équilibrer Balance Transactions Courantes

micro-économie L’étude des choix individuels (ménages, entreprises) correspondent à la micro-économie. La macro-économie L’étude des choix collectifs faits au niveau de l’Etat et des administrations correspond à la macroéconomie. • La diversité des courants de pensée économique La pensée libérale : C’est aussi la pensée de l’école classique et de l’école néoclassique. 1. Les économistes classiques Tout d’abord, Adam Smith est le père de l’école classique anglaise. C’est lui qui pose les bases

adopté par les Etats unis, un « act » institutionnalisa le lien dollar-or. A l’époque, le système monétaire international basé sur l’étalon-or fût naturellement centré à Londres. Ce système a quand même permis aux différents pays d’assurer leurs équilibres intérieurs et extérieurs jusqu’à la venue de la première guerre mondiale en 1914. Pendant cette période, les gouvernements ont recourus à l’émission à outrance de billets pour financer les dépenses de guerre. Ce qui a généré une inflation partout

politique de R&D, de la politique industrielle, de la politique de concurrence. De même un développement régional plus équilibré peut susciter une plus grand compétitivité des produits en évitant la concentration des activités dans des espaces privilégiés où les coûts immobiliers, les salaires, mettent en danger la survie de l'activité. A son tour, un développement régional équilibré suppose une politique de désenclavement par des infrastructures de transport adaptées, des implantations des centres

L'OUVERTURE DES ECONOMIES L'ouverture des économies passe tout d'abord par le crédit, la balance commerciale, la création réelle de pièces et billets qui impose donc à l'économie de s'ouvrir aux échanges internationaux. Depuis les années 1980, les pays s'impliquent de plus en plus dans les échanges mondiaux. Nous analyserons la mesure des échanges de biens et services puis l'évolution des échanges internationaux et enfin le marché des changes. Premièrement, les échanges

où la devise utilisée n’est pas l’Euro ! Principes 1°) Détenir des devises étrangères coûte potentiellement de l’argent. D’abord, les commissions sont majorées, lorsqu’une entreprise dispose d’un compte NOSTRO (NOSTRI). Plus les transactions sont importantes (non pas en volume, mais prises séparément), plus l’amortissement des coûts de fonctionnement devient acceptable. Ensuite, détenir des devises en trop grande quantité signifie bien souvent maintien d’une encaisse oisive à l’étranger

Fonction d’allocation : l’Etat intervient en matière de production, il produit des biens et services non marchands (services publics) et marchands (entreprises publiques).  Fonction de stabilisation : l’Etat peut être chargé de stabiliser les grands équilibres macroéconomiques (plein emploi, inflation, commerce extérieur…) et d’obtenir une croissance soutenue de l’économie. On parle aussi de fonction de régulation.  Fonction de redistribution : fonction de partager les revenus et les ressources de façon

fonctionnant d’une manière décentralisé. La coordination d’ensemble passe par l’ajustement de l’offre à la demande et les prix sur chacun des marchés. Si l’offre est excédentaire pour un produit, les prix vont baisser. Et donc la demande augmente et un équilibre tend à se produire plus au moins vite en fonction des structure de marché (principe de l’offre et la demande) La notion d’efficacité économique est liée au bon fonctionnement de ces marchés. On définit la frontière d’efficacité comme un état de

premier lieu, les systèmes de changes fixes semblent les plus adéquats pour assurer la croissance car ils permettent de réduire les coûts de transaction (A) et mettent en place une coordination entre les monnaies pour éviter les comportements non-coopératifs (B). Les systèmes monétaires de changes fixes permettent de réduire les coûts de transaction sur le marché des devises, permettant un accroissement du commerce international possédant des effets vertueux sur la croissance économique

cotées en bourse, plusieurs intermédiaires et organes interviennent sur le marché financier. Les sociétés de bourse : elles sont au nombre de 14, dont 12 d’entre-elles sont des filiales de banques. Leur activité est multiple. Elles exécutent des transactions sur les valeurs mobilières pour le compte de leurs clients, participent au placement des titres pour leur propre compte, gèrent les portefeuilles, conseillent la clientèle…etc. Le conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM) : c’est le

impossible d’adopter une autre solution, qui serait forcément elle aussi | |arbitraire. | |Pour que chaque poste des équilibres soit valorisé de la manière la plus significative, on utilise des prix différents. En effet, | |l’objectif est de retracer d’un côté ce qui reviendra en définitive aux producteurs, et de l’autre ce que paieront effectivement les | |acquéreurs