épithètes Homériques

d'être membre à part entière de l’oikos (cellule familiale, maisonnée) : Laërte boit et mange avec ses serviteurs20 et en hiver, il dort à leurs côtés21. Le terme dmôs n’est pas péjoratif et Eumée, le « divin » porcher, bénéficie des mêmes épithètes homériques que les héros grecs. Malgré tout, l’esclavage reste une déchéance. Eumée lui-même déclare que « Zeus l'Assourdissant prend la moitié de sa valeur / à l'homme, dès le jour où on le livre à l'esclavage22. » À l'âge archaïque, il est difficile

LL3 Lagarce :INTRODUCTION : Théâtre → genre littéraire apparu vers milieu VIe s. av J.C et qui a évolué jusqu’à nos jours par le biais de diff. Auteurs → J-L Lagarce, né en 1957, Franche Comté, comédien et l’1 des auteurs contemporains les + joués en France. 1990 à Berlin, il écrit pièce Juste la fin du monde → texte étudié : 2ème partie scène 3, avant épilogue → lecture texte → Nous verrons comment cette scène constitue le dénouement tragique de la pièce. 3

il s’agit du récit d’actions glorieuses réalisées par un héros, pouvant mettre en doute son caractère de mortel. C’est le cas d’Ulysse : il affronte la force des Dieux, des éléments, des monstres, et de ses ennemis. Homère lui attribue plusieurs épithètes qui vont dans ce sens : « l’endurant , l’ingénieux, le patient, l’ingénieux »... Une véritable grandeur lui est attribuée. Enfin, l’univers de l’Odyssée correspond bien au récit épique. La présence divine apporte de la grandeur au récit, qui est

navire démembré, et ramant ainsi pendant dix jours sans manger sans boire, ultime épreuve avant d’arriver dans l’île de Calypso (chant XII, p210) Voilà qui justifie à tout le moins l’épithète homérique d’Ulysse l’endurant…Ulysse se signale aussi par sa métis, son intelligence, sa prudence, d’où cette autre épithète, l’avisé ou l’habile, ruse qui le désigne à toute la communauté de ce monde grec archaïque comme l’inventeur d’une ruse, celle du cheval de Troie et dont Démodocos chante les exploits dans

les tombes et sanctuaires. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Les poèmes homériques. C’est en effet à cette époque à la fin du IXe et au début du VIIIe siècle que furent composés les poèmes homériques. La tradition antique fait d’Homère un aède aveugle qui compose en Ionie de longs chants. Inspiré par les muses c’est pour cela que son savoir est d’origine magico-religieuse. L’Iliade

blanc. Il ne porte pas de masque et a le visage enfariné. Dans ce poème, Pierrot, habille, saute avec légèreté l'obstacle, peut être à cause de la dentale [d] qui lui donne de l'élan. - Au contraire, Léandre, semble, lui, alourdit par son épithète homérique, Léandre le sot est le type même du jeune amoureux enrubanné. Il est sot car l'amour rend bête. -> Pierrot et Léandre sont caractérisés par des mots de la même sonorité "sot" et "saut" donnant de la légèreté pour l'un, alourdissant l'autre

avec un enjambement (vers qui se poursuit sur le vers suivant) les deux tercets : « Mais que devient … cieux ? » v11-12 Encelade est l’un des Titans, symbole de l’orgueil, comme le souligne l’adjectif antéposé « le superbe Encelade » adjectif homérique épithète et qui signifie ici orgueilleux. L’exemple d’Encelade a une fonction didactique, c’est un avertissement lancé aux prétentions humaines. On a une question-réponse, un simple regard du soleil l’a empêché d’escalader l’Olympe, avec la tour de

indispensable aux marins, les escales: pauses narratives. Dimension culturelle: le monde marins. (Repos, ravitaillement, refuge après une tempête). La mer, espace d'aventure, de danger, d'incertitude. Beaucoup de naufrages dans l'Odyssée. Epithètes homériques renforcent l'idée d'hostilité: « stérile » «  sans moissons ». L'ile apparaît comme un espoir de retrouver le monde des hommes, mais aussi comme un espace d'aventure au delà du cap Malée. La terre représente la promesse de retour. Les escales

un modèle de société ( Phéacie comme un modèle de société , généreux , beauté , offrandes , bon marins , bon sportifs , royauté patriarcale -> souvenir d’un âge d’or perdu ) Le style de l’œuvre I. Les vers formules et les épithète homérique ( répétition de certains vers ou adjectifs , monotonie du texte mais indispensable à l’attention d’un public , signal pour le public , reconnaître les personnages et les rattache à des légendes passés : Zeus le porte égide , calypso la nymphe

narrant la querelle entre Achille et Agamemnon, ce qui permet de raconter les événements et de faire parler les personnages. Alternance entre récit et prises de paroles. On reconnait le style de Homère par ses nombreuses hyperboles et par les épithètes homériques ("Achéens aux bonnes jambières", "fils de Leto au beaux cheveux"). Incipit de "La princesse de Clèves" de Mme de la Fayette (écrit en 1678) Cette oeuvre est considérée comme le premier roman dans le sens contemporain du terme : pour