Audit fiscal
1-2-1 Analyse de la concurrence
Les cinq forces de M.PORTER
Menace des nouveaux entrants : Relativement le secteur bancaire ne subit pas ce genre de menaces de menace, et ceci est du en premier lien par réglementation bancaire « rigide » et qui a été longtemps génératrice de cloisonnement et qui constituait une sorte de barrière à l’entrée. En plus de cette barrière, s’ajoute l’effet d’expérience cumulée par banques déjà installées. Menace des substituts : Le problème de l’existence de produits ou services substitut à substitut à ceux bancaires ne se posent vraiment pas, vu que le recours à la banque constitue le moyen le plus privilégié de financement et chez la banque tout seul, laisse prétendre qu’il n’existe en réalité pas de pouvoir de fournisseurs . Pouvoir de négociations des clients : Banques œuvrant dans le secteur et aussi la multitudes des offres de celles-ci, les clients se trouvent disposant d’un pouvoir relatif de négociation ; ce dernier est plus importants ( exemple : négociation de taux et des échelles d’intérêts, montants des découverts bancaires…) Le pouvoir de négociation des fournisseurs : Dépôts des particuliers (regroupement en groupe de pression, culture de consumérisme etc.), dépôts de professionnels (principalement les entreprises et les institutionnels etc.) qui gardent un grand pouvoir de négociation. Intensité concurrentielle : Concurrence sur le secteur bancaire est très acharnée, et se traduit par multitude des services offerts par les différents installées. Des produits souvent avec les mêmes caractéristiques mais avec des avantages concurrentiels les uns par rapport aux autres. Aussi , cette intensité apparaît avec le mouvement de banques étrangères dans les banques nationales ( Crédit du Maroc ; BNP Paribas