éthique Médicale

Annexes Les progrès réalisés ces dernières décennies en matière d'hygiène de vie et ceux des techniques médicales conduisent à un allongement remarquable de la durée de la vie. En même temps, on assiste à un certain effacement des frontières entre la mort et la vie et, d'une certaine manière, à une désappropriation par le mourant de sa propre mort. S'ensuivent bien des problèmes éthiques et humains inédits. En attestent les hésitations et fluctuations récentes des législations sur ce point,

Ethique et droit à la santé Consentement : acte par lequelle le patient autorise le médecin à mettre en oeuvre une démarche diagnostic qui lui a été au préalable été présenté. Respect de la personne humaine. Pour le patient : faire un choix, autodétermination, autoriser l'application du traitement sur son corps. Il a donc la liberté de refuser ce qui lui a été présenté. La question du consentement est évolutive: dynamique dans le temps et dans l'éspace. Dynamique dans le temps

Les conséquences éthiques et juridiques de la loi ne seront sans doute pas perceptibles dans un premier temps. Pourtant, le changement législatif atteste tout à la fois d’une modification actuelle importante de grands repères juridiques et éthiques, et de la poursuite d’une évolution amorcée dès les premières lois relatives à la bioéthique. Si le débat a été rapidement clos, le « problème de l’embryon » ne cesse paradoxalement pas d’interroger les discours, les lois, les pratiques et les projets

mouvements sociaux, sur les recherches thérapeutiques et les essais cliniques, sur les droits des malades et la présence des proches. Avec ces nouveaux objetsIX VIH/sida. Se confronter aux terrains de santé publique, , la reconnaissance des enjeux éthiques posés par cette situation de proximité, la conscience du danger d’une trop grande empathie affective avec les malades ou politique avec les associations rendaient l’exercice difficile. Il l’était intellectuellement, mais aussi et peut-être surtout

Pour ou contre l'euthanasie, pour quelles raisons et les conditions Les débats éthiques sont toujours très partagés et cela que nous parlions de peine de mort, d'avortement, des traitements des prisonniers de guerres ou autres. Dans le cas de l'euthanasie, il est dur d'avoir une opinion fixe, d'être simplement pour ou contre. Pour essayer de trouver sa position sur le sujet il faut d'abord se poser des questions. Est-ce que la famille à vraiment le droit de choisir pour un être cher, ou est-elle

une interrogation évidemment primordiale pour le philosophe d’inspiration libérale qu’est Ruwen Ogien. Souvenons-nous en effet que ce directeur de recherche au CNRS tente, depuis quelques années, de mettre en place une éthique minimaliste anti-paternaliste, c'est-à-dire une éthique pour laquelle il y a seulement des devoirs moraux envers les autres et non des devoirs moraux envers soi-même (ce que prône l’éthique maximaliste, qui quant à elle juge immorales certaines actions comme le suicide, la masturbation

3. Ethique et management 3.1 Les nouveaux défis de l’entreprise responsable L’entreprise fait face à un certain nombre de demandes éthiques - multiplication des conflits sociaux à l’intérieur de l’entreprise (la flexibilité fait naître pour les salariés des contraintes qui remettent en cause le biens être par le stress, le harcèlement, les risques sanitaires, des problèmes d’équité de traitement) - multiplication des conflits à l’extérieur de l’entreprise (exemple du problème de la pollution

passionnent Marie-Hélène Parizeau, professeure à la Faculté de philosophie de l’Université Laval et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en bioéthique et éthique de l’environnement. De son propos sensible émanent un portrait critique de la modernité et un certain espoir que l’on débatte enfin en profondeur des problèmes éthiques soulevés par la science. RND S e p t e m b r e 2 0 0 4 17 RND La science est-elle bienfaitrice de l’humanité ou de plus en plus porteuse d’insécurité collective

décision partagée * Le modèle de la décision informée Le modèle paternaliste  que les auteurs situent avant 1980 repose sur l’idée que les médecins savent ce qui est le mieux pour leurs patients. Cette légitimation du contrôle médicale était étayée par des codes éthiques qui poussaient les médecins à agir au « mieux des l’intérêt des patients ». Dans les années 1980, la crédibilité de cette affirmation a été remise en cause et les deux autres modèles se sont développés en réaction au modèle paternaliste

Sciences de l’Education C.H Montperrin Université de Provence. Aix-Marseille DIPLOME CADRE DE SANTE MASTER Professionnel Education et Formation 1ère Année UE 4 « Ethique et Déontologie dans le champ de la santé et de la formation » AIT ADDI Belkacem BONIN-PRECHEUR Catherine BOUTON Aurélia Numida DARVEY-RODRIGUES Stéphanie DUCH Virginie LACOMBE Marie-Claire MIGNOTTE Carol PAVEC-BONACORSI Michèle VANKIERSBILCK