Partie 3 TP 4 : Des limites a la performance 1) Le document 1 est un graphique représentant les performances obtenues chez différents coureurs de marathons. Nous pouvons déduire que le plus le sujet cours vite, le plus il consomme du VO2 et sont VO2 max augmente en fonction de la vitesse. Le document 2 représente un tableau de consommation maximale de dioxygène chez différentes personnes, sédentaire ou sportive. Nous voyons que le plus l’individu est sportif, le plus le VO2 max est important. Par exemple ; nous pouvons voir qu’un homme sédentaire a pour VO2 max 40 mL.min.kg-1 comparer à un homme marathonien qui a pour VO2 77.3 mL.min.kg-1. 2) La relation entre le VO2 et la performance sportive est que plus la performance sportive est importante, plus le VO2 augmente. 3) Quand l’entraineur atteint son VO2 max, son métabolisme diminue et il n’a plus d’énergie pour continuer son effort. 4) Il existe des épreuves distinctes entre femmes et hommes dans les compétitions sportives car les hommes ont généralement un VO2 max plus haut que celui des femmes. 5) Les deux facteurs faisant varier la VO2 max sont : la vitesse (ou l’effort) que produit l’individu et son état sportif. 6) Le temps de course des personnes ayant un VO2 max de 67 mL.min.kg-1 est entre 2h10 et 3h00. On peut donc conclure que quand on fait un effort (courir dans ce cas) le plus le VO2 max est important, le moins l’individu va pouvoir poursuivre ces efforts. Activité physique et consommation des réserves. 1) Au cours d’un marathon, nous dépensions les 30 premières secondes des molécules en réserves dans les muscles et de 0 sec à 100 secs on dépense de l’oxydation des glucides, la dépense est plus importante vers la 30e seconde. A partir de la 10e seconde la dépense d’oxydation des lipides et des protides augmente rapidement, atteint son maximum vers la 20e seconde. 2) Dans le premier tableau est représenté le nombre d’O2 et de CO2 qu’un individu