Phedon de platon
Dans une première partie, Socrate va amener le sujet en faisant une comparaison entre l'harmonie et la lyre. En introduisant son idée par une comparaison, Simmias veux nous faire comprendre qu'il compare le corps à la lyre et l'âme à l'harmonie qui née de l'instrument, quand des doigts habile s'en emparent. Dans ce dialogue, on peut ainsi penser que pour Simmias la lyre n'est plus le signe visible d'un musicien absent. Elle est le corps vivant dont l'harmonie est l'âme. Le corps est pour Simmias, comme pour d'autre le lieu de tension ou s'équilibre les contraires, tel que le chaud et le froid, le sec et l'humide, etc. Comme le musicien qui accorde, en variant la tension, les cordes de la lyre, ainsi l'âme maintient-elle l'équilibre, ou l'harmonie. Pour lui, quand la corde ou le bois se casse, il veux nous montrer une image de la mort moins concrète. Donc, si la corde ou le bois ce casse, l'harmonie est perdue ou bien encore brisé et l'âme disparais. Mais remarquons que cette interprétation matérialiste de l'âme et de