Commentaire
Jean Paul Sarte était le compagnon de la phylosophe et romancier Simone de Beauvoir, surnommée par leurs ennemies politique « la grande sarteuse ». Leurs phylosophies, bien que très proches, ne sauraient être confondues ; les deux auteurs se sont influencés réciproquement.
L’œuvre de Jean Paul Sarte est riche en essais et textes phylosiphique majeurs, de longueurs inégales, comme l’Etre et le Néant (1943), le bref l’extentialisme est un humanisime (1945) ou la critique de la raison dialectique (1960), mais aussi des textes littéraires avec son recuil de nouvelles publié en 1939 le Mur ou ses romans : la nausée (1938) et sa triologie les Chemins de la liberté (1945). Son théatre, avec des pièces comme les Mouches (1943), Huis clos (1944), La Putain respectueuse (1946), le Diable et le Bon Dieu (1951), les Séquestrés d’Altona (1959) constitue une part important de sa production littéraire. Dans une période plus tardive, il publie aussi en 1964 un texte autobiographique.
Les mots qui traitent les onze premières années de sa vie, ainsi qu’une vaste étude sur Gustave Flaubert, l’Idiole de la famille (1971-1972). Il a publié des études biographiques sur de nouveaux artistes comme le Tintoret, Mallarmé Baudelaire ou Jean Genet.
Intransigeant et fidèle à lui-même et à ses idées, il a toujours rejeté les honneurs, il a notamment refusé le prix Noblel de littérature « une exception notable toutefois : il accepte le titre de docteur Causa de l’universite de Jérusalm en 1976)
Son enfance :
Jean Paul-Charles- Aymad Sarte naît le 21 jui, 1905, à Paris, fils unique, il provient d’une famille bourgeoise : son