Cadre Spatial René Chateaubriand

champêtre (qui fait appel à la nature) Une écriture baroque, classique, blanche (écriture qui supprime toute émotion, date du 20°s) - Un effet saisissant de suspense, d’attente, qui pique la curiosité Une impression, une notation psychologique, spatiale, temporelle Une observation précise, pénétrante, minutieuse (détaillée) Une portée universelle, symbolique, révolutionnaire Une réflexion amère, sereine, désabusée (sans illusion), profonde Une sensation auditive, visuelle, olfactive (nez)

| |Un effet saisissant de suspense, d’attente, qui pique la curiosité | |Une impression, une notation psychologique, spatiale, temporelle | |Une observation précise, pénétrante, minutieuse (détaillée)

D’ENFANCE » François-René de Chateaubriand M.O.T. Chateaubriand est représenté avec sa main droite dans son gilet, dans une attitude qui évoque celle de Napoléon Ier, son anti-modèle. Cette pose particulière est également due, peut-être, à une légère difformité. L’écrivain, qualifié de « bossu » par de méchantes langues avait une épaule plus haute que l’autre. 1 David-Paul Bianciardi – Cours de Lettres. À défaut de lire la monumentale autobiographie de Chateaubriand, Les Mémoires d’Outre

période, le bonheur se trouve dans des lieux élevés, à l’écart du monde, là où le héros peut enfin être lui-même, sans aucune influence extérieure. (cf. cours sur le romantisme). Ici, la hauteur de ces lieux s’oppose symboliquement à la bassesse spatiale et morale de Verrières et de son maire. Cette nature, parce qu’elle répond au besoin de solitude du personnage (Julien éprouve à ce moment le grand plaisir d’ « être séparé de tous les hommes », l.10) est enfin propice à l’introspection, au retour

le moins recherché. Il est composé de trois strophes, de quatre vers écrit en alexandrins en rime embrassées. L’ambiance du poème est la tristesse que l’on peut souligner par le vocabulaire « triste », « seul », le cadre spatiale qui est « la forêt », « la campagne » et enfin le cadre temporel « nuit » « soir» qui créent un sentiment de solitude. Le poète partira le lendemain matin ("Demain, dès l'aube" v.1) et arrivera le soir sur la tombe de sa fille pour y déposer un bouquet symbolique de « houx

intitulé René, de l’auteur du XIXème siècle, Chateaubriand. Le second texte, du même siècle que le précédent, est un extrait du roman Les illusions perdues de Balzac. Le troisième texte date de 1885, c’est un passage de Bel Ami, une œuvre écrite par Maupassant. Le dernier extrait est l’Amant, de Marguerite Duras qu’elle écrit en 1984. Nous nous appuierons sur ces textes pour étudier la notion de point de vue et par quels personnages le décor est-il perçu. Dans le texte de Chateaubriand, le point

génération, déçue dans ses rêves de grandeur après la chute de l'Empire, se reconnaît dans le René de Chateaubriand. Le mal de René deviendra le mal du siècle. L'âme, avide d'infini, assoiffée d'absolu, souffre des limites que lui impose la destinée terrestre. Le coeur est empli de passions violentes que rien sur cette terre ne saurait combler. C'est le "vague des passions", tel que le décrit Chateaubriand : "L'imagination est riche, abondante et merveilleuse, l'existence pauvre, sèche, désenchantée

peut être un des personnages de la pièce qui vient en indiquer le sujet, ou le dramaturge Quelles sont les différentes étapes d’une pièce de théâtre? - La première étape est l’exposition: présentation des personnages, de l’intrigue de la pièce, du cadre spatio-temporel. - Ensuite, il y a le nœud dramatique: le moment où les obstacles apparaissent. - Puis surviennent les péripéties: succession d’événements qui découlent du nœud dramatique, rebondissements de l’action. Enfin, il y a le dénouement:

biographiqueTEXTES A. François René de Chateaubriand (1768-1848), Mémoires d’outre-tombe, livre premier, chapitre 3 (manuscrit de 1847). Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard. | B. Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions, Livre 1, 1771. Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard. | C. Georges Perec (1936-1982), W ou le Souvenir d’enfance, © Éditions Denoël, 1975. | D. Nathalie Sarraute (1900-1999), Enfance, © Éditions Gallimard, 1995. | Texte A F.R. de Chateaubriand (1768-1848), Mémoires d’outre-tombe

génération, déçue dans ses rêves de grandeur après la chute de l'Empire, se reconnaît dans le René de Chateaubriand. Le mal de René deviendra le mal du siècle. L'âme, avide d'infini, assoiffée d'absolu, souffre des limites que lui impose la destinée terrestre. Le coeur est empli de passions violentes que rien sur cette terre ne saurait combler. C'est le "vague des passions", tel que le décrit Chateaubriand : "L'imagination est riche, abondante et merveilleuse, l'existence pauvre, sèche, désenchantée