Management participatif
1.1. Le taylorisme et ses limites
1.2. La naissance du management participatif
2.Définition du management participatif
2.1. Les principes du management participatif
2.2. Les facteurs clés de succès à la mise en place d’un management participatif
2.3. Outils du management participatif
2.4. Les avantages du management participatif
3. Les limites du management participatif
3.1. Problème de temps et de coût
3.2. Résistance du personnel
3.3. Remise en cause des structures formelles de l’entreprise
3.4. Incapacité d'adaptation aux situations de crise
Conclusion
Bibliographie |
1. Une réaction face au taylorisme
1.1. Le Taylorisme et ses limites
1.1.1. Hégémonie du modèle TaylorienLa fin du 19 e siècle et le début du 20 e siècle sont marqués par l’influence de la conception taylorienne de l’entreprise.Selon Wikipedia, le taylorisme est « une méthode de travail qui tire son nom de celui de l'ingénieur américain Frederick Winslow Taylor (1856-1915). Reposant sur une division du travail en tâches simples et répétitives individuellement optimisées et sur le paiement des employés au rendement. ». C’est donc un modèle d’organisation qui vise à organiser scientifiquement les tâches de chaque employé et de les rationaliser afin d’obtenir les meilleurs rendements possible. Il et à l’origine du travail à la chaîne par son application avec le « fordisme ». Ce modèle s’appuie sur un principe fondamental : les besoins des patrons, des employés et des consommateurs sont convergents. Selon lui : « Les patrons intérêt à faire produire le plus possible au taux le moins élevé ; les ouvriers bénéficient de l’augmentation quantitative de la production et les consommateurs de la diminution des prix de vente ».1.1.2. Un modèle rationnel
La théorie de Taylor, l’OST (l’Organisation Scientifique du Travail) s’appuie sur quatre principe d’organisation : * Division horizontale du travail