Corpus Misère Du Peuple

Victor HugoGavroche, complètement envolé et radieux, s’était chargé de la mise en train. Il allait, venait, montait, descendait, remontait, bruissait, étincelait. Il semblait être là pour l’encouragement de tous. Avait-il un aiguillon ? oui certes, sa misère ; avait-il des ailes ? oui certes, sa joie. Gavroche était un tourbillonnement. On le voyait sans cesse, on l’entendait toujours. Il remplissait l’air, étant partout à la fois. C’était une espèce d’ubiquité1 presque irritante ; pas d’arrêt possible

encyclopédie) et esclavage. Dénonciation *selon Balzac, lire c'est créer peut être a 2? Le lecteur prend les idées de l'auteur, et les applique ds sa vie. Ex; les idées contre le gouvernement st appliquées aujourd'hui, juste équilibre entre pouvoir/peuple, encyclopédie diffuse une qte monumentale de preuves. V dans candide montre le barbarisme du monde, une fois lu, on ne voit plus le monde pareil. Parallélisme auteur/lecteur. Ex; candide, croire a cet univers décale, voyage initiatique, on se forme

des textes du corpus. Travaux d’écriture (/20) : 1 Commentaire : Vous effectuerez un commentaire du texte de Hugo (depuis « Messieurs, allez à Rouen… » jusqu’à la fin) selon les deux axes suivants : - une volonté de sensibiliser et de mobiliser l’auditoire ; une stratégie appelant à la compassion et à la prudence. 2 Dissertation : En quoi la littérature peut-elle être une arme au service des idées ? Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur les documents du corpus mais aussi sur

1832. Gavroche, complètement envolé et radieux, s’était chargé de la mise en train. Il allait, venait, montait, descendait, remontait, bruissait, étincelait. Il semblait être là pour l’encouragement de tous. Avait-il un aiguillon ? oui certes, sa misère ; avait-il des ailes ? oui certes, sa joie. Gavroche était un tourbillonnement. On le voyait sans cesse, on l’entendait toujours. Il remplissait l’air, étant partout à la fois. C’était une espèce d’ubiquité1 presque irritante ; pas d’arrêt possible

1832. Gavroche, complètement envolé et radieux, s’était chargé de la mise en train. Il allait, venait, montait, descendait, remontait, bruissait, étincelait. Il semblait être là pour l’encouragement de tous. Avait-il un aiguillon ? oui certes, sa misère ; avait-il des ailes ? oui certes, sa joie. Gavroche était un tourbillonnement. On le voyait sans cesse, on l’entendait toujours. Il remplissait l’air, étant partout à la fois. C’était une espèce d’ubiquité1 5 presque irritante ; pas d’arrêt possible

Culture générale Le football : gloire ou misère ? Vous répondrez à cette question d’une manière argumentée, en vous appuyant sur les documents du corpus suivants ainsi que sur vos connaissances et lectures personnelles. Documents du corpus : - Doc 1 : VJ.Y Huchet : L’impuissance et la gloire ; Autrement, mai 1986 , n°80 - Doc 2 : P. Démerin : Le Sublime ; Autrement, mai 1986, n°80 - Doc 3 : O. Margot : Dieu est noir, Autrement, mai 1986, n°80 - Doc 4 : Plantu : Une foule

européenne a deux sources principales -Grec Romaine -Judéo Chrétien Les pays d’Europe sont unis autour d’une même croyance, soit la religion chrétienne/Catholique Cela prend des siècles avant que l’église fixe ses règles. Avant qu’on retienne le corpus (soit les textes sacré qu’on voulait garder)…et aussi avant qu’on interprète ces livres. Bibli Biblos. (Qui veut dire, LE livre, comme s’il ne devait qu’en avoir qu’un seul.) Il contient la vérité, la SEULE vérité nécessaire aux êtres humains

La question sociale en Europe (1789 1914) Introduction « En ce siècle tout est d’airain, tout est de fer », Victor Hugo Ainsi le grand XIXe siècle est avant tout celui de la misère ouvrière, du travail des enfants et de la paupérisation. Pourtant il s’agit aussi du siècle des progrès et des acquis sociaux : c’est en effet au XIXe siècle que se forme la question sociale, question qui sous-tend ensuite l’essentiel des dynamiques européennes jusqu’à nos jours. On entend ici par question sociale

Les trois textes du corpus, le portrait de Gnathon par La Bruyère, l'extrait de Choses vues de V. Hugo et « La grasse matinée » de Prévert ont en commun de vouloir dénoncer l'égoïsme et l'indifférence à la situation d'autrui. Tous trois cherchent à susciter l'indignation du lecteur. La Bruyère décrit un personnage totalement égocentrique qui méprise autrui et ne pense qu'à son propre intérêt. V. Hugo rapporte une anecdote dans laquelle un homme misérable, arrêté pour avoir volé du pain, observe une

et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé. JEAN DE LA BRUYERE, « De l'homme», Les Caractères, 1688. TEXTE B MISÉRABLE, adj. et substantif. (Gramm.) Celui qui est dans le malheur, dans la peine, dans la douleur, dans la misère, en un mot, dans quelque situation que lui rend l'existence à charge, quoique peut-être il ne voulût ni se donner la mort, ni l'accepter d'une autre main. La superstition et le despotisme couvrent et ont couvert dans tous les temps la terre de misérables