Définition de justice selon trasymaque et glaucon
Socrate n'est pas d'accord et réplique que les gouvernements ne sont pas infaillibles et qu'ils peuvent se tromper. Il dit que la justice n'est donc pas dans l'intérêt des gouvernants et de respecter les lois irait contre les gouvernants.
Thrasymaque essaie de s'en sortir en disant à Socrate que d'avoir un savoir implique de pas se tromper. Dès qu'il y a un erreur c'est qu'il n'y a pas le savoir. Un gouvernant qui affirme pouvoir gouverner affirme qu'il ne pourra pas se tromper non plus.
C'est alors que Socrate prends Thrasymaque au mot et explique que chaque art existe pour le bien de quelqu'un d'autre. L'art de gouverner est pour prendre soin des gouvernés et non des gouvernants. Sinon il n'y aurait simplement pas de gouvernements. Tout se que dit et fait les gouvernants est dans l'intérêt des gouvernés.
Thrasymaque veut préciser sa pensée. Il dit que Socrate est idéaliste et que ce n'est pas comme ça que ça se passe dans la vrai vie. Chaque homme gouvernant gouverne parce que ça lui rapporte. Ils veullent donner le moins possible aux gouvernés et le maximum à eux même.
Dans le discours de Glaucon, suite à celui de Thrasymaque, il dit que certaines choses sont agréables et ont de conséquences agréables. Ceci serrait le monde idéal. D'autres choses sont agréables et sont de conséquences désagréables. Enfin certaines choses sont désagréables en elles-même et ont de conséquences agréables. La justice c'est une chose désagréable qui a des conséquences agréables. L'homme à tendance à trouver la justice pénible mais elle comporte plein d'avantages. Glaucon n'est pas satisfait des répliques de Socrate face à Thrasymaque et il veut qu'il explique pourquoi la justice serrait meilleure que