étude Grammaticale Discours Indirect

d’abord, l’interrogation peut se définir grammaticalement, elle est soumise à des règles précises de syntaxe et de morphologie. Cependant, l’interrogation ayant partie prenante dans l’échange oral au quotidien, sa forme, rigide d’un point de vue grammaticale, s’assouplit pour recouvrir une multitude de formes et de sens selon le contexte d’utilisation. Ainsi que peut-on comprendre par « interrogation » ? On pourrait partir du principe que la question est l’outil de l’interrogation, la forme de quelque

Les schémas métriques contraignent à une distribution linéaire réglée des mots : les unités syntaxiques entrent alors en tension avec les unités métriques ; les frontières métriques – hémistiches, fin de vers ou fin de strophes – redessinent le discours en contribuant à sa signifiance. Le jeu des discordances entre mètre et syntaxe favorise un lissage impersonnel qui peut s’exercer au niveau de ces trois unités. Le terme de lissage est employé au sens où sont aplanis les facteurs d’hétérogénéité

la langue, l’analyse du discours, - les jugements que les communautés linguistiques portent sur leurs langues, la planification et la standardisation linguistiques… Elle s’est donnée au départ pour tâche de décrire les différentes variétés qui coexistent au sein d’une communauté linguistique en les mettant en rapport avec les structures sociales ; aujourd’hui, elle englobe pratiquement tout ce qui est étude du langage dans son contexte socioculturel. L’objet de son étude n’est pas seulement la

stylistique Septembre 2005  Langage et stylistique : leçons de stylistique française sommaire - Avant-propos 3 - Introduction : qu’est-ce que la Stylistique  ? 4 - Leçon 1 : Mots grammaticaux et mots lexicaux 6 - Leçon 2 : Les fonctions du langage 10 - Exercices 13 - Leçon 3 : Enoncé énonciation 16 - Exercices 19 - Leçon 4 : Les types de textes

.......105 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. L’analyse des unités significatives ..............................................................................................................105 Les parties traditionnelles du discours ........................................................................................................105 Une nouvelle classification .............................................................................................................

par exemple, lors de l’empl,oi de parallélismes (le dément ne s’indigne plus, ne s’insurge plus) mais aussi aux lignes 12-13 et 21-22. ces parallélismes très souvent sont ordonnés de manière graduelle (gradation). 3.    Analyse des personnes grammaticales du texte. IL : c’est la non-personne (cf. doc. éléments essentiels…). Dans ce texte il a deux valeurs  impersonnelle (lignes 1, 6, 14, 16, etc.. il m’arrive d’oublier… ; il y a eu… ; il arrive aussi que ces questions… ; il s’agira…)

registre dominant et les registres secondaires (lyrique, polémique, didactique, épique…) Regroupez vos impressions de lecture pour faire apparaître des dominantes et confrontez-les aux axes de lecture du libellé. 3) Engagez une étude détaillée Cette étude porte essentiellement sur le style ou procédés d'écriture. L'auteur se sert du langage pour mettre en forme ses idées et ses émotions, c'est ce repérage qui donne des indices sur la signification du texte. Pour cela il faut faire un travail

subordonnées introduites par que .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... 9 3 Les subordonnées interrogatives indirectes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... 11 4 Les subordonnées circonstancielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

subordonnées introduites par que .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... 9 3 Les subordonnées interrogatives indirectes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... 11 4 Les subordonnées circonstancielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

DU DISCOURS I – PROBLÈMES DE CLASSIFICATION 1) Classement traditionnel La grammaire dite traditionnelle, en fait la grammaire scolaire, en vigueur depuis le début du siècle (programmes de 1910) et encore dans les années 1970, reconnaît 9 parties du discours : le nom / le déterminant / l'adjectif / le pronom / le verbe / l'adverbe / la préposition / la conjonction / l'interjection Ce classement n'est pas sans problèmes ou contradictions. 2) Contradictions — Le nombre : 9 parties du discours ; ce