Statut juridique

624 mots 3 pages
Chapitre1 : Le statut juridique des choses et des animaux La différence entre la chose et la personne n’est pas une évidence. Dans la Grèce Antique, les choses pouvaient faire l’objet d’un procès. Exemple, il faisait des procès à une statue qui tombe et tue une personne, elle était alors jugé et était condamné à être brisé ou jeté à l’eau. Les grecs n’avaient pas mis en place la responsabilité individuelle. De plus, le procès c’est aussi une mise en scène, une façon d’atténuer le choc du fait qu’il y ait eu un mort ou un blessé avec la disparition de cette statue. La personne est donc distincte de la chose. C’est une évidence mais elle est difficile. Est-ce que le fœtus est une chose ? Est-ce que le cadavre est une chose ? Ce premier chapitre va aborder la question de l’animal puisque la chose on l’a très vite éliminée. On en vient donc à la définition de l’animal qui est un mot qui vient du latin « anima » qui veut dire le principe vital, le souffle de vie.
La définition du dictionnaire est : être organisée présentant une sensibilité et une mobilité souvent en rapport avec un système nerveux. Cela veut dire qu’un animal est un être animé du principe de vie, en fait, c’est le terme qui nous permet de distinguer ce qui est vivant de ce qui ne l’est pas (comme les minéraux). L’élément supplémentaire, c’est la mobilité, c’est la différence avec les minéraux par exemple.

Quand on regarde les définitions des grecs et des romains, on se rend compte qu’il n’avait pas une division aussi tranchée entre l’homme et l’animal. … Les romains reprennent en grande partie ce que définissaient les grecs. Dans l’Antiquité, il y a une très grande proximité entre l’homme et l’animal. Chez les Mayas, l’animal participe à l’acte religieux. Le sacrifice est donc une constante de la religion. Dans la mythologie, pas de frontières entre homme et animal. Elle n’est pas aussi grande à l’époque médiévale. La plupart des philosophes considèrent sous l’Antiquité que les animaux

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