte trois parties: la canonique (expose les règles du vrai), la physique (explication philosophique de la nature). L'ordre de ses trois parties est important car il correspond au système d'Epicure. L'éthique est en

raison pratique. La théorie est intellectuelle : c’est la réflexion. Socrate veut faire la différence entre le vrai et le faux, le juste et l’injuste, le bien et le mal. Un épicurien sait apprécier le moment présent. Les différents épicuriens sont EPICURE, DEMOCRITE, LUCRECE… Ils ont le souci que l’homme soit heureux, la peur de la mort. SPINOZA, XVIIe siècle : veut délivrer de la superstition. Philosophes des Lumières : MARX : « Nos prédécesseurs ont pensé le monde, il s’agit de le transformer »

ne sais pas si je dirai que le désespoir est obligatoirement maladif. Parfois, les personnes sont des situations où objectivement on conçoit qu'elles désespèrent. Sinon le titre du sujet "la tristesse d'un point de vue philo" m'a fait penser à Epicure (ou comment lutter en profitant de ce qu'on a, en appréciant les petits plaisirs quotidiens...) et Sénèque (ou comment accepter ce sur quoi on n'a pas de prise pour éviter de se rendre malheureux justement) "Mais la société qu'ils forment leur serait

Fin de l’étude de La lettre à Ménécée d’Epicure Le hasard et la fortune : Le sage selon Epicure se dresse face à la Tyché comme un combattant contre les coups du sort, il est décidé à ne pas se laisser abattre par les circonstances, il doit transmuter, changer le mal en bien, et il doit choisir de tirer le meilleur parti de tout ce qui lui arrive. Grâce à l’usage de la raison, la Fortune a peu de prise sur le sage. Le sage peut être malchanceux mais mieux avoir sa raison et pas de chance qu’avoir

l'Antiquité!: C'est il y a plus de 4 milliards d'années que les Extra-terrestres seraient apparus dans l'océan. Selon Empédocle, des têtes sans corps, des corps sans jambes, des torses sans tête... se promenaient autrefois à la surface de la Terre. Epicure, ( grand philosophe grec de son temps), quant à lui, avait déclaré que les Dieux vivaient sur d'autres planètes. C'est donc ce terme «de « vie sur une autre planète » qui est à l'origine du mot « extra-terrestre ». Autrefois donc, ils avaient imaginé

La lettre à Ménécée Epicure Premier axe : La religion Q1 : Il est question de « croyances religieuses » dans ce texte, durant les passages [4] et [5] En effet, l’auteur y évoque plusieurs fois « Dieu », ou « les Dieux » et leur existence. Selon Epicure, les hommes ont des croyances religieuses pour deux raisons principales. Tout d’abord, les Hommes craignent les Dieux. En effet, ils les jugent responsables « du mal qui advient aux méchants et du bien répandu sur les bons » et savent

me dicte de boire, c’est une nécessité, en revanche, boire une limonade n’est pas dicté par mon corps, car de l’eau aurait pu aussi bien me suffire. Boire lorsque l’on a soif est un besoin, mais boire quelque chose d’agréable répond à un désir. Epicure distinguait trois catégories de besoins : les besoins naturels et nécessaires, les naturels et non nécessaires et enfin les non naturels et non nécessaires. Les premiers correspondent à une stricte nécessité naturelle, comme manger lorsque l’on a

«Il faut se rendre compte que parmi nos désirs les uns sont naturels, les autres vains, et que parmi les premiers il y en a qui sont nécessaires et d’autres qui sont seulement naturels. Parmi les nécessaires, il y en a qui le sont pour le bonheur, d’autres pour la tranquillité continue du corps, d’autres enfin pour la vie même. Une théorie non erronée de ces désirs sait en effet rapporter tout préférence et toute aversion à la santé du corps et à la tranquillité de l’âme puisque c’est là la perfection

Le jardin d’Epicure Lieu créé en 306 av. J.-C. par Épicure, où il enseignait en plein air et mettait en pratique sa doctrine basée sur l'aspiration individuelle au bonheur. Dans ce jardin situé aux limites de la ville d'Athènes, où l'on vivait en communauté, le droit de philosopher était accordé de manière égale aux hommes, aux femmes, aux courtisanes et aux esclaves. L'école passait, à tort d'après ce qu'on sait, pour un lieu de débauche. C'est pourquoi Plutarque qualifia de pourceaux les disciples

de travailler à ce que le bonheur dépende de nous c’est à dire en limitant ses conditions à la réalisation des désirs possibles. Mais en réalité, quoi que l’on fasse il y a toujours quelque chose pour nous éloigner du bonheur. Tout d’abord Epicure dans Lettre à Ménécée nous propose une philosophie du bonheur au quotidien. Il distingue plusieurs sorte de désirs : en premier lieu les désirs naturels tel que manger, dormir. L’homme par rapport aux animaux n’a pas de protection naturelle. Deuxièmement