Memoire
Barreyer P.Y et Bouche M. (1982) « pour une compétition fondée sur la solidarité interentreprises : les politiques d’impartition », Revue française de Gestion, P.8-17 Un choix économique : il y a impartition lorsqu’une entreprise placée devant l’option de « faire ou faire-faire » choisit le second terme de l’alternative. Un état d’esprit : on peut parler d’attitudes managériale, voire de politique l’impartition, l’lorsque l’organisme qui s’adresse ainsi à l’extérieur ne considère pas seulement son intérêt à court terme mais se place dans une perspective stratégique, considérant l’autre comme un partenaire avec lequel il faut s’attacher à développer une collaboration susceptible de produire des effets de synergie et où chacun trouve son avantage. Le principe d’impartition peut être érigé implicitement ou explicitement, au rang des politiques qui déterminent l’allocation des ressources d’une entreprise ainsi que la manière dont elle entend se positionner dans son environnement commercial, économique, sociopolitique et technologique, à l’échelle nationale ou internationale. Le travail de ces deux auteurs et l’étude empirique de Martin (Martin A. 2002. « La R&D externe : un apport supplémentaire de ressources pour l’entreprise », Mémoire DEA-IAE Lille.)Sur la R&D nous permettent de dissocier l’externalisation de l’impartition : Objectif : l’externalisation et l’impartition visent toutes les deux à une meilleure compétitivité. La première est basée sur une relation de type client-prestataire et la seconde est fondée sur la solidarité inter-entreprise