Analyse Dom Juan
Il y eu plusieurs écrivains au XVIIe siècle mais il faut admettre que Molière (1622 à 1673) fut l’un des plus influent de son époque durant le courant classique. Il se spécialisait dans la rédaction de pièces de théâtre comiques. La pièce sur laquelle nous nous pencherons ici est la pièce théâtrale Dom Juan de Molière durant le courant classique mais qui fut adapté au roman. Don Juan ici est accompagné par son valet, Sganarelle. On se rend compte rapidement que ces deux personnages ont des points de vue bien différents sur le monde. Don Juan étant un libertin tandis que son valet est plutôt un conformiste. Nous allons nous demander, dans ce texte, en quoi la conception de l’amour pour Don Juan dans la scène 2 de l’acte 1 est semblable à la définition de l’amour libertin. On voit bien que les deux côtes prônent la liberté amoureuse et que tout le concept de conquêtes et d’aimer est en réalité auquel on se porte.
Pour débuter, la vision libertine et celle de Don Juan supporte la liberté amoureuse. Par contre celle-ci, d’une part, vient se faire brimer par le fardeau de la fidélité. Ce que nous dit ce personnage principal est que pour être fidèle il faut abandonner toute autre beauté et se couper des plaisirs :
La belle chose de vouloir se piquer d’un faux honneur d’être fidèle, de s’ensevelir pour toujours dans une passion, et d’être mort dès sa jeunesse à toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux ! (I,2)
On voit déjà ici que la phrase débute par une antiphrase. Don Juan commence par dire << La belle chose >> mais ce n’est pas ce qu’il insinue car il poursuit avec des évènements à caractère péjoratif. Ce que nous en comprenons est qu’il n’est vraiment par d’accord avec la fidélité et ne voit pas pourquoi on devrait l’être. Il continue de parler de «renoncer au monde», «s’ensevelir » et être «mort» qui sont toutes des hyperboles/exagérations pour montrer son désaccord. La variété, d’autre