établissement Non Contentieux De La Filiation Maternelle

peut pas conduire un PACS, elle ne peut pas gérer son compte bancaire ni gérer son patrimoine. La personne sous tutelle ne peut qu'accomplir les actes de la vie courante, pour le reste elle doit s'en remettre à son tuteur. - la curatelle : régime non pas de représentation mais régime d'assistance ie le majeur protégé ne va pas s'effacer de la scène juridique, il va être assisté pour l'accomplissement de certains actes juridiques par une personne désignée par le juge des tutelles appelé le curateur

englobe les personnes qui descendent les unes des autres. Celles qui descendent d’un auteur commun. Les conjoints et certains de leurs parents. Appartiennent à une même famille, les personnes qui sont unis par un lien qui est soit issu de la filiation soit issu du mariage. Une famille se caractérisent par des rapports, les rapports entre les parents et leurs descendants et entre les descendant entre eux, c’est le lien de parenté. Ceux qui naissent à l’occasion de la formation d’un couple

la terre ont un droit différent. Perception du monde différent signifie un droit différent. L’ancien droit est un droit où il y a des classes, personnes privilégiées. Il y a donc des discriminés : * Ex : différence entre les catholiques et les non-catholiques (désavantage), mais c’est pire pour les Juifs et surtout les Musulmans. Inégalités dans la famille, avec des différences entre un enfant légitimé (né pdt le mariage) et un enfant qui ne l’est pas on dit alors qu’il n’a pas de famille. Discrimination

respect de son corps humain. » 2 principes : a) Principe d’inviolabilité Article 16-1 alinéa 2 : « Le corps humain est inviolable », c'est-à-dire, les tiers ne peuvent porter atteinte, d’une quelconque façon, au corps humain d’autrui. b) Principe de non patrimonialité Article 16-1 alinéa 3 : «  Le corps humain, ses éléments et ses produits ne peuvent pas faire l’objet d’un droit patrimonial », c'est-à-dire, que la personne elle-même ne saurait monnayer, vendre ou louer son corps ou une partie de celui-ci

gouverné à lui seul tous les rapports de l’individu en général. (ex : de la naissance à la mort de l’individu). Progressivement certaines branches du droit se sont détachés et développés hors du droit civil car ces branches ont vocation à s’impliquer non pas à tout le monde mais seulement à certaines catégories de personne et à certains aspects de leurs activités. Autrement dit, ces autres branches ont revendiqué leur autonomie. Ex : droit commercial qui est l’ensemble des règles qui s’appliquent

code civil ignore ce conjoint survivant car il ne fait pas parti de la famille par le sang, telle que conçue par la loi. La question est vivement discutée. Certains , dans le projet de code civil, veulent intégrer le conjoint survivant, d'autres non. Au final, il est oublié à la suite d'une erreur. Les adversaires du conjoint survivant soutiennent que le régime de communauté légale suffit car en l'absence de contrat, le conjoint aura toujours la moitié de la communauté, donc cela devrait lui suffire

régissent les rapports des personnes dans une société. Ce corps de règles est aussi appelé corpus juris. Exemple, la loi n° 2009-61 du 16 janvier 2009 relative à la ratification de l’ordonnance n° 2005-759 du 4 juillet 2005 portant réforme de la filiation, l’interdiction de tuer, l’obligation de mettre sa ceinture en voiture… les prérogatives (compétences) dont une personne est titulaire en vertu d’une règle juridique ou « droits subjectifs ». Subjectif vient du latin subjectum, le sujet, par opposition

si le conflit apparaît comme un accident de la vie social, le risque encourut par une société qui n’organiserait pas le règlement des conflits est tellement important que toute société quelle qu’elle soit considère le jugement comme une nécessité. Non seulement admettre la contrainte comme un mode naturel de règlement des conflits provoquerait un effroyable désordre mais en plus se serait le prélude de la destruction d’une société. Responsable de l’ordre public et de la paix social l’Etat doit rendre

seuls enfants qui pouvait avoir un lien de filiation était les enfants issu de ce mariage. Aujourd'hui l'état paraît bien d'avantage vouloir accompagné les changements sociaux qui se sont produits. Il ne cherche plus ou beaucoup moins à imposer un modèle unique. Il propose des options, des choix, même si des arrières pensées y sont présentes. L'état se désintéresse-t-il alors dans ce cas de la famille ? Cela n'est pas vrai car que l'on veuille ou non la famille est un élément essentiel dans la

qui lui permettent de vivre, un enfant physiologiquement capable de vivre, suffisamment formé, pas trop prématuré. La viabilité d'un enfant est présumée. Un enfant né vivant est présumé né viable, et s'il est décédé rapidement il faudra prouver sa non viabilité notamment en matière d'héritage. C'est celui qui conteste la personnalité d'un enfant qui doit prouver qu'il n'était pas né viable pour faire tomber cette présomption. L'enfant qui décédé avant sa déclaration à l'état civil, jusqu'à 1993